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MA REVUE DE (petits) DETAILS

Récapitulatif de cette saison où les tendances se suivent, se ressemblent souvent mais paraissent étrangement nimbées de nouveautés. Se laisserait-on encore surprendre ?

Oui. Mais peut-être pas par tout. Et la mode c’est une question de goût, chacun le sien.

-L’imprimé fleuri abonde. Attention à ne pas se prendre pour un pot (de fleurs). J’ai renoncé.

-Les fruits s’affichent et là aussi prendre garde à ne pas ressembler à un champ de pastèques. Eviter aussi de se confondre avec la bouée floquée ananas. L’opération camouflage c’est pour la rentrée. Le military style en prendra un coup.

-Le plastique déferle, des pieds à la tête et pas toujours de bon goût. On pourra s’interroger sur la rupture de stock du modèle cyprus de Crocs (ou ne rien se demander si on a mieux à faire). Sinon, je trouve que ça colle beaucoup, le plastique.

-Le short cycliste aurait eu les faveurs des people… Soit, si cela pouvait rester cantonner à ce monde pas si grand ce ne serait pas plus mal. Clairement, il faut être particulièrement bien foutue pour oser porter ce short qui ne ressemble à rien. Bien entendu je ne l’ai pas adopté ni même regardé.

-Le mini short ne lâche rien (et ne cache rien non plus). Ben là aussi suis passée devant sans m’arrêter.

-Les sandales compensées (mieux avec une semelle de corde style espadrille) sont un must have de cet été. Vous avez bien fait de ne pas les jeter lors de leur dernier come-back. Elles ont fini par devenir un grand classique. J’avais raison de garder ma paire.

-Les claquettes (pas qu’en plastique) ! Pas du tout ringardes, non non et non. Elles ont de l’allure, elles. Après, faut pouvoir les assumer et surtout ne pas trainer les pieds. Et si on peut éviter de les faire claquer… C’est crispant d’entendre clac clac clac.

-La jupe moulante imprimé léopard (l’agressivité enfouie ressort), avec un sweat et des tennis de préférence pour casser le style. Et si la jupe n’est pas avec ce motif ce sera encore mieux. Si vous voulez vraiment une jupe facile à enfiler et pratique et intemporelle misez sur de l’uni. La jupe passe-partout, un fonds de vestiaire !

-L’univers des accessoires, pas du tout impitoyable et pas si accessoires que cela. Notamment si vous portez des solaires (je vous y encourage et pensez à en équiper les plus jeunes aussi). De toutes les tailles, de toutes les formes (même si le papillon ou le chat – cat eye s’il vous plaît – ont les faveurs du moment), de toutes les couleurs, elles sont souvent belles et utiles.

-Le head band, l’ami numéro un des chevelures longues ou courtes, coiffées ou décoiffées (surtout). Il ajoute la touche fun, colorée, qui donne bonne mine aussi. Et ça dépanne quand on ne sait plus quoi faire de ses cheveux. Si vous préférez la casquette (ou la visière), foncez, c’est le moment.

-La ceinture, large, fine, peu importe mais elle doit souligner les hanches, la taille. A porter plutôt en style feel good que bondage. En clair, on ne serre pas trop pour éviter l’effet saucisson.

-Le panier ! Rond, cabas, en crochet, en paille, petit, hyper grand, à pompons, à anse, rigide, mou c’est LE sac de tous les instants (de la plage au boulot).

Et sinon, soyez comme vous êtes, c’est déjà super bien.

 

Et si le BACCHA FESTIVAL nous était conté ?

L’agenda des vacances 2018 est décidément très animé ! Aujourd’hui notre agenda est ouvert à la page BACCHA Festival. Vous savez, LE festival qui réunit pendant deux jours les meilleurs « headliners » de la Caraïbe ! Ca a lieu au Vauclin, sur la plage de la Pointe Faula les 11 et 12 août prochains. Et comme nous sommes toujours à l’affut des plans tendances, nous avons voulu en savoir plus sur cet événement qui fait vibrer l’île depuis 5 ans déjà.

