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DIY : Origami, art du pliage de papier…

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Salut, je suis Lindsay, j’ai 24 ans et je suis éducatrice de jeunes enfants à temps partiel. Je consacre l’autre partie de mon temps à diverses activités.

Créola, me permet et me donne envie d’écrire. C’est pour cela qu’aujourd’hui j’écris mon deuxième article.

(Une fois de plus nous te remercions pour cette belle découverte Lindsay…La team Créola)

L’origami est l’art du pliage de papier asiatique. Selon wikipédia, ce mot viendrait du japonais qui l’aurait lui même emprunté au chinois.

J’ai découvert l’origami lorsque j’étais encore à l’école, sans savoir ce que c’était vraiment. Lors des pauses, on faisait des avions et des bateaux pour jouer.

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Décorer
avec l’origami 3D

Aujourd’hui, je l’ai redécouvert sous une autre forme via internet. Bien plus travaillée et approfondie. J’ai aussi vu une de mes connaissances user de cette technique et cela m’a donner envie de tester. J’ai la chance d’être habile de mes mains, et à force d’exercice, cet art est devenu l’un de mes passe-temps favori.

Une fois la technique du pliage assimilée, il ne reste plus qu’à assembler et créer. Pour ce faire j’utilise du papier machine 80g. Mais il est possible de procéder avec tout autre type de papier : du papier journal, magazine, etc… 90g.. 100g..

La technique de base est celle là ????

Mes créations

Partant de modèles vus sur internet via YouTube et Pinterest, je crée ce que j’aime. Cela peut être pour une  occasion spéciale, un plaisir d’offrir, une envie de changement chez soi.

  • Le fruitier

Il faut 510 bouts de papiers pour le réaliser. Autant dire qu’il faut être patient mais le résultat en vaut la peine!

L’assemblage ne nécessite pas de colle, les papiers sont reliés entre eux.

 

 

 

  • Le cœur

Il contient 470 pièces. J’en suis hyper fière!

 

 

 

 

Le top tendance, est le DIY du bouquet de la future mariée en origami. Comme vous le savez, tout ce qui est DIY est très avantageux, à la fois économique, original, de longue durée et à mon sens magnifique.

 

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Cet été, je compte bien partager mon savoir avec les enfants du centre de loisir (CLSH) dans lequel je suis.

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Et vous, aimez-vous les loisirs créatifs ? Est-ce que l’origami vous intéresse ?

Moi je valide et vous invite vivement à essayez !!

A bientôt!

 

????Lindsay????

 

Comment être super classe à la plage ?

A l’occasion des vacances, abordons un sujet de la plus haute importance, injustement délaissé par les grands chercheurs : comment rester chic à la plage ? Certes, pour certaines extraterrestres, la question se résout aisément : elles s’allongent négligemment à l’abri d’une large capeline de paille et le tour est joué. Mais pour nous, les filles du quotidien, ce n’est pas si facile….

Le maillot est mon ami (mais pas toujours) 😕 
« Le prix s’oublie, la qualité reste » répète ma mamie. Forte de ce judicieux conseil, je décide d’investir dans un somptueux maillot de bain, en guettant le moment des soldes à 7 heures du matin sur Internet, tel un épagneul breton s’apprêtant à partir chasser. Oubliée la bêtise de foncer sur un sublime maillot en photo qui se révèle transparent dès qu’on le trempe dans l’eau. Terminées les pulsions fantaisistes qui me portaient vers un maillot avec plein de jolies ficelles, idéal pour obtenir un bronzage tigré. Prête à céder aux sirènes de la nouveauté, je regarde la nouvelle mode : un string hallucinant qui dévoile les trois-quarts du postérieur. Il paraît que ça va à tout le monde annonce tranquillement le mannequin parfait qui a lancé cette mode. Outre que cette affirmation est totalement fausse, je me vois mal déambuler presque nue au milieu d’une foule d’inconnus. Finalement, mon vieux maillot de l’an dernier n’était pas si mal…

Espadrilles, tongs, claquettes : l’embarras du choix (ou le choix de l’embarras) 😉 
La tong, pour moi, c’est niet : jamais réussi à ne pas me cisailler l’entre-orteil et puis quand c’est mouillé, on dérape grave. La claquette, c’est vilain comme tout. L’espadrille c’est joli au début et puis très vite, le tissu se détend et ça ressemble à des vieilles pantoufles. Alors ? Quelle est la solution ? On oublie la méduse, pratique pour crapahuter sur les rochers, mais irrémédiablement ridicules passées six ans. Quant aux crocs, ces choses inventées par des esprits diaboliques, on les laisse au jardin potager, endroit qu’elles n’auraient jamais dû quitter. Et l’on revient aux tongs, qui, en dépit de tous leurs défauts, restent les seules capables de se prêter à la marche sur sable.

