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LA PERFORMANCE REPASSERA

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Dans un monde où tout est calculé, performer devient une évidence. Pas pour toutes et pas pour moi. Non mais oh ! Faut arrêter de se transformer en super femme, super maman, le cas échéant,super au boulot (si travail il y a), super partout et surtout partout. Ca n’existe QUE dans les films.

C’est comme les contes de fées, être la meilleure n’est qu’illusion, mirage, rêve ou cauchemar selon le point de vue adopté. Une fois que le fait est admis, tout doucement, sans heurt, sans bruit, le côté (pas obscur) de nos raisons d’être prend (enfin) son sens. Pas la peine de courir à droite, à gauche, au milieu. Si vous ne partez pas à temps vous serez en retard. C’est vieux comme le monde cette histoire.

Vous n’avez pas et n’aurez sans doute jamais le corps auquel vous aspirez, tant pis, vous êtes en vie et ça n’a pas de prix.

Vous n’êtes pas la plus dynamique (genre brasseur d’air) dans votre entourage, et alors ? Aller à son ryhtme n’a jamais été un crime.

Vous préférez la douceur à la violence, le vrai au faux, le naturel au trafiqué, le yoga au cross fit ? Vous êtes normale soyez-en assurée.

Dans nos sociétés (dites modernes), se dessine une envie, une volonté de cesser les entrainements à outrance (et qui font un mal de chien) pour laisser place à des actions plus respectueuses envers soi-même. Fini aussi les cures de détox qui pouvaient détraquer les organismes les plus solides.

Le self care se pratique désormais tout le temps et sans excès. On mange sain dans la mesure du possible, on marche beaucoup, on pratique le yoga et la fontaine de jouvence coule à flot (c’est ce qu’on essaye de nous faire croire) ! C’est du moins ce que courant, venu des Etats-Unis (encore eux) et de Los Angeles en particulier, souhaite insuffler. Prendre soin de soi sur du long terme en se respectant, en fuyant le stress ou en le canalisant (casse-toi énergie négative, laisse-moi avec mon être tourné vers le bon, le bien, le mieux pour moi). Un courant plutôt sympathique.

Et on n’oubliera pas, dans ce bel élan de conscience de soi, de tenir son journal, de pratiquer le journaling. Imaginez, dans la maisonnée, le ménage est fait, les choses sont à leur place, la propreté règne, les idées deviennent plus claires comme par enchantement (on reste avec sa baguette magique, prête à dégainer). Le concept du journaling c’est ça. Faites le ménage dans vos pensées en les écrivant au jour le jour, en les organisant, en les priorisant (tant qu’à faire). En rationnalisant. Ce qui n’empêche en rien les coups de folie (passagère) et tout de même maîtrisés. Attention hein ? Dès fois que nos pétages de plomb prendraient le dessus sur la grande sagesse qui aurait dû bloquer toutes les interventions toxiques. Et là, les choses commencent à se corser, pour moi.

Qu’est-ce que j’aimerais être d’humeur toujours égale (mais ne serait-ce pas suspect ?), humer ma tisane (ou mon café, ça c’est mon entorse à ce mouvement), prendre la vie avec philosophie (mais comment il s’est garé celui-là ?), savourer le temps qui s’écoule (ça fait deux plombes que j’attends, j’ai du rater ma position Pigeon lors de ma séance de yoga), sentir les effets bénéfiques sur mon organisme (deux heures de marche par jour et rien pas la moindre amélioration, je désespère un peu). Ah ! Mais c’est vrai je ne négocie pas mes barres de chocolat (c’est mon magnésium). Je travaille, promis, j’y travaille. Maintenant, faut que remplisse mon journal. Et comme lorsque j’étais gosse, je vais mettre du vrai très, très, amélioré, à la guimauve, rose de préférence. Demain sera un autre jour.

Où sont mes crayons de couleurs ?

ATELIER DE CONFITURE AVEC STEPHANE PERROTTE

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Jamais je n’aurais pensé pouvoir réaliser une confiture aussi bonne que celle que j’ai faite lors de l’atelier confiture sous l’enseignement de Stéphan Perrotte, champion du monde de confiture !

L’atelier avait lieu dans les locaux de la CLEF (Culture, Loisir, Education et Formation) à Pointe-à-Pitre. J’ai été invité par Corinne, la directrice avec 5 autres participantes.