Ce qui nous a plu, c’est que ce festival est né de la volonté de jeunes promoteurs martiniquais de faire rayonner leur île dans la Caraïbe et à l’international. Derrière « Baccha Festival » se cache deux noms forts de l’événementiel, de la culture et de la musique Antillaise : DOUSINN et MY KARTEL. Gilles DUPROS, Gaël ELISABETH, Karl MELAN nous racontent que le succès actuel du Baccha Festival est le résultat d’un travail et d’un investissement important de la part de tous.

D’où vient le concept Baccha Festival ? Qui sont Dousinn’ et My Kartel ?

Gilles : «DOUSINN’ regroupe une centaine de membres répartis sur la France Métropolitaine, la Martinique et le Canada. C’est un véritable réseau d’influence constitué de diplômés Martiniquais qui ont pour mission de promouvoir la culture Antillaise à travers le monde. « MY KARTEL », organise des événements grand public depuis 11 ans en Europe pour la communauté antillaise. A travers des événements comme le Carnaval de Bordeaux « MyKartel » est devenu une référence pour les ultramarins évoluant dans l’hexagone. Nous voulions  élaborer une programmation musicale de haut niveau, mettre à l’honneur nos propres DJ, miser sur le tourisme événementiel, faire converger la Caraïbe autour d’une fête fédératrice et valoriser nos plages.

Gaël : Cette fête d’envergure est avant tout une expérience caribéenne et internationale rythmée par le goût et la découverte de l’autre, par le métissage, par cette capacité unique qu’a la musique de promouvoir les différences, de révéler les ressemblances, de réunir des milliers de personnes.

Karl : Nous voulions créer quelque chose de fort pour notre île, pour nous, pour notre culture, pour nos artistes. L’ampleur que prend le festival chaque année, nous oblige à être plus performants à tous les niveaux. Cette année, nous avons fait le choix de nous entourer de professionnels des domaines phares de l’organisation, de la régie logistique, de la communication. Cela nous permet d’être plus concentrés sur l’essentiel, sur le cœur du festival, et sur les nouveautés en matière d’aménagement, de sécurité et d’environnement.

Créola : Nous devons vous le dire, en tant que 1er magasine féminin des Antilles, ce qui nous a aussi donné envie de parler du Baccha Festival (outre la superbe programmation, mais nous y reviendrons après), c’est la fabuleuse perle qui se trouve à vos côtés… Les femmes dynamiques qui jonglent entre vie pro et vie de famille, on valide ! Alors, qui est-t-elle et que seraient les vaillants fondateurs du Baccha Festival sans elle ?

Baccha Festival : Cette perle c’est Jennyfer Desage ! C’est l’ancienne directrice du Coconut. Maintenant c’est un membre majeur du Baccha Festival. Comme beaucoup de femmes, elle est polyvalente et d’une efficacité redoutable (sourires) : gestion administrative, femme de terrain (elle solutionne tous les petits aléas qui peuvent survenir le Jour J) et responsable du staff opérationnel. Nous ne savons par ce que nous ferions sans elle. Elle nous aide à garder le cap, elle est prévoyante et organisée. Et soyons honnêtes, les femmes ne sont jamais loin du succès des hommes !

 

Créola : Le Baccha Festival dure 2 jours. Comment ça se passe concrètement, que l’on soit d’ici ou que l’on vienne d’ailleurs ?

Jennyfer : Le déplacement, l’accueil et l’hébergement des festivaliers est une des clefs de voûte du festival en terme de sécurité. Il y a beaucoup de festivaliers qui viennent des îles voisines donc nous établi des offres et des partenariats pour optimiser l’accueil de tout le monde. Une collaboration avec un tour operator comme Nayaradou Voyages garantie le sérieux, l’efficacité et l’attractivité du Baccha Festival. Toutes les structures hôtelières de la côte Atlantique sont mobilisées pour accueillir les festivaliers qui seront acheminés par une société de transport mandatée par l’organisation.

Créola : Et côté programmation, qu’est-ce qui nous attend ?