Protection rapprochée 😎 
Les lunettes et le chapeau restent les piliers incontournables de la classe. Une belle monture, large et couvrante, et hop ! Nous voilà transformée en star mystérieuse. C’est trop facile. Le seul petit souci, non encore résolu à ce jour, reste le contact des lunettes avec la crème solaire dont on s’est tartiné le visage. Très vite, les verres deviennent opaques, on ne voit plus rien, et ne reste que la curieuse impression d’avoir nettoyé ses lunettes avec deux tranches de jambon. La large capeline de paille, évoquée dès l’introduction, est le sésame des belles divas. Mais, il ne faut pas un brin de vent, car sinon, les bords du chapeau flottent comme des malades prêts à attaquer tout être humain qui s’approcherait d’un peu trop près. Le bob est à proscrire : même sur une beauté fatale, il fait une tête de gland, il faut bien l’avouer. La casquette est périlleuse : on a vite fait d’avoir des allures de championne de pétanque. Le top, c’est le foulard-bandeau, qui ne protège pas du tout, mais qui est tellement élégant quand on sait bien le nouer. Attention, on peut vite ressembler à une paysanne ukrainienne du siècle dernier. Sinon, on peut opter pour les cheveux enduits d’huile protectrice. Bien coiffés, en chignon stylisé ou en nattes, c’est pas mal. On pense à une sirène…Mais non cela ne fait pas « gras-mouillé »  comme dit ma fille en criant « Berk ».

Mission impossible (et c’est tant mieux) 😆 
Reste…Le reste. A savoir les innombrables accessoires que nous devons transporter pour aller à la plage. Glacière, parasol, bouées, sacs, serviettes…Et là je demande, où est la classe ? Alors certes, on peut faire comme les stars et sortir une belle bouteille de rosé toute fraîche de la glacière (si, si, les stars boivent sur les plages, à n’importe quelle heure du jour), mais c’est bizarre ce sentiment d’être plus proche du « punk à chien » que de Rihanna. Alors, on garde sa serviette pas fashion du tout avec des dauphins, son parasol ni crème ni beige mais orange, et on savoure le meilleur des vacances : la liberté.

(Merci à Julie Thamin)

Sandra MICHAL, un exemple de réussite !

Le caporal Sandra MICHAL, ici aux côtés du Lieutenant-colonel Frédéric AUBANEL, nouveau chef de corps du RSMA de la Martinique, est un exemple de réussite. Stagiaire devenue formatrice à force de courage et d’envie, elle s’est faite remarquer, entre autres,  l’année dernière en tant que secouriste à SAINT-MARTIN. C’est à ce titre qu’elle représentera la Martinique, avec 9 autres volontaires, lors du prochain défilé du 14 juillet à PARIS.

 

Qui êtes-vous ?

Je m’appelle MICHAL Sandra, Foyalaise de 22 ans, chef de filière Remise à Niveau et Mobilité au sein de la 3ème compagnie de formation professionnelle (« les jaunes »).

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Bachelière sans expérience professionnelle, j’ai souscrit un contrat de volontaire stagiaire le 03 octobre 2016. Mon but initial était de découvrir les métiers de la défense et de la sécurité, sans plus.

Je me suis rapidement démarquée des autres. Identifié comme future volontaire technicien, j’ai signé un contrat pour devenir formatrice le 31 juillet 2017.

Aujourd’hui, mon quotidien c’est encadrer et former des jeunes martiniquais volontaires. Je ne cesse d’approfondir mes compétences et connaissances afin de toujours mieux leur transmettre une instruction de qualité dans le but de leur permettre de trouver un travail.

