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A LA RECHERCHE DU RAL ROUGE PARFAIT

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Instagram/Fenty Beauty/Slick Woods

Han et c’est parti la fille se met à parler make up, moun lan comprenn I sé an youtubeuse. #onlaperdu

Qu’on se le dise: un beau ral rouge, c’est le must have ok! Avec un trait d’eye liner ou simplement du mascara, il fait le taff, simple, basique, efficace.

Encore faut-il le trouver, the « one ».

Parce que non, trouver du rouge à lèvre rouge qui matche parfaitement à ta carnation sans que ta bouche ressemble à, je cite:

« la po b**da makake ki trapé la varicelle » (Man finotte, philosophe du XXIe siècle)

[….] pardon, mais c’est une gageure.

J’aimerais donc revenir sur le meilleur et surtout le pire de mes achats beauté, à la recherche du RAL rouge parfait!

 

MON PROFIL ET MES ATTENTES

Commençons par définir mon profil.

 

Je suis noire. #révélation. Ni claire, ni « dark skin », je suis une NW45 de chez mac tu vois. (si tu vas à la Galléria tous les week ends… tu vois)

Bon mes lèvres maintenant, disons que j’ai une bouche, qui se voit quoi. De plus j’ai de tous petits yeux (sans eye liner on croit que Tony Yoka m’a fait un uppercut) donc faut savoir équilibrer les choses et pas mettre le paquet sur la bouche.

Ce que j’attends du ral rouge parfait, c’est qu’il soit mate (les bouches glossy c’est quand on allait à la boutique de la poste au collège…) qu’il ait une bonne tenue et une bonne couvrance, qu’il définisse bien le contour des lèvres (comme Riri) qu’il soit également sans transfert. Et plus que tout, je veux une couleur franche, profonde, pas claire, pas vermeille pas corail (Seigneur Dieu non!)

 

LE CRASH TEST

Attention ce qui va suivre ne relève que de MON avis (et est donc soumis à discussion)

*les prix affichés sont des moyennes

 

MAC LIPSTICK RETRO MAT : No way

Ruby Woo,    19.50€

Soyons clairs: Mac me saoule #period. Mac c’est comme une fille banale a qui on a donné trop de likes sur Instagram et qui maintenant se permet de carrer sur les gens

Les mecs ont trop pris la confiance avec leur rouge à lèvre à 20€ qui n’a aucune tenue et qui est 100% transfert comme un mauvais ral des années 90%. Ca pas meme bon pou ay fait dé commissions Ecomax. sérieux, Mac, redescendez.

note: 4/10

 

L.A GIRL FLAT VELVET MATTE LIPSTICK : Bon rapport qualité/prix

Conseil: n’achetez JAMAIS le lipstick gloss matte; ça sèche pas et ça s’écaille, c’est clairement de la très mauvaise qualité. #boybye

Relentless, 6€

 

Par contre le ral Flat Velvet celui qui coute moins de 6€ là, lui il est sympa. franchement psartek! Bon rapport qualite prix: un ral mat mais qui a une texture un peu crémeuse donc qui n’assèche pas les lèvres. En plus il a une super tenue, tu peux boire et manger i pa ka brinin.

Ma valeur sure: le Va voom, un ti violet qui me dépanne quand je suis mélée

note: 7/10

 

mes doigts boudinés #knackis, 15.90€

MATTE PIGMENT: « BAE »

En Martinique, c’est ma marque reference pour les lip gloss mates.

En vente chez Beauty Distribution (demandez leur la référence)

Par contre les 15e l’unité font mal!

Alors il a failli être parfait, I mean la couleur est sympa, la tenue correcte quoi que je doive en réappliquer après avoir bouffé, ce qui laisse une sensation désagréable puisqu’il s’éffrite un peu… bon en vrai on va pas se plaindre, je l’aime quand même beaucoup beaucoup!

note: 8,5/10 (et je donne un 10/10 à leur rouge à lèvre noir)

 

FENTY BEAUTY STUNA LIP PAINT : « dommage »

Stunna lip paint,           22.99€

Ce rouge à lèvre c’est comme … un chabin locksé, musclé, barbu, sur le papier tout est parfait, c’est tout ce que j’aime.. mais il ne sait pas qui est Frantz Fanon. Désolé on va devoir continuer l’aventure sans toi.