Baccha Festival : L’édition 2018 accueille de manière totalement inédite un artiste africain venant tout droit du Nigéria, reconnu sur la scène internationale et surtout d’actualité : M. Eazi. Il fait l’unanimité, en Europe et aux Etats-Unis. En l’espace d’un an, Il est déjà perçu comme l’artiste Afrobeat à l’ascension la plus fulgurante des 5 dernières années grâce à certains de ses plus gros succès  tels que « Pour me Water », « Leg over », « Dance for me ». Aux platines, Dj Private Ryan & Dj Puffy qui siègent au rang des meilleurs Djs et artistes de la Caraïbe seront réunis en Martinique pour la première fois. Les meilleurs artistes guyanais comme Jahyanaï et Bamby seront également présents ainsi que des artistes locaux. Vous en saurez plus très prochainement !

A suivre…

 

LADIES BREAK EDITION HOLIDAYS – NOUS Y ETIONS ET VOUS ?

Des fois on a juste besoin d’un break, détente, shopping, découverte, discussions entre femmes, cocktails, danse, sport,…et quand je pense qu’on peut avoir tout cela en une journée!

Thia en avait déja parlé ici et ici et moi j’ai eu la chance de me rendre en Martinique pour enfin découvrir ce qu’est la Ladies Break!

La dernière édition était dédiée aux vacances, vêtements et accessoires de plage, bikini, bijoux, mais aussi couronnes de fleurs, gourmandises, soins capillaires, plaisirs féminins, etc…si vous n’y étiez pas, je vous le dis, vous avez tout raté! Mais bon comme je suis sympa, je vous propose de visionner le déroulement de la journée juste ici ????

J’ai beaucoup aimé la conférence animée par Aïssa Moments, coach love et marraine de l’événement (celles qui ont vu le live Instagram pourront vous en dire autant, pour celles qui ne nous suivent pas encore je vous invite à le faire en cliquant juste ici) , j’ai pu rencontrer la jolie Comme des Marie, quelques abonnées trop mignonnes… J’ai eu beaucoup beaucoup de coups de coeur mais malheureusement pas suffisamment de budget ???? ????‍♀️.

Les exposants de cette édition :

????Activilong Paris : soins capillaires

????Les Antillaises : serviettes rondes, draps de plage

???? Bikini’z : maillots de bain

???? Carib Fruits : pétales de fruits croustillants

???? Le Comptoir de Cluny : prêt-à-porter

???? Dyll : lingerie et accessoires coquins

???? Eau Soleil : accessoires de plage

???? Flower Fashion by Yolaine : couronnes de fleurs

???? Gds K’réation : mode ethnique chic

???? Glam Etnik : prêt-à-porter ethnique

???? Hairfinity : soins capillaires

???? Happy Island : maillots de bain et accessoires de plage

???? Intense Beauty Store : cosmétiques, produits capillaires, et accessoires beauté

???? 727 Sailbags : maroquinerie

???? Kréyol Attitude : bijoux et accessoires

???? Lili Mood : chaussures et accessoires

???? Mlle Aëlle: sacs et bijoux

???? Mlle Valérie : bar à sourcils

???? MyOptics : opticien

???? Nacyne Créations : bijoux en cristaux

???? Nature House : rééquillibrage alimentaire , produits diététiques

???? O Ruban Rose : prêt-à-porter

???? Optic Shop : opticien

???? Oups : prêt-à-porter

???? Péché Mode : Prêt-à-porter, maillots, sacs, accessoires de mode, bijoux

???? Poopeis Bijoux :bijoux

???? Sa & La Création : sacs brodés plastifiés

???? S Cosmetics : cosmetiques

???? Tendances Store Qui m’aime me suive : bijoux, maillots de bain, accessoires de plage

???? The Store Havanaias : maillots de bain et accessoires de plage

Je tiens à remercier Karline Guillaume pour l’invitation, Flower Fashion By Yolaine pour la jolie couronne de fleurs que je porte dans la vidéo, Séverine  créatrice de la marque de maquillage S.Cosmetics pour m’avoir offert en exclu sa dernière tuerie :  les 7 pinceaux + pochette « Pink Gold – Sobre et Chic » ???? et Sa et là Créations pour la toute mignonne pochette « Vive les vacances (plastifiée à l’extérieur comme à l’intérieur #crush ????

Je vous embrasse et espère vous voir à la prochaine édition.

Sass????