Avez-vous rencontré des difficultés dans ce métier en tant que femme ?

Dans les premières semaines, j’ai eu un peu de mal à m’adapter, en particulier à la vie en collectivité. Mais mon envie de réussir «quelque chose de ma vie » m’a poussé à poursuivre. Maintenant, un peu plus mature et parfaitement rodée à ce mode de vie, je m’épanouis pleinement.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous orienter vers cette carrière ?

Même avec un « bac pro » en poche, ce n’est pas facile de se lancer dans le monde du travail, surtout ici en Martinique.  Alors pourquoi ne pas tenter une expérience originale qui me garantissait, à coup sûr, un emploi. Et puis au final, ça a été le coup de foudre…

 

Avez-vous eu des difficultés à concilier ce travail et votre vie privée ?

Parfois, il est vrai que le travail peut avoir des conséquences sur la vie familiale et privée. C’est juste une question d’organisation. Tout n’est qu’une question d’organisation et d’envie.

Embarquement pour ST MARTIN

Quel est votre meilleur souvenir ?

Ma projection à deux reprises sur SAINT-MARTIN. La première fois, en mars 2017 dans le cadre de l’exercice RICHTER… Mais c’est surtout ma mission en septembre 2017, «en réel », lors de l’intervention après le passage de l’ouragan IRMA qui restera le moment le plus fort de ma jeune carrière. Formée aux missions de sauvetage et d’aide à la population, j’ai pu mettre en application tout ce que j’avais appris et aider les autres… Un véritable sentiment de fierté et d’utilité.

 

Quel est votre pire souvenir ?

La découverte de la désolation de SAINT-MARTIN et la détresse des populations sinistrées après l’ouragan IRMA.

 

Quels sont vos projets à venir ?

Même si je peux poursuivre encore pendant 3 ans au RSMA,  je souhaite aller plus loin. J’avoue qu’après mon expérience à SAINT-MARTIN je pense à m’engager ou à passer l’un des concours de la fonction publique : me sentir utile pour les autres est mon moteur de vie.

 

Que pouvez-vous dire aux jeunes femmes qui souhaitent exercer ce métier ? Quelles en sont les qualités requises ?

J’encourage toutes les femmes à le faire…  C’est à la fois une découverte et une opportunité car le RSMA, comme les métiers de la défense, de la sécurité ou de la fonction publique offrent de réelles opportunités de carrière, que l’on soit une fille ou un garçon.

 

Les qualités requises, pour, comme moi, s’épanouir sont :

  • Le dynamisme…
  • L’ouverture d’esprit…
  • L’autonomie…

… Et surtout la motivation de réussir sa vie.

 

 

Un grand bravo Sandra pour ce parcours exemplaire qui ne cessera d’évoluer et merci d’avoir répondu à mes questions! Très belle découverte et surtout modèle de persévérance pour celles qui souhaitent évoluer dans ce domaine !

J’invite toutes celles qui sont dans l’hésitation à se rapprocher du RSMA, vous ne le savez peut-être pas encore, mais une belle carrière s’offrira à vous !

Plus d’infos sur le site : www.rsma-martinique.com et sur Facebook RSMAM

@ bientôt!

Sass????

TATOO OU PAS TATOO ?

Avoir sa marque, sa particularité, son truc à soi, le tatouage est plus qu’un phénomène de mode. Beaucoup plus.

Le tatouage était, à l’origine des temps, une marque d’appartenance à un clan, une tribu (magnifiques le tatouage tribal). Et comme beaucoup d’autres signes, il est devenu le repère d’un même groupe, que ce soit de profession (les marins ou de passion. Il suffisait d’un signe pour se reconnaître ! Un signe souvent dissimulé pour éviter d’être désigné. Aujourd’hui, on le trouve sur toutes les peaux, des hommes, des femmes. Nul besoin d’appartenir à une quelconque bande ou mystérieuse organisation pour avoir son tatouage. En France, une personne sur dix serait tatouée. Maintenant on l’expose, on le montre, on l’aime son tatouage. Plus question de le cacher sous les manches, sous les jambes d’un pantalon ou les longueurs d’une jupe. Selon certains spécialistes de la question ce serait pour laisser une trace. Comme quoi on s’accroche à ce qu’on peut quand on pense à notre disparition. Selon d’autres spécialistes, en se tatouant on s’affirmerait. Un moyen comme un autre.