Tablier par dessus nos vêtements, charlotte à la tête, mains triplement lavées, nous avons réalisé 2 confitures :

  • Confiture de Banane

Il fallait 1kg de bananes découpées en fines lamelles, 200g d’eau de coco, 550g sucre de canne, 1 citron et 50g de rhum vieux.

On a bien-sûr épluché les bananes en prenant bien soin de retirer tous les filaments, puis nous les avons découpées en 2 dans le sens de la longueur, pour ensuite les détaillées  en fines tranches.

Après avoir récupéré l’ensemble de nos découpes, le chef Stéphan Perrotte, a entamé la cuisson (à feu très vif) de l’eau de coco, du sucre et du citron pour en faire un caramel. Pour savoir si le caramel est « on point » et y incorporer la banane, il faut prendre une petite cuillère, prélever la préparation et verser quelques gouttes dans de l’eau froide, s’il cristallise c’est le moment d’ajouter vos fruits.

Ensuite il faut remuer, remuer, remuer, à l’aide d’une cuillère en bois, la banane devient de plus en plus « transparente »  et la préparation s’épaissit. C’est à ce moment là que l’on rajoute le rhum vieux et voilà la confiture est prête! Il faut maintenant la mettre en pot en prenant bien soin de le remplir à ras bord. Après avoir bouché le pot en exerçant une petite pression au centre, il faut le retourner, attendre entre 15 et 20 min et le disposer dans de l’eau froide.

  • Confiture de mangue-passion (ma préférée de tous les temps)

Il fallait également, 1kg de mangues matures, 550g de sucre, 200g d’eau de coco, 1 citron entier et 100g de maracuja.

C’est quasiment le même processus, il faut découper la mangue en très petits cubes (en essayant de ne pas manger la moitié comme mes camarades d’atelier et moi même ????), faire aussi le caramel avec le sucre, le citron et l’eau de coco, incorporer d’abord la mangue et rajouter le fruit de la passion après la première ébullition.

C’est aussi le même procédé pour la mise en pot.

Le chef nous a dit que nos confitures étaient consommables pendant 2 ans (voire 3) même si en vrai les miennes ne feront pas deux mois dans mon placard. C’est déjà mal partie, j’ai tout le temps envie d’en manger…

Bon il y avait des températures à respecter, mais je n’ai pas pu tout noter entre les instastory, les snaps etc… Le mieux c’est de vous inscrire à l’un des ateliers afin de profiter de cette belle expérience et peut être révéler le spécialiste de confiture qui sommeille en vous! En tout cas, je me suis déja vue retester la recette chez moi « mangue-passion » #toutpourtoi !

Si vous voulez en savoir plus sur les ateliers culinaire de la CLEF, vous pouvez appeler Stéphanie POCRAIN au 0690 413 411 – 0590 287 723 ou la contacter par mail thekey@hotmail.fr

La CLEF se situe au 92 Résidence Maïmouna, Route de Vieux-Bourg – 97139 Abymes

@ bientôt

Sass????

MES VACANCES À MYKONOS

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@privatefly

Hello, c’est encore Korry et pour cet article je vais vous raconter mon dernier périple. Des vacances de dernière minute en Grèce avec ma bande de copines, 5 jours de détente. Meri, nous a dégoté un sublime appartement avec terrasse cernée par de fabuleuses fleurs de lys, placé en plein centre-ville, et à seulement 5 minutes de marche du bord de mer. Je ne sais pas si vous visualisez un peu le décor de la ville…

Mon voyage avait plutôt mal commencé, en allant à la plage j’ai perdu mon portefeuille. Chance ultime une touriste me l’a rapporté, chose rare. Il y a pas mal de vol à Mykonos, pas de quoi devenir parano mais je vous conseille tout de même de garder un oeil sur vos affaires. S’en est suivi, la plus grosse galère de la ville: LES BUS… Pour être plus précise la station de bus la Fabrika , que je nommerais plutôt la Galeria, vu la durée de notre attente. Près de 45 minutes d’attente et dans l’incapacité totale de monter dans les deux bus qui se sont présentés à nous: une vraie boucherie et le mot est faible. Louer une voiture, ou un scout est clairement une bonne idée. Nous voilà arrivées sur la plage, malheureusement aucune place de libre avec parasol. Pour éviter de cramer, on file dans l’eau. 