Maquillage léger pour cet été

L’été, j’essaie d’en faire un minimum niveau makeup. A cette période, j’opte plutôt pour de la légèreté, voir un teint nu.

Je vous propose une idée de maquillage ultra léger.

Thia

C’EST QUI S’Y COLLE?

Vacance(s) vient de vacant qui se dit d’un poste sans titulaire à pourvoir. Je suis donc potentiellement en vacances sur le papier mais ma réalité en est tout autre ».

Parce que personne pour prendre ma relève. Toc toc y’a quelqu’un ? Qui voulez-vous pour se bousculer au portillon des courses à n’en plus finir, des salades à composer, à décliner pour varier les saveurs ? Qui voudrait occuper une fonction à plein temps pour faire plaisir à tout le monde, que chacun se sente bien, déchargé des contraintes habituelles ? Qui pour afficher un sourire « je gère, tout est sous contrôle », montrer une forme olympique apparente ? Qui pour lancer les machines à tour de bras, étendre le linge, le ramasser, le plier et parfois le ranger ? Qui pour repérer que les dosettes de café vont bientôt signifier l’arrêt de réveils tonitruants si personne ne bouge pour en racheter ? Et qui pour gérer des stocks vraiment sensibles limite à flux tendus ?

Qui pour souffler un peu quand tout le monde ou presque prend le chemin de la plage et que vous avez décliné la proposition ? MOI. Pour pouvoir m’allonger un peu (après avoir secoué et tiré les draps rapidement, tapé les coussins), passé un coup de balai pour éviter d’avoir un seau de sable à ramasser au retour des vacanciers. Pour espérer lire quelques pages de mon polar en cours, laissé en rade pour cause de « trop raide, fatiguée, lasse pour retenir quoique ce soit ». La page 24 dure, c’est moi qui vous le dis. Pour passer un peu de temps, seule, dans la salle de bains et m’enduire de crème hydratante sur ma peau un tantinet oubliée. Et si j’osais le masque pour ma tignasse filasse ? Pour réfléchir à ce qu’on mangera dans les prochaines heures… Ca y est ça me reprend !

En boucle, sans cesse. En tenant compte des allergies, des nouvelles aspirations alimentaires de certains et certaines qui du jour au lendemain ont décidé que les repas devront être composés au gramme près de denrées rigoureusement sélectionnées. Que bien évidemment ils n’ont pas pris la peine de se charger ou au minimum de vous en informer avant. Que le piment c’est savoureux mais pas pour tout le monde. Je vais mettre le piment entier, je le sens bien ce piment !

Que… j’ai envie de vous dire que là je craque un peu et que les envoyer se balader pour le reste des vacances me plairait assez. Il reste 3 jours. 3 petits jours et si grands à la fois s’ils étaient consacrés à mes VACANCES. Et là, mon oreiller et moi on en aurait des choses à partager !

Je n’en ferai rien, bien évidemment. Je me dirai la même chose que l’an dernier et que les années passées, plus jamais ça. Moi, je suis la championne du monde des Vacances et ça ce n’est pas tous les 4 ans et cela demande un effort soutenu, constant (LOL OK ? #Fièredêtrebleue). Tous les muscles travaillent, la stratégie s’améliore malgré tout (certains grandissent), l’imagination atteint des records. Sur tous les fronts à tous les postes.

Mon côté râleur (ma french touche), sur le moment, me passera aussi vite que ces sacrées vacances. Et à l’approche des vacances (prochaines), me reprendra l’envie de voir ce petit monde heureux, profiter des instants magiques provoqués par ce mot tout simple et si complexe (pas pour tout le monde) : VACANCES.

YOLE365 : BIEN VIVRE SON TOUR DES YOLES

 

Maillot de bain, OK ! Lunettes de soleil, OK ! Protection solaire, OK ! Vous êtes presque prêt(e)s pour suivre le Tour des Yoles Rondes de Martinique (TDY2018) qui arrive à grand ! On dit presque, parce que si vous n’êtes pas encore connectés à Yole365, il vous manque vraiment quelque chose pour bien vivre votre TDY2018, et tout ceux à venir d’ailleurs !

 

Session de rattrapage, Yole365 c’est quoi ?