Selon moi, chacun fait ce qui lui plaît. Et visiblement je ne suis pas la seule à le penser car une récente étude donne la majorité des tatoués comme étant passé à l’action sur une simple envie sans aucune raison particulière. Ils se sont levés un beau matin (ou pas top le matin) et ont décidé de but en blanc de se faire encrer. Qui se tatoue ? Celui ou celle qui en a envie. Plus de code, plus de raison particulière, juste une question d’envie. Qu’est-ce qui fait qu’on hésite ? La douleur (normal) et le résultat. Vous avez envie d’une rose et vous ressortez avec ce qui pourrait ressembler à une rose selon un art non encore connu à ce jour. La boulette. Grosse en plus parce que pour s’en débarrasser re douleur. Et pas qu’un peu. Moi mon seuil étant rapidement atteint, même pas en rêve le tatouage !

Certains tatouages sont de véritables œuvres d’art. Précision, couleurs, finesse. Ca me donnerait presque envie. Les salons, expositions, dans ce domaine se multiplient tout comme les considérations d’hygiène devenues draconiennes. Il était temps.

Pour toutes celles qui aimeraient mais qui se disent que non finalement ce n’est pas pour elles, les tatouages éphémères existent et sont beaux. De plus, pas de problème pour l’appliquer. Vive la décalcomanie (procédé par lequel on transfère des images colorées sur un support) ! Un vieux mot passé de mode (là, je rigole, parce que je me revois appliquer le papier illustré du Malabar sur le dos de ma main légèrement humidifiée, sinon les couleurs bavaient). Et sinon, un dernier dans le genre pas mal du tout qui est on ne peut plus naturel, solaire et éphémère (celui de l’illustration principale). En plus ce sont des femmes qui l’ont inventé alors coup de pouce pour elles 🙂  : Tany (marque déposée).

 

INFO PLUS : CARIBBEAN TATTOO Convention, premier salon du tatouage de la Caraïbe, les 13-14 et 15 juillet au WTC à Baie-Mahault

 

 

 

 

 

Qui se cache derrière la collection de t-shirt « Tchiiiiiiip »?

Quand Valérie de la boutique Collection Privée  (Galeries de Houelbourg) m’a envoyé la photo du t-shirt marqué « tchiiiiiiip », je me suis dis « il me le faut »! Les t-shirt avec des messages, je valide! Et encore plus avec des messages comme celui là! Une expression bien de chez nous que je trouve rigolo de porter avec style! Et puis « tchiiiiiiip, ONE LIFE » c’est mon état d’esprit! Après libre à chacun de l’interpréter à sa manière!

Je l’ai pris en taille XL car je voulais le porter en robe t-shirt, mais il existe plusieurs tailles et différents coloris. Evidemment, j’ai posté ma photo sur Instagram pour avoir des avis et beaucoup de personnes ont kiffé l’idée et m’ont demandé qui était la créatrice? Du coup je me suis dis pourquoi ne pas vous la présenter dans un petit article sur le blog!

@collectionpriveestore
@collectionpriveestore

Qui se cache derrière Manzel Mazette?

Ketty, née en Martinique, élevée à Cannes (Sud de la France) vivant à Paris, des études dans le commerce, ancienne manager service client, mère, pacsée, tatouée, porteuse de lunettes, croyante!

Comment t’est venue l’envie de créer?

Depuis l’adolescence, je composais mes looks avec les fringues de mon frère car j’aimais avoir un look atypique, ensuite j’allais chez le couturier du coin pour customiser mes propres habits et les rendre encore plus fun (exemple coudre deux jeans ensemble pour les superposer , faire un sac avec mes shorts etc…)puis un jour je suis entrée par hasard dans une boutique de créations de bijoux fantaisies et j’ai décidé d’en réaliser et c’est là que l’aventure créative a commencé…..

Quelles sont les matières et imprimés que tu aimes le plus travailler ?

Le vynil, le vichy, le wax évidemment et j’espère bientôt le madras ????

Où puises-tu ton inspiration ?