Et là … c’est magique. L’eau est parfaite et on oublie tous nos problèmes. J’ai même zappé la vidéo-conférence que je devais avoir 20 minutes plus tard. C’est clairement autre chose que le délire Paris Plage que l’on essaie de nous vendre depuis des années. À notre retour sur la terre ferme, nous avions comme par magie 3 transats avec parasol qui nous attendaient. Un signe du destin pour nous notifier que nos vacances commençaient maintenant! Après avoir passé notre après-midi à bronzer, nous avons été conviées par l’un des employés du bar à venir faire la fête. La soirée était terrible… Je peux utiliser ce mot?!? Car je pense qu’il n’y en a pas d’autre pour qualifier ce que l’on a vécu. Au moment de quitter la fête avec regret, je me suis retrouvée avec le sac d’une américaine que l’on venait de rencontrer et avec qui on avait fait la fête. Cela faisait deux heures qu’elle avait disparu de notre champ de vision, en très bonne compagnie je dois l’avouer. Rentrées à minuit à la maison, on tombe de fatigue tellement cette journée nous a épuisée. On a quand même fait la fête pendant 5 heures!!!

Le travail ne s’arrête jamais

Le lendemain, nous nous sommes levées tôt pour organiser un petit déjeuner avec des Norvégiennes qui résidaient juste au-dessus de chez nous, à base de fruits frais et de jus de citron local.

Concernant le reste de la journée, mes copines sont plus dans l’optique de vivre au jour le jour, mais je savais qu’à un moment j’allais pouvoir reprendre mes vieilles habitudes en organisant quelque chose. J’ai donc repris l’organisation des deux derniers jours et j’ai pu caser tout ce que l’on voulait faire et réserver un fabuleux dîner en bord de mer.

Nous avons l’habitude de tous fêter nos anniversaires ensemble sur Paris, mais pour le dernier en date celui de Lilit, nous avons réservé une table dans un restaurant de poissons. Nous avions tout prévu pour nous trouver au bord de l’eau et être servi au moment du coucher de soleil. Mission réussie! Une vue magnifique et un vin Grec local pour accompagner nos plats. Je n’ai jamais mangé de poisson aussi bien cuisiné de ma vie. Après ce fabuleux dîner et motivées à ne pas finir la soirée ainsi, on embarque en direction de « Big Paradise » pour faire la fête.

Nous sommes rentrées sur Paris encore plus fatiguées qu’à notre arrivée, mais la déconnexion avec la métropole a été totale. Sans compter les petites anecdotes, que je garde rien que pour moi.

À bientôt pour de prochaines aventures.

 

Korry Rudel Delpha

Une bouffée d’oxygène pour ma peau !

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*Post sponsorisé par Flocon de Bien-être.

 

ça c’était avant !!!

Quand je pense qu’avant je me plaignais du manque d’uniformité de mon teint et qu’aujourd’hui je dois traiter des tâches résultantes de boutons d’acné apparus après avoir eu 30 ans….! Alala…bref!

Avez-vous entendu parlé de l’oxyderme??

Il y a quelques années, j’avais lu un article de Femme Actuelle intitulé : « L’oxygène, le secret beauté des stars ». Il expliquait à quel point, nombreuses de nos stars préférées, étaient fans des cosmétiques à base d’oxygène et abordait également le concept du soin régénérant qui comprenait entre autre la propulsion d’oxygène sur la peau!

J’ai été agréablement surprise de voir que cette technique était arrivée chez nous et était proposée par l’institut Flocon de bien-être!

La technologie Oxyderme est le système d’oxygène médical dédié à la bonne santé de la peau, repulpant le derme, luttant contre les rides et rougeures.

Ce soin s’adresse à tous les types de peaux, aux jeunes (ados) et moins jeunes (jusqu’à….ans), aux femmes comme aux hommes et peut s’utiliser sur plusieurs zones du corps :

  • les rides d’expressions (pattes d’oie, sillons nasogéniens, rides du lion)
  • les ridules
  • le décolleté
  • le manque de fermeté de la peau (cou en particulier)
  • les cernes et les poches sous les yeux
  • le teint brouillé
  • les désordres pigmentaires
  • les tâches de vieillesse (mains, crâne)
  • l’acné, la rosacée
  • les cicatrices

 

J’ai été reçue par Claudette, une très gentille dame qui m’a d’abord fait un diagnostic de peau, afin d’observer « l’état » de ma peau mais aussi de connaitre ma routine beauté, mes attentes et pouvoir me proposer la formule la mieux adaptée.