Pour celles et ceux qui dorment ou qui étaient ailleurs depuis l’an 2015, Yole365, au tout début, c’était une application mobile gratuite pour suivre le Tour des Yoles, et surtout pour suivre le monde de la Yole toute l’année ! En résumé, il s’agissait de prendre le virage digital imposé par nos modes de vie, par notre nouvelle façon de vivre le sport et les compétitions en général. Pari tenu puisqu’aujourd’hui, Yole365 c’est : une application mobile, un site internet et des réseaux sociaux pour diffuser toute l’information autour de la yole à une communauté grandissante passée de 0 à 8000 comptes en 3 ans. (Si vous vous demandez encore ce que c’est, c’est que vous ne faites pas encore partie des 8000 comptes, mais vous serez bientôt dedans !)Ludovic, le responsable communication de Yole365 nous a dit qu’aujourd’hui «Yole365 c’est plus de 128 000 lecteurs (Application + Web), 400 articles et 1 500 000 pages consultées (Application et Web) ». (ah ça y est, vous téléchargez l’appli là ?)

En dehors de la très célèbre semaine du Tour des Yoles, l’équipe de Yole365 voulait aussi créer un outil pour découvrir le monde de la yole et suivre ce qui s’y passe toute l’année… (D’où justement le nom Yole365, vous l’avez ?). Pour que ce soit possible, ils ont constitué une équipe ultra mobilisée : reporters terrain, photographe, rédacteur, graphiste, community manager, webmaster. Et grâce à eux, vous pouvez briller quand vous parlez de yoles, du classement, du championnat etc. Vous pourrez même citer le nom de toutes les embarcations en compétition. Vous direz merci à Jean-Yves (chef de projet), Gérald (responsable web) et Mickael (responsable mobile) plus tard…

Pourquoi c’est si bien ?

La recette est simple, vous prenez 4 entrepreneurs enthousiastes et passionnés (ils sont aussi très sympa, souriants, sérieux, drôle, cultivés), vous y ajoutez du contenu super utile pour être au cœur du TDY, vous les laissez développer de nouvelles fonctionnalités et vous obtenez l’outil indispensable des fans de la Yole ! Par exemple, pour vivre le Tour des Yoles de l’intérieur et se divertir Yole365 vous saurez désormais : où trouver un bateau pour suivre le Tour ? où se restaurer dans les villes-étapes ? où sortir pendant la période Juillet – Août ?

D’après Mickaël, « ce type de contenu entretient la vie autour de la compétition, favorise l’économie locale et le tourisme événementiel ». Donc en plus d’être ultra calé sur le sujet, vous participez au développement de l’île. De quoi allier l’agréable… à l’utile, non ? Et pour ceux qui ne sont pas là que pour chiller sur un cata, et qui veulent vraiment tout tout tout savoir, Yole365 a créé des Hub sociaux. Pour les 100% frenchi, on pourrait traduire ça par « carrefour social ». C’est une centralisation de tous les réseaux sociaux de chaque yole au sein d’une page unique. Cela permet aux lecteurs et aux supporters d’accéder à une information globale, pratique et rapide. Ah, parce que nous, on veut tout savoir, maintenant et sans trop chercher.

En finalité, si on vous en parle aujourd’hui, c’est parce que Yole365 c’est devenu bien plus qu’un dispositif numérique accessible via son smartphone, sa tablette ou son ordinateur. On a eu un coup de cœur pour la détermination de 4 jeunes entrepreneurs martiniquaisqui veulent faire évoluer la Yole. C’est une démarchequi rapproche les martiniquais de leur culture d’une part, et fait rayonner la Martinique au-delà de l’aspect compétitif de la Yole d’autre part. D’ailleurs, l’équipe Yole365 collabore à une démarche pour placer la Yoleau patrimoine de l’UNESCO. (oui, applaudissez !)

« Epi Yole365, douvan nou ka alé ! » alors vérifiez une dernière fois votre sac de plage, pensez à vous hydrater, faites attention aux coups de soleil et aux insolations… et connectez-vous à Yole365. En plus, si la caramelisation de votre épiderme vous fait rater ce qui se passe pendant la course, avec Yole365, vous aurez quand même réponse à tout au diner !

https://www.yole365.com/

merci à Edyna ????