Dans le vintage, mes souvenirs d’enfance, les grands créateurs, la rue, les magazines (mon préféré est « glamour »)

S’agit-il de ton métier ou de ta passion ?

Mon métier, j ai quitté les bureaux pour tenter l’aventure créative et je ne regrette pas!

Quelle vision as-tu de ton métier et quels en sont les avantages et inconvénients ?

La création est selon moi, une façon de partager son histoire, son identité, sa vision de la beauté, du style.

Les plus : faire ce que j’aime, le partager, l’admirer sur les autres, la reconnaissance, rencontrer des personnes diverses et variées,

Les inconvénients : trouver l’inspiration quotidiennement, la copie, être multitâche…

Quels sont tes projets à venir ?

Mettre en avant ma collection « tchiiiiiiip », préparer la collection hiver, m’introduire dans les médias, et ouvrir une boutique.

En parlant de ta collection « tchiiiiiiip », pourquoi « tchiiiiiiiip » justement?

Pour l’été je cherchais une idée pour ma collection de tee-shirt, un mot, une phrase, qui pouvait parler au plus grand nombre, et le tchiiiiiiip est venu spontanément vu que je le prononce 1000 fois par jour minimum. Celle où celui qui porte  le tchiiiiiiip envoie un type de message : « je me moque de ce que tu peux penser  de moi ???? »  et ça parle à beaucoup d’entres nous. 

 

Merci pour tes réponses Ketty, je te souhaite de la réussite et bien plus encore !

Vous pouvez la suivre sur Instagram ici, acheter vos t-shirts à la boutique Collection Privée (Instagram ici), ou d’autres de ses créations sur le site www.manzel-mazette.afrikrea.com

Je vous embrasse!

Sass????

Un petit tour en cycliste…ça vous dit?!

Chaque année, la mode (re)sort des idées farfelues de tendances (a suivre…ou pas)

Si je vous dis cycliste,  vous pensez à qui, à quoi ? Aux actrices de Sauvé par le gong…Parker Lewis ? A Lance Armstrong pendant le tour de France?… Et peut-être à vous aussi, pendant vos années collège (enfin si vous êtes nées avant 90…j’oublie parfois que je suis aussi vieille…)????????‍♀️

C’est certainement la tendance de l’année dont on se passerait bien mais elle est là…et tente de s’imposer tranquillement mais sûrement. Il s’agit bien du short de cycliste, aussi appelé cuissard.

Le cycliste a pourtant déjà connu des heures de gloire, au début des années 90. On le porte alors sous une mini jupe ou en version d’été comme le classique outfit : caleçon + t-shirt large ou sweat pour traîner à la maison; à défaut de se balader en ville avec sa bande de copines. Il est noir pour le sport, rayé et/ou fluo dans les clips de l’époque à fleurs ou à pois…????

 

Alors bon, plutôt sympa sous un short en jean trop court ,un peu élimé pour casser le côté vulgos, parce que rock 90’s et sous un short sportswear …Et sinon, le cycliste short seul, sans rien  ce n’est pas gagné

Pourtant, c’est le cas de Kim Kardashian …. Elle nous a ressortis le cycliste de son contexte pour en faire une pièce à porter en pleine rue tranquillement, l’air de rien (c’est tout à fait normal chez Kim). En le mixant avec d’autre pièces. Et elle n’est pas la seule ! Le cycliste est LE nouveau truc que les influenceuses outre manche nous imposent (Emily Rataj…machin – Bella Hadid aussi) On est pas sorties d’affaire avec cet amour des stars pour l’activewear porté au quotidien en aller « chercher du pain »…

  (pinterest)

Car il a déjà été aperçu sur les podiums ! Non, ce n’est pas une mauvaise blague. Cette année, le cuissard fait une entrée remarquée chez Off-White, mais aussi Fenty, Nina Ricci, et Agnès B.

Au mois de septembre dernier, la marque Off-White ( Virgil Abloh actuel D.A Louis Vuitton Homme)  faisait défiler Naomi Campbell habillé avec un cycliste blanc associé à un blazer de la même couleur.

mais aussi Fenty dans une version sporty, Nina Ricci plus délicat en dentelle, et Agnès B plus discret….????

  

Alors…Yes or No?