 

C’est parti pour 35 minutes de soin! 35 minutes de pure douceur (#perledelait). Je vous avoue que j’appréhendais un peu mais on ne sent rien si ce n’est un vent de fraîcheur!

Claudette alterne entre les propulsions d’oxygène et la diffusion d’un sérum contenant :

  • Acide hyaluronique à faible poids moléculaire
  • Vitamine A
  • Vitamine E
  • Vitamine C
  • Aloé Vera
  • Minéraux et Oligo-éléments
  • Enzymes
  • Polypeptides
  • Elastine
  • FPS 50

Il existe aussi un sérum pour les cheveux, qui s’applique avec le même procédé. Ce soin est à destination des gens ayant d’importantes chutes de cheveux, chauves, souffrant d’alopécie.

 

Je vous montre un avant/après juste pour que vous voyiez à quel point ma peau est devenue plus lumineuse après juste un soin!!

J’ai vraiment trop hâte de renouveler l’expérience! On peut effectuer 1 à 2 soins par semaine et pour avoir un résultat optimal compter un minimum de 5 séances ! Les effets sont réellements perceptibles après 3 mois. Il est aussi important de suivre les conseils de Claudette, en combinant les soins avec une cure de vitamines en interne et l’utilisation de produits spécifiques en externe!

J’espère très vite dire un grand « ADIEU » à mes tâches et avoir un teint unifié! Vous imaginez ne pas avoir besoin de porter du fond de teint, devoir juste faire un petit « chichi » sur les yeux, mettre un petit peu d’high-light, un RAL et boom vous êtes « ON FLEEK »- Le rêve!

 

Si comme moi vous avez envie de tester cette méthode innovante, vous pouvez consulter la page Facebook Flocon de bien-être, appeler Claudette au 0690 74-0418 ou vous rendre à l’adresse suivante :

Résidence Belcourt, 85 rue des orchidées
97122 Baie Mahault, Guadeloupe

 

Je vous embrasse!

Sass????

J’ESSAYE DE ME METTRE AU SPORT

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J’ai bien écrit « j’essaye ». Parce qu’il faut bien que j’admette que le sport n’est plus vraiment mon allié depuis quelques années. J’ai donné, beaucoup, un temps.

La question du jour posée après l’exploit des Bleus. Non pas que je me sente une âme de championne (moi l’esprit de compétition? pfff) mais tout de même, le sport c’est quelque chose. Ca filerait presque des frissons. La vie avec son train d’enfer ne m’a plus laissée le temps… Excuse bidon, j’assume. Mais quel sport ? En lien avec la mer, l’océan, le  sol ? Comme tout le monde, j’en ai envie mais qu’est-ce qui me plairait vraiment ?

Flirter avec les vagues en mode surf ? En paddle surf ? je ne le sens pas vraiment. Le kite surf ? Non, là je ne m’y vois pas du tout. Le kayak ? Comment vous dire… Le wave ski ? Je ne tiens pas à me faire mal. La randonnée subaquatique ? A la rigueur, mais à mon rythme la rando. La voile ? En équipage pour le fun, en solitaire je vais m’ennuyer. Nager m’ennuie aussi. Par contre me laisser porter par les flots, j’adore mais ce n’est pas hyper efficace dans un cadre sportif. Dommage.

Le tour sur l’eau est terminé et rien pour moi. Vous avez remarqué que je n’ai pas cité les sports tendances qui permettent de voler, de plonger tout cela propulsé ? Je ne m’imagine même pas une seconde là-dessus. Et la plongée sous-marine ? Suis claustrophobe et je ne vois rien.

Au sol, la marche. Ok mais pas en pleine chaleur sinon je vais me décomposer et si quelques boutiques pouvaient se trouver sur le chemin ce serait appréciable. Au moins pour regarder, je laisse la carte bleue à la maison. Il faut faire un choix : eau ou CB, pas folle je prends l’eau. La course à pied ? Vous avez remarqué mon allant naturel pour les activités sportives qui demandaient un gros effort, n’insistons pas. La randonnée? Je peux vous dire que j’ai les chaussures adéquates et elles sont bien rangées dans le coffre de ma voiture dans un état impeccable. Un bon achat ces chaussures, vraiment.