JOURNEE EN BASSE-TERRE (EDUCTOUR 2018)

Je me rends compte que c’est souvent quand la famille, les amis viennent en vacances que je prends le temps de faire des activités…Et grâce à l’invitation de Laurie BRUMIER, chargée de mission Marque Esprit Parc – Pôle Aire d’Adhésion du Parc national de la Guadeloupe, j’en ai de nouveau pris plein les yeux ! Il y a encore beaucoup de choses à découvrir sur notre joli papillon qu’est la Guadeloupe.

Chaque année, le Parc National organise des journées d’animations dans le but de valoriser et faire connaitre les patrimoines naturels et culturels du territoire : « Nature et culture en découverte ».

Le programme Eductour se déroulait sur une semaine! J’ai pu participer à la 4ème journée et c’est avec grand plaisir que je partage avec vous la vidéo de ce jour où j’ai découvert ce qu’était l’Art Thérapie, visité le site historique : La Grivelière, exploitation de café, classée monument historique depuis 1987 (Association gérant un site historique, à Vallée de Grande Rivière VIEUX-HABITANTS), déjeuné à la Grivelière, parcouru le site Vanibel (Producteur de café et de vanille à Lieu dit Cousinière Caféière VIEUX-HABITANTS), et finir les pieds dans le sable sur la plage de Malendure à Bouillante.

L’Art Thérapie, est selon wikipédia, une méthode visant à utiliser le potentiel d’expression artistique et la créativité d’une personne à des fins psychothérapeutiques ou de développement personnel.

J’ai beaucoup aimé cette activité! En premier lieu, nous étions en binôme, l’un avait les yeux bandés et devait se laisser guider en toute décontraction par l’autre qui lui pouvait voir. C’était hyper relaxant pour ma part!

Pour la deuxième activité, l’un des participants a été désigné pour écrire le début d’une histoire et à tour de rôle, nous devions rajouter quelques phrases. A la fin, nous avions écris une histoire très sympa pleine de rebondissements!

La troisième activité (Musicothérapie) elle, consistait à écouter des extraits de chansons, musiques de films et autre, et décrire nos ressentis (tristesse, peur, rire, amour,…).

La quatrième activité (l’olfactothérapie) faisait appel à nos sens…En effet, nous devions les yeux fermés, sentir plusieurs essences et écrire ce que cela nous inspirait…

Et enfin, la dernière activité se voulait beaucoup plus manuelle…Nous devions à l’aide de poterie réaliser un portrait qui transmettrait une émotion particulière.

Franchement, je vous la conseille vivement! C’est très relaxant, et je trouve qu’on se déconnecte vraiment en pratiquant ce genre d’activité!

 

Toutes les autres découvertes de cette journée étaient vraiment plaisantes! Le resto « La Grivelière » 10/10!

Menu :

  • Entrée : Crudités / accras de manioc et morue
  • Plat : Poisson rôti sauce créole avec gratin pays, éventail de légumes, légumes sautés
  • Dessert : Coupe fruitée glacée

Laurie a été une très bonne guide et Manoël, un très bon chauffeur. J’ai fais de superbes rencontres, appris pleins de choses sur la production du café, la fécondation des fleurs du vanillier, la bananeraie de montagne,…Juste WAW!

 

Si vous souhaitez avoir plus d’infos sur le Parc National rdv sur le site : www.guadeloupe-parcnational.fr

Je vous embrasse.

Sass????

BOUEES EN FOLIE

Depuis quelques années les bouées envahissent à nouveau les piscines privées et les bords de mer. Une chance pour les grands enfants que nous sommes !

Elles sont originales (j’avais un cygne quand j’étais petite), colorées (carrément flashy), confortables (à tel point que monter dessus relève de l’exploit), ne pas se vautrer dessus en mode baleine échouée serait une erreur.

Profitez-en.

 

Cependant, et parce que rien ne vaut les yeux pour une haute surveillance, veillez à ne pas laisser les enfants se baigner avec bouée (ou sans si vous lui avez subtilisée) sans surveillance. Vous en profiterez mieux.