See Ya !

Enalor????

Pourquoi mon SUMMER BODY ne sera pas on fleek…

Hello !! Je m’appelle Christelle, blogueuse Guadeloupéenne Mode et Lifestyle et surtout ravie de pouvoir vous faire un coucou ici ^^.
(Merci Christelle pour ce coucou, au plaisir de te relire…La Team Créola)

Aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un sujet qui me tient beaucoup à cœur. Les vacances arrivent à grands pas (Ou sont déjà là pour certains !) et moi je continue à manger des burgers avec les collègues et à enchaîner junkfood et mojitos avec mes potes… Sale histoire…

La tradition veut qu’à cette période de l’année, tu fasses des yeux doux à ta salle de sport que tu as déserté depuis 6 mois, et que tu recommences à dévaliser le rayon bio et légumes verts du super marché…

Je connais bien, je suis une spécialiste! Mais je me demande toujours pourquoi je me sens obligée de faire tout ça… En ce moment je suis dans ma période d’injustice : JE VEUX MANGER!! Laissez-moi manger ce que je veux s’il vous plaît! Je n’ai toujours pas trouvé à qui je pourrais demander cette faveur. J’ai tout essayé, rien à faire… Je n’ai qu’a regarder une tarte aux fraises pour prendre 300 grammes sans y toucher… Tragique.

En plus de vous à moi je n’ai absolument aucune motivation en ce moment. Il a fallu que j’arrive à rentrer dans mon jean boyfriend fétiche des beaux jours, pour me dire FREE JUNKFOOD! Bref…

Pourtant je ne me considère pas comme une « plus size » , je fais un 40… ( ). Cependant, j’ai toujours eu un rapport particulier avec mon corps. En même temps avec l’arrivée du beau temps, ce n’est plus possible de cacher quoi que ce soit… Tricher avec un pull loose pour camoufler le petit bidou sous 30 degrés : c’est mort.

Du coup, je cours encore après une silhouette idéale, sans pour autant rêver de faire un 36. Paradoxal me direz-vous ? Pas tant que ça ! Voyez-vous, j’ai la chance d’avoir grandi dans une culture ou les femmes avec des formes généreuses sont à l’honneur.

Heureusement ! Parce qu’au final ce n’est toujours que moi, que mes petits bourrelets disgracieux dérangent (merci à mon amoureux de me répéter tous les jours que je suis belle <3). Vous imaginez si les mecs devaient s'y mettre aussi ? On est pas sorti de l'auberge avec une dépression à la clé! D’ailleurs moi, en tant que femme, j'ai toujours admiré ces autres femmes à la silhouette en forme de Guitare ou en 8, qui ont de la poitrine et des hanches bien taillées. Bon quand même il faut dire que les choses avancent! Je trouve génial que les mannequins "plus size" soient mélangées aux autres mannequins sur les sites de prêt-à-porter. Mais pour moi il reste quand même une ségrégation car je ne me reconnais pas dans la catégorie plus size ni dans celle des filles minces. Je suis entre les deux en faite. Je crois que des mannequins taille "normale" il y en a pas trop pour le moment. Et pourtant nous sommes la majorité à faire un 38/40/42... J'aimerais vous faire le discours de la femme sûre d'elle et à l'aise avec son corps, mais c'est faux! Je fais cet article comme un billet d'humeur, comme un coup de gueule car je vis ce malaise un peu comme une injustice! Je sais que je continuerai à courir après mon ventre plat (à l'heure ou je vous écris, je suis en train d'essayer de me motiver psychologiquement à aller passer mes pauses dèj à la salle de sport cette semaine...) J'ai constamment ce sentiment dérangeant de devoir tout le temps faire attention, de tout le temps aspirer à mieux, à des fesses plus bombées, des hanches moins larges quelque chose d'autre de mieux sculpté ... Je n'irais pas jusqu’à dire que je suis complexée, je tente de m'accepter telle que je suis...

Vous ces femmes qui assumez vos imperfections dites moi comment vous faites ? Je suis sûre que je ne suis pas la seule à avoir cette épée de Damoclès des kilos au dessus de la tête ! Comment vous le vivez-vous ? J’aimerais avoir vos avis, vos témoignages sur le sujet.