Le beach-volley ? A regarder, avec un grand plaisir. Tout comme le beach-tennis. Remarquables disciplines méconnues, pas médiatisées et pourtant… On a quelques champions dans ce domaine (au niveau européen depuis le fameux dimanche 15 juillet) me semble-t-il. Enfin, bon, sait-on jamais, notre ministre des sports s’en souviendra un jour, n’en doutons pas. Peut-être le beach-soccer alors? Le terrain est super grand.

Le bad (who’s bad ?) ? Mon problème avec ce sport, au demeurant très sympathique, est sa pratique en salle. Evidemment, sinon comment voulez-vous que le volant suive sa trajectoire en cas de courant d’air ? Donc en salle, donc chaleur, donc non pas pour moi.

Alors que faire pour mon fessier, mes hanches, mes abdos, mes je ne sais plus quoi tellement il y en a (certains même insoupçonnés) ? En ai-je vraiment envie ? En suis-je capable ? A la deuxième ma réponse est « encore un peu oui », à la première je réponds : voilà, mon envie n’est pas hyper présente. J’assume.

Mais comme ma raison me guide, parfois, j’enfile mes baskets (pas pour pratiquer le sport du même nom) et je m’en vais arpenter les rues, appareil photo en bandoulière. Et c’est du sport aussi, pas intense certes, pas comme on l’entend, mais tout de même. 5 km par jour ça use mes semelles et fait du bien à mon esprit et à mon fessier aussi. Et croiser de l’humain pas dégoulinant c’est appréciable. Ca prendra plus de temps pour sculpter (encore mieux) mon corps de rêve (j’ai écrit « rêve »), c’est tout.

 

Ma Fashion Week Paris

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Bonjour à tous, je m’appelle Korry et l’équipe du Créola magazine m’a invité l’instant d’un court moment à partager ma vie avec vous. D’origine martiniquaise, née en métropole je réside à Paris depuis toujours. Je ne suis pas photographe, styliste , maquilleuse et encore moins coiffeuse: mon boulot s’apparenterait plus à directrice artistique – chef de projet.

(Merci Korry pour ce partage! La team Créola est contente de t’accueillir sur son blog !)

 

J’essaye, comme toutes les personnes dans le milieu, de faire grandir mon réseau et de fournir à mes clients tout ce qu’ils demandent: peu importe ce qu’ils demandent!
C’est excitant, stressant mais fantastique à la fois, ça m’oblige à me dépasser et à oser des choses que JAMAIS dans ma vie je n’aurais faite. Je peux vous l’assurer, je me suis déjà retrouvé dans des conditions plus que complexe.

Tout cela pour vous mettre en situation par rapport au stress que j’ai ressenti ces deux dernières semaines. Semaine prêt-à-porter homme, suivi de la semaine de la haute couture et d’un voyage en Grèce, histoire de bien m’achever.
Première semaine aucun défilé en vue, je n’avais pas prévu mes demandes d’invitations car je ne voulais tout simplement pas y aller. Et finalement je me suis retrouvé embarqué dans des ouvertures de boutiques, soirées et des cocktails party.  Très épuisant mais aussi fabuleux car juste en une semaine j’ai doublé mes clients; problème j’ai aussi doublé ma charge de travail.

XY – Opening Store

La semaine suivante j’ai organisé mon premier shooting en tant que directrice artistique au Philharmonie de Paris en solo et cela a été beaucoup plus difficile que prévu.
Je pense en toute sincérité que sans Charlène ( ma styliste ) cela aurait été encore plus compliqué, même impossible. Elle m’a clairement donné l’énergie dont je manquais ce jour-là.

Entre-temps, j’ai rencontré la directrice du showroom Tony Ward. Ne me demandez pas comment, mais en 10 minutes, je me suis retrouvé en charge du recrutement des photographes et des vidéastes pour le défilé Haute Couture.

Tony Ward Show – Credit Philippine Antoine

Suivre les personnalités, l’ambiance du défilé  «  behind the scene » quoi ?!? Délais du recrutement: 24 heures !!!
En pleine période Fashion Week, autant dire mission impossible. Objectif tout de même atteint, j’ai été en charge de cette petite équipe pendant toute la durée de l’événement. Tout cela en plus de mes projets qui sont en cours, ça fait beaucoup. Je viens de prendre ma première assistante, heureusement .
Je n’ai qu’une hâte c’est de m’envoler pour Mykonos!

Merci encore à Créola pour cette fabuleuse invitation et à bientôt.

 

Korry Rudel Delpha

 

 

A la dérive

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Même si vous n’avez jamais navigué, ce film qui a pour toile de fond les lames du Pacifique et les senteurs de Polynésie ne vous laissera pas indifférent. Le récit de cette jeune femme qui se bat pour sa survie et celle de son fiancé après avoir traversé un terrible ouragan peut se voir comme une métaphore de ce que nous vivons au quotidien : vie de couple et histoire de vie réunies.

Le film se décline sur une magnifique mise en scène, sur fond d’images de rêve qui virent parfois au cauchemar, mais où rien n’est joué d’avance. Un combat pour survivre au jour le jour, avec pour seules ressources l’amour, et la rage de s’en sortir est encore plus émouvant lorsqu’on sait qu’il est tiré d’une vrai récit. A voir et à revoir sans se lasser. Encore à l’affiche à Madiana pour quelques jours… dépêchez-vous.

Un film réalisé par Baltasar Kormákur avec Shailene Woodley, Sam Claflin.

Miss Guadeloupe pour Miss France: les 10 candidates

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Qui succédera à Johane Matignon le 04 août 2018 au Hall des Sports de Goyave?

Le lundi 09 juillet, s’est tenue la conférence de presse Miss Guadeloupe 2018 pour Miss France 2019 à l’hôtel Arawak au Gosier durant laquelle les 10 prétendantes au titre ont été dévoilées . Suite à un casting rigoureux, un week-end d’intégration chargé en ateliers, un shooting attendait les candidates retenues, les conditionnant ainsi pour l’aventure Miss Guadeloupe.

Cette année, une nouvelle équipe tient les Reines!

Sylvie Tellier nomme Sandra Bisson à la tête de Miss Guadeloupe pour Miss France, investissant le titre de déléguée régionale et Présidente de Guadeloupe La Belle, association chargée de l’organisation et de la promotion du concours, regroupant 7 femmes qui arborent la même vision de la femme antillaise.

De gauche à droite: La Fée Pipelette blogueuse, Rebecca Marival publiciste et communication relation publique, Sandra Bisson, déléguée régionale Miss guadeloupe pour Miss France et Présidente Guadeloupe La Belle

Une présidence rassurante et bien reçue lorsque l’on connaît le palmarès de la nouvellement nommée: Miss Guadeloupe 2001, 1 ère dauphine Miss france 2002, chaperonne des Miss Nationales, consultante et coach en communication. Autant de titres qui font de Sandra Bisson une experte à l’oeil affuté qui saura répondre aux exigences de ce domaine.

Durant un mois, les 10 jeunes femmes, encadrées par une équipe participant à leur perfectionnement se prêteront à divers exercices afin de parfaire leurs passages en vue de la date fatidique. Entre coaching physique, chorégraphie, élocution, les préparatifs s’annoncent riches et intenses.

Les 10 Candidates

Le voting est ouvert d’ors et déjà ouvert et prendra fin le soir de l’élection.

La vente des billets s’effectue sur http://www.allmol.com

Pour les suivre et ne rien rater:

Facebook – Instagram

 

 

 

Le sac dans tous ses états !

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Mais…

????….que se passe-t-il avec l’accessoire qui rend souvent la femme addict (obssessed), celui sans lequel parfois une tenue est comme…inachevée? Pour lequel on est prête à se ruiner et qui compte parmi les trésors de la culture mode.

Je veux parler du SAC, objet de convoitise…must have ou collector…il est en ce moment au centre de toutes les attentions de la sphère MODE.

Pourquoi? Parce qu’on tente de le réinventer, « l’améliorer »? En tout cas le rendre plus versatile, pratique, moins encombrant…(exception faite de la star de l’été: le panier) Car qui n’a pas galéré en se demandant quoi faire de son sac, au restaurant, en soirée (sans vestiaire) ou à un concert?

Alors si ces dernières années on a observé une tendance à l’oversize (et oui on a parfois tellement de choses à mettre dedans…) A la ville; celle-ci -re-vient en fait à le rendre de plus en plus petit.

Aujourd’hui la grande bataille est menée par le retour de la sacoche. 

Mais si !…pas besoin de vous le rappeler, difficile de passer à côté de tous les post instagram sur le sujet…le sac banane des années 90 (comme beaucoup d’item de l’époque) tente de nouveau de s’imposer dans notre garde-robe. Nous avons déjà vu moult exemple donc je ne vais pas trop m’attarder dessus. Juste un récap en image avec les différentes formes possible et bien sûr le best-seller de chez Gucci : « la sacoche ceinture » en vedette.

       

(pinterest)

OK…Maintenant abordons le vif du sujet !

…Le fait est que la sacoche banane  n’est pas la seule à essayer de révolutionner l’univers du « sac féminin » et de la vie qui va avec (ou dedans).

En 2007 chez Chanel, Karl Lagerfeld a déjà tenté un push en lançant le mini sac de cheville : 

(vogue.com)

…Malheureusement ça n’a pas trop pris à l’époque

MAIS BOUM !!!

Voilà que maintenant, là, aujourd’hui… KYLIE JENNER (idole de la jeunese fashion-victime, top model et it girl incontestée) poste une photo sur instagram avec cette petite chose à sa cheville. Va-t-on avoir une nouvelle tentative pour imposer cette chose ?! (épinglée la minette ! par Puretrend sur son instastory)

Si au moins cela s’arrêtait là…

En fait non… car comme le souligne l’article de Puretrend; Ce n’est pas la seule tendance « sac » qui se profile à l’horizon. Dernièrement, au défilé Vuitton, BELLA HADID (idole de la jeunesse fashion-victime, top model et it girl incontestée…) s’est pointée avec une sacoche jambière.

Oui Oui vous avez bien lu. Vous savez le truc un brin aventurier accroché à la cuisse façon LARA CROFT; A mi-chemin entre Davy Crockett et la panoplie du bricoleur… ????????‍♀️????????‍♀️

 

(google images)

Mais version sac….

(pinterest)

Pas top…vous me direz…(même moche en fait)

Bon c’est un article plutôt associé aujourd’hui à l’univers biker, ou baroudeur (ou les deux) comme on peut le voir…pour le coup ça fonctionne pour le côté pratique et qui prend peu de place en enfourchant son 2roues chez ces messieurs (pour choper sa carte de crédit ou sa monnaie au péage…lol…c’est en effet mieux que le sac à dos)

 https://artonvel.com/fr/

Pourtant la stratosphère fashion s’est dit « ben dis-donc, il y a peut-être un filon par ici ?! » et HOP, Bella Hadid nous le vend presque dans une version épurée…que j’envisagerais bien de porter si je roulais en custom (comprenez Harley Davidson ma nouvelle passion)

    

(Just Jared/Puretrend)

Et vous plutôt tentés par le mini-sac cheville? La sacoche jambière?

Alors…Yes or No?

See Ya! ????

Enalor

Journal d’une Martiniquaise à l’étranger : le foot

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©lci

Période de la world cup oblige, je ne loupe pas un match. En bonne française que je suis et d’origine martiniquaise, le foot, c’est une culture, c’est un art, c’est un mode de vie. Alors oui, toutes les « françaises », ne sont pas fans de Thierry Henry. Quoique… Nous sommes toutes fans de Titi, mais pas forcément du foot. 

Cette année, je suis au paroxysme de l’enchantement : l’Italie n’est pas de la partie et l’équipe de France est au top niveau. Dès le début de la compétition, j’aurais parié ma culotte que nous serions dans le carré final. Et bien évidemment, Bibi avait raison. 

@img.xooimage.com

Mais là, ça se complique. J’écris le jour de la demi-finale et le match n’a pas encore commencé. La France affronte la Belgique. Oui, oui. Le pays de la bière est en demi (joli jeu de mots, je sais). Et le pire, c’est que Thierry, mon Titi, m’a été infidèle! Oui manotte ! Le mec fait partie du staff technique de la Belgique. Bon OK, son pote Didier fait du bon boulot et en homme d’honneur, il aurait été inconcevable qu’il prétende au poste de sélectionneur alors que Didi est encore en place. 

©voici.fr

Au fond, je le comprends mon Titi. Il veut se perfectionner, apprendre ce nouveau métier et il essaye de le faire bien. C’est tout à son honneur. Il est comme ça Titi : perfectionniste. Alors toutes les mauvaises langues pourront le critiquer, moi, je suis à fond pour Titi !

PS : Je suis de tout cœur avec lui, sauf aujourd’hui, faut pas déconner ! Alors Titi, je t’aime bien, mais j’espère de tout cœur que ce soir, tu retourneras manger des frites avec tes potes accompagnés d’une belle blonde. Allez sans rancune.