MAIS, on pourrait (usage du conditionnel, vous n’êtes pas tenu de le faire)  se demander pourquoi un tel engouement aussi manifeste depuis à peu près 2014 (le début du boum)-2016 (le boum) ?

Parce que les réseaux sociaux ont bien fait leur boulot ! Prenez une marque d’objets gonflables, associez-y une célébrité consciente de flotter avec un cygne XXL ou pas lors d’une pool party hyper funny, qui posterait sa bouée sur un réseau, ajoutez la sphère internationale influente des blogeurs et blogueuses, les like et les cœurs et autres se démultiplient et les chiffres de vente explosent.

Le come-back de la bouée est alors hyper rentable. D’autant que la touche enfance, douceur, renforcée par un marketing débridé est loin de déplaire. On se retrouve comme des gosses et on adore ça ! Si, on ADORE.

Alors hop ! tout le monde à l’eau et laissez-vous transporter dans ce joli monde de baignades stylées tout de même, le kitsch revient au moins sur l’eau, en sachant ou en continuant d’ignorer l’aspect mercantile de la bouée.

Illustrations: bouée INTEX.

LA PERFORMANCE REPASSERA

Dans un monde où tout est calculé, performer devient une évidence. Pas pour toutes et pas pour moi. Non mais oh ! Faut arrêter de se transformer en super femme, super maman, le cas échéant,super au boulot (si travail il y a), super partout et surtout partout. Ca n’existe QUE dans les films.

C’est comme les contes de fées, être la meilleure n’est qu’illusion, mirage, rêve ou cauchemar selon le point de vue adopté. Une fois que le fait est admis, tout doucement, sans heurt, sans bruit, le côté (pas obscur) de nos raisons d’être prend (enfin) son sens. Pas la peine de courir à droite, à gauche, au milieu. Si vous ne partez pas à temps vous serez en retard. C’est vieux comme le monde cette histoire.

Vous n’avez pas et n’aurez sans doute jamais le corps auquel vous aspirez, tant pis, vous êtes en vie et ça n’a pas de prix.

Vous n’êtes pas la plus dynamique (genre brasseur d’air) dans votre entourage, et alors ? Aller à son ryhtme n’a jamais été un crime.

Vous préférez la douceur à la violence, le vrai au faux, le naturel au trafiqué, le yoga au cross fit ? Vous êtes normale soyez-en assurée.

Dans nos sociétés (dites modernes), se dessine une envie, une volonté de cesser les entrainements à outrance (et qui font un mal de chien) pour laisser place à des actions plus respectueuses envers soi-même. Fini aussi les cures de détox qui pouvaient détraquer les organismes les plus solides.

Le self care se pratique désormais tout le temps et sans excès. On mange sain dans la mesure du possible, on marche beaucoup, on pratique le yoga et la fontaine de jouvence coule à flot (c’est ce qu’on essaye de nous faire croire) ! C’est du moins ce que courant, venu des Etats-Unis (encore eux) et de Los Angeles en particulier, souhaite insuffler. Prendre soin de soi sur du long terme en se respectant, en fuyant le stress ou en le canalisant (casse-toi énergie négative, laisse-moi avec mon être tourné vers le bon, le bien, le mieux pour moi). Un courant plutôt sympathique.

Et on n’oubliera pas, dans ce bel élan de conscience de soi, de tenir son journal, de pratiquer le journaling. Imaginez, dans la maisonnée, le ménage est fait, les choses sont à leur place, la propreté règne, les idées deviennent plus claires comme par enchantement (on reste avec sa baguette magique, prête à dégainer). Le concept du journaling c’est ça. Faites le ménage dans vos pensées en les écrivant au jour le jour, en les organisant, en les priorisant (tant qu’à faire). En rationnalisant. Ce qui n’empêche en rien les coups de folie (passagère) et tout de même maîtrisés. Attention hein ? Dès fois que nos pétages de plomb prendraient le dessus sur la grande sagesse qui aurait dû bloquer toutes les interventions toxiques. Et là, les choses commencent à se corser, pour moi.

Qu’est-ce que j’aimerais être d’humeur toujours égale (mais ne serait-ce pas suspect ?), humer ma tisane (ou mon café, ça c’est mon entorse à ce mouvement), prendre la vie avec philosophie (mais comment il s’est garé celui-là ?), savourer le temps qui s’écoule (ça fait deux plombes que j’attends, j’ai du rater ma position Pigeon lors de ma séance de yoga), sentir les effets bénéfiques sur mon organisme (deux heures de marche par jour et rien pas la moindre amélioration, je désespère un peu). Ah ! Mais c’est vrai je ne négocie pas mes barres de chocolat (c’est mon magnésium). Je travaille, promis, j’y travaille. Maintenant, faut que remplisse mon journal. Et comme lorsque j’étais gosse, je vais mettre du vrai très, très, amélioré, à la guimauve, rose de préférence. Demain sera un autre jour.

Où sont mes crayons de couleurs ?

ATELIER DE CONFITURE AVEC STEPHANE PERROTTE

Jamais je n’aurais pensé pouvoir réaliser une confiture aussi bonne que celle que j’ai faite lors de l’atelier confiture sous l’enseignement de Stéphan Perrotte, champion du monde de confiture !

L’atelier avait lieu dans les locaux de la CLEF (Culture, Loisir, Education et Formation) à Pointe-à-Pitre. J’ai été invité par Corinne, la directrice avec 5 autres participantes.

Tablier par dessus nos vêtements, charlotte à la tête, mains triplement lavées, nous avons réalisé 2 confitures :

  • Confiture de Banane

Il fallait 1kg de bananes découpées en fines lamelles, 200g d’eau de coco, 550g sucre de canne, 1 citron et 50g de rhum vieux.

On a bien-sûr épluché les bananes en prenant bien soin de retirer tous les filaments, puis nous les avons découpées en 2 dans le sens de la longueur, pour ensuite les détaillées  en fines tranches.

Après avoir récupéré l’ensemble de nos découpes, le chef Stéphan Perrotte, a entamé la cuisson (à feu très vif) de l’eau de coco, du sucre et du citron pour en faire un caramel. Pour savoir si le caramel est « on point » et y incorporer la banane, il faut prendre une petite cuillère, prélever la préparation et verser quelques gouttes dans de l’eau froide, s’il cristallise c’est le moment d’ajouter vos fruits.

Ensuite il faut remuer, remuer, remuer, à l’aide d’une cuillère en bois, la banane devient de plus en plus « transparente »  et la préparation s’épaissit. C’est à ce moment là que l’on rajoute le rhum vieux et voilà la confiture est prête! Il faut maintenant la mettre en pot en prenant bien soin de le remplir à ras bord. Après avoir bouché le pot en exerçant une petite pression au centre, il faut le retourner, attendre entre 15 et 20 min et le disposer dans de l’eau froide.

  • Confiture de mangue-passion (ma préférée de tous les temps)

Il fallait également, 1kg de mangues matures, 550g de sucre, 200g d’eau de coco, 1 citron entier et 100g de maracuja.

C’est quasiment le même processus, il faut découper la mangue en très petits cubes (en essayant de ne pas manger la moitié comme mes camarades d’atelier et moi même ????), faire aussi le caramel avec le sucre, le citron et l’eau de coco, incorporer d’abord la mangue et rajouter le fruit de la passion après la première ébullition.

C’est aussi le même procédé pour la mise en pot.

Le chef nous a dit que nos confitures étaient consommables pendant 2 ans (voire 3) même si en vrai les miennes ne feront pas deux mois dans mon placard. C’est déjà mal partie, j’ai tout le temps envie d’en manger…

Bon il y avait des températures à respecter, mais je n’ai pas pu tout noter entre les instastory, les snaps etc… Le mieux c’est de vous inscrire à l’un des ateliers afin de profiter de cette belle expérience et peut être révéler le spécialiste de confiture qui sommeille en vous! En tout cas, je me suis déja vue retester la recette chez moi « mangue-passion » #toutpourtoi !

Si vous voulez en savoir plus sur les ateliers culinaire de la CLEF, vous pouvez appeler Stéphanie POCRAIN au 0690 413 411 – 0590 287 723 ou la contacter par mail thekey@hotmail.fr

La CLEF se situe au 92 Résidence Maïmouna, Route de Vieux-Bourg – 97139 Abymes

@ bientôt

Sass????