N’hésitez pas à venir me faire un coucou sur mon blog et sur Instagram 🙂

Kiss Kiss et sorbet sans sucre.

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Découvrez la Martinique côté zen

Vous avez envie de (re) (ou faire) découvrir la Martinique autrement, pouvoir dire, enfin, que l’on peut passer en Martinique des vacances originales « durables », c’est à dire respectueuses et engagées en faveur de l’environnement et au contact direct des habitants pour un meilleur bien-être de tous ? Ce premier Guide de voyage durable consacré à la Martinique est fait pour vous… A partager sans modération.

Le petit guide Guide Tao Martinique, réalisé par les Editions Viatao avec Le soutien du CMT Martinique et la Caisse des dépôts, recense 170 adresses engagées pour un tourisme respectueux de l’environnement et des hommes.

Ce guide ouvre de nombreuses pistes pour des vacances durables et zen en Martinique.

Vous (re)découvrirez que l’on peut explorer la Martinique en camping-car, faire un séjour à la carte en choisissant les sites à visiter et un logement chez l’habitant, faire un circuit agritourisme, s’essayer à un Road Trip dans le Nord ou se faire une excursion sur un voilier traditionnel… En profiter, malgré son handicap pour faire des sorties en mer, de la plongée, de la chute libre…

Ce guide apprend —-ou rappelle— aussi que la Martinique est l’un des 34 points chauds (ou « hot spot ») de la biodiversité dans le monde puisqu’elle rassemble plus de 1 500 espèces endémiques même si elle a perdu plus de 70% de sa végétation primaire. Elle est probablement l’île des Petites Antilles qui présente le plus fort taux d’endémisme, c’est-à-dire la plus grande proportion d’espèces propres au territoire.

Autant de raison pour aimer encore mieux notre belle Madinina en respectant son patrimoine riche et diversifié.

 

Guide Tao Martinique, par Pauline Bian-Gazeau, éditions Viatao

En vente sur viateo.com, fnac.com, amazon…

 

 

 

Pourquoi je n’ai pas peur de faire des compliments

Cela peut paraître « étrange » comme sujet, mais j’ai constaté que cela était souvent mal perçu, ou sous-entendu quand on complimentait quelqu’un. Pour ma part, c’est surtout cette vision des choses qui me parait bizarre. Depuis quand être gentil est devenu un défaut ?

Plus jeune, j’avais le compliment difficile. Je m’explique. Je faisais partie de ces femmes, qui considéraient toute autre femme comme une menace. C’est triste me direz-vous. Mais il faut prendre beaucoup de recul et surtout se connaître parfaitement pour avoir conscience de sa valeur et de celle des autres. 

Après de nombreuses années à me questionner sur moi, à chercher, à essayer de comprendre la femme que j’étais, il m’est apparu logique que ma plus grande rivale, c’était simplement moi ! Et une fois que l’on a compris ça, tout devient plus simple. On arrive surtout à apprécier les autres. 

J’ai aussi appris avec les années et je pense une bonne dose de maturité, que chacune de nous, finalement, travaillait même de manière inconsciente à l’évolution de la condition de la femme. Parce que oui, même dans nos grandes capitales, il y a encore du boulot à faire. 

Une femme qui devient PDG d’une grande entreprise, donne un message fort à toutes les femmes qui travaillent et qui souhaitent gravir les échelons. Une femme qui crée son entreprise motivera toutes celles qui n’osent pas franchir le cap. Cette femme, qui reprend ses études après des années à la maison, est une source de motivation. Chacune de nous, à notre petite échelle, pouvons être l’exemple, la source de motivation de quelqu’un. 

Je viens de finir le livre de Sheryl Sandberg (en avant toutes), bras droit de Mark Zuckerberg, et cette femme est une véritable source de motivation. À travers chaque page, elle nous pousse à nous soutenir, à ne plus avoir peur, à prendre notre place à table. Reconnaitre les qualités chez une autre femme, ne fera pas de nous quelqu’un de moins fort, bien au contraire, elle prouvera simplement que nous avons le mental et la force de caractère pour reconnaître ce que nous considérons comme bon, bien, beau sans que cela ait à minimiser ce que nous sommes. 