Riri, je lui ai fait confiance. Rihanna a conçu un ral supposé convenir à toutes les carnations … non. Objectivement le ral est bon, fini seconde peau (le truc tu oublies que tu le portes), longue tenue, c’est clairement un produit de qualité… MAIS la bête n’est pas rouge I kité rouge ka alé c’est corail et j’aime pas le corail… et puis Jordane m’a dit de plus jamais remettre ça sur ma bouche alors….

Nuançons: ce rouge à lèvre conviendra à beaucoup de femmes, juste pas à moi.

note: 6,5/10 avec encouragement parce que la gamme Mattemoiselle est vraiment pas mal

 

NYX LIQUID SUEDE : « 0ui, bon … why not »

Cherry skies, 7.90€

NYX c’est clairement un truc que t’achètes pour avoir un stock de lipsticks en cas de coups durs. Je veux dire ça coûte pas cher y’a un choix de couleur intéressant, mais: il ne séchera jamais #effetsticky, nécessitera des retouches, et laissera donc une texture granuleuse pas hyper agréable sur les lèvres… mais vu le prix …

note:6/10 mais la couleur est vraiment intéressante

 

 

KAT VON D EVERLASTING LIQUID LIPSTICK: « Mouais d’accord »

Vampira, 19.99€

Alors manzel est une succession de déceptions.

Un concealer qui se termine en 2 semaines, un fond de teint poudre qui laisse un effet plâtre. Et pompom sur la Garonne un ral rouge qui vire au cuivre malgré une texture ultra fine et agréable (rayi chien di den’y blanc).

note: 6/10 Kat mon papa c’est pas Bill Gates on va s’arrêter là toi et moi

 

BLACK UP LIQUIDE MAT NO TRANSFERT : « nou ka rive la nou kay »

LM06, 24€

alors là je crois qu’on se rapproche du but: un ral presque parfait zéro paquet un rouge profond, pas trop clair,comme j’aime, un super rendu sur les lèvres. En plus tu peux faire des retouches, zéro paquets, texture fine et hyper agréable.

Bon le prix te fait rester tranquille, mais c’est Black Up, on connait.

Note: 9/10 ATTENTION super dry donc Carmex ou huile de coco tous les soirs.

 

Pendant longtemps j’ai évité le ral rouge, préférant des couleurs plus « dark ». Mais lui et moi on commence à s’apprivoiser.Oui désormais j’ose le rouge!

Et vous quel est votre ral rouge préféré?

J’ai décidé de passer mon permis moto…

Un jour, j’ai regardé « Le Rebelle » à la TV avec Lorenzo Lamas et je suis tombée amoureuse de sa liberté et de son allure sur sa Harley de 1990, cheveux au vent, le coucher de soleil dans le dos…(bon ok…pas que…????)Je devais avoir 13-14 ans…

J’ai toujours aimé cet univers, mais n’ai jamais osé m’y incruster étant : fille, métisse, élévée aux Antilles (pas vraiment dans la culutre) et surtout ayant peu de références dans ce monde autre que celles de filles légèrement vêtues enfourchant des belles bécanes (pour les shooting seulement j’espère)

????C’est en rencontrant mon motard à moi (on va l’appeler « Mister T »…lol) que j’ai enfin pû mettre un pied dans l’univers Harley et ainsi donner libre cours à mes envies de moto.????(#minutecanard)

…Je m’en souviendrais encore longtemps et facilement parce que c’était mon anniversaire et que Mr.T m’avait déjà fait un beau cadeau (je vous passe la partie de moi en larme d’émotion à réception du dit cadeau heinnn, toute reconnaissante, les yeux encore tout collés par ma douce nuit contre lui…)

En bref ce jour là – après m’être rendue plus présentable- nous avons tranquillement fait les 50min de route qui nous séparaient de Bordeaux sous un soleil timide mais présent (fait rare à cette période : ????Happy Birthday to me!!)…????quand…en arrivant à 100m de notre point de stationnement la grêle nous tombe dessus…(bien sûr on avait pas mis les tenues de pluie…????Happy Birthday to me???? hein!!!) du coup, c’est affamés et trempés (frigorifiés ! mois de mars…en france?!)  que nous sommes arrivés à bon port….plus si présentables que ça…

✨Et pourtant j’ai A-DO-RE…!!!!!!✨

 

 

Bon c’est une chose de vouloir passer son permis moto…Mais quand on a 33ans et déjà 15ans de permis B dans les pattes et ben il faut repasser le « code de la route » avant !????

Alors me voilà à la recherche d’un moyen simple, rapide et efficace pour pouvoir m’attaquer à cette « formalité » sans être obligée de m’asseoir des heures durant dans une salle d’auto-école (déjà donné, désolée).

Ni une, ni deux je me lance dans les recherches et GOOGLE (le dieu google) me donne la solution : les cours de code en ligne. Ils me permettent de bûcher quand j’ai envie et d’effectuer des exercices sur mon temps libre; Où je veux, quand je veux : dans le métro en allant rejoindre mes amis, le soir dans mon lit ou devant ma tv quand le programme n’est pas si intéressant que ça (et que j’arrive à décrocher de Netflix..)

J’ai donc opté pour un site bien connu dans le genre et je dois dire que j’en suis assez contente. Les cours sont disponibles donc on peut y revenir quand on veut et consulter la rubrique qui pêche. Les questionnaires sont bien pensés et disposent d’une correction pour voir là où il faut réviser et surtout il y en a beaucoup, de façon à parcourir un max de possibilités.

Le site propose aussi de passer l’examen ailleurs que dans les centres dédiés, ce qui permet d’avoir plus de chance d’obtenir une place lorsque l’on se sent prêt et qui plus est l’abonnement sur le site est valable 1 an pour la somme de 29,99€…

Quand on sait qu’une auto-école c’est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus cher…cela ne coûte « presque rien » de tenter le coup.

Je vous dirai si je l’ai eu ????

Et vous,pour avoir le code… par quel organisme êtes-vous passés, auto-école en physique ou virtuelle?

Quelle est votre expérience?

See Ya!????

Enalor

DIY : Origami, art du pliage de papier…

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Salut, je suis Lindsay, j’ai 24 ans et je suis éducatrice de jeunes enfants à temps partiel. Je consacre l’autre partie de mon temps à diverses activités.

Créola, me permet et me donne envie d’écrire. C’est pour cela qu’aujourd’hui j’écris mon deuxième article.

(Une fois de plus nous te remercions pour cette belle découverte Lindsay…La team Créola)

L’origami est l’art du pliage de papier asiatique. Selon wikipédia, ce mot viendrait du japonais qui l’aurait lui même emprunté au chinois.

J’ai découvert l’origami lorsque j’étais encore à l’école, sans savoir ce que c’était vraiment. Lors des pauses, on faisait des avions et des bateaux pour jouer.

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Décorer
avec l’origami 3D

Aujourd’hui, je l’ai redécouvert sous une autre forme via internet. Bien plus travaillée et approfondie. J’ai aussi vu une de mes connaissances user de cette technique et cela m’a donner envie de tester. J’ai la chance d’être habile de mes mains, et à force d’exercice, cet art est devenu l’un de mes passe-temps favori.

Une fois la technique du pliage assimilée, il ne reste plus qu’à assembler et créer. Pour ce faire j’utilise du papier machine 80g. Mais il est possible de procéder avec tout autre type de papier : du papier journal, magazine, etc… 90g.. 100g..

La technique de base est celle là ????

Mes créations

Partant de modèles vus sur internet via YouTube et Pinterest, je crée ce que j’aime. Cela peut être pour une  occasion spéciale, un plaisir d’offrir, une envie de changement chez soi.

  • Le fruitier

Il faut 510 bouts de papiers pour le réaliser. Autant dire qu’il faut être patient mais le résultat en vaut la peine!

L’assemblage ne nécessite pas de colle, les papiers sont reliés entre eux.

 

 

 

  • Le cœur

Il contient 470 pièces. J’en suis hyper fière!

 

 

 

 

Le top tendance, est le DIY du bouquet de la future mariée en origami. Comme vous le savez, tout ce qui est DIY est très avantageux, à la fois économique, original, de longue durée et à mon sens magnifique.

 

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Cet été, je compte bien partager mon savoir avec les enfants du centre de loisir (CLSH) dans lequel je suis.

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Et vous, aimez-vous les loisirs créatifs ? Est-ce que l’origami vous intéresse ?

Moi je valide et vous invite vivement à