Aujourd’hui, je considère important de féliciter toutes celles qui font un travail, ou une action qui fait écho à ce que j’aime. Je ne cherche ni amie, ni remerciement quand je fais cela. Je veux juste que la personne en face sache qu’il y a une personne qui a été sensible à son travail. Et je pense qu’il n’y a rien de plus motivant que d’être félicité pour les efforts fournis. Alors si je peux contribuer à rassurer quelqu’un, à un sourire, une marque de satisfaction pourquoi m’en priver ? 

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MOI, PUR JUS ?

Initié aux Etats-Unis, le « body positivisme » ou « body positive », qui revient à s’accepter comme on est, est un peu à la traine ailleurs. En soi ce mouvement pour un « corps positif « pourrait être salvateur. A bas les complexes en tout genre et vive moi en maillot!

Plus qu’une tendance, mais un ras-le-bol du « perfect body », ce mouvement agit et se développe, même lentement. Grâce à lui les marques distillent quelques images plus vraies que nature et je pourrais peut-être me sentir mieux. Des réactions marketing qui ne concernent ni toutes les marques ni tous les produits. Faut pas rêver. Mais bon, ce qui se passe est semble-t-il déjà un grand pas. Les formes existent enfin et pas que sur moi. Cela rassure tout de même un peu et favorise le body positivisme. Allez, on y croit ! Accepter son corps tel qu’il est n’est pas juste une question de surpoids ou de quelques grammes en trop non conforme aux silhouettes mannequins qui minent le moral. Il s’agit aussi de s’accepter avec ses marques, ses taches, ses poils, etc. Avoir l’esprit #bodypositive.

Ces deux mots deviennent un mantra pour celles et ceux qui ont décidé de ne plus faire comme si et encore moins de se cacher. Cela augmente leur confiance, leur acceptation et diminue les complexes. Forcément, plus on est à être dans la même attitude plus on se fond dans le mouvement et on gagne en affirmation de soi : « je ne suis pas la seule (ou le seul) ».

Evidemment que c’est rassurant, réconfortant de voir que d’autres osent les couleurs et laisse tomber le noir (qui affine, dissimule) et l’opération camouflage qui va avec. Dans le body positivisme chacun.une prendra ce qu’il.elle voudra. Il ne s’agira pas de se coller au dernier régime à la mode (on l’aura bien compris) ni de se précipiter sur les tapis des salles de sport (on l’aura compris aussi). Ce n’est pas du healthy (santé à tout prix, corps sain et esprit sain ou à peu près) ni du fat (vive le retour du gras). C’est juste se regarder dans le miroir et se dire ok !

Je suis donc je suis, avec mes cicatrices, mon corps imparfait (selon les codes). Supporter le regard des autres sans aucun effet sur soi (ça glisse). Mes jambes ne sont pas nickel ? Et alors ?

A trop vouloir miser sur le parfait, le rien qui dépasse, le lisse, celles et ceux qui ne peuvent pas rentrer dans ce créneau ou ne veulent pas ou ne veulent plus, s’inscrivent, se retrouvent dans le body positivisme. A priori cela ne nuit à personne, pas de préceptes délirants, pas de contrainte, pas un autre diktat à la place d’un diktat (encore que, on pourrait se le demander). Et d’ailleurs je me le demande. Je ne suis pas Madonna (aisselles pas épilées) ni Rhianna (légère prise de poids). Allez ! On s’aime comme on est, il le faut. Je me laisse les poils là où je veux. Non mais oh ! Si je ne m’aime pas complètement c’est quoi le problème ? J’ai le droit non ? Quant à mes poils, je préfère l’épilation au caramel qui est particulièrement efficace sur les rebelles et ces satanées doubles ou triples repousses.

Et pour étayer cet argumentaire imparable s’il en est, le « body neutrality » ou « neutral » vient à ma rescousse. Il est la note de souplesse qui manquait au body positivisme, celle qui permet de se dire « je n’aime pas tout chez moi et c’est comme ça, je fais ce que je peux avec mon body qui me plaît qu’à moitié et que je n’assume pas complètement ». Il y aura toujours un élément pour permettre au curseur de se placer là où je veux, quand je veux, le garde-fou de la pensée (presque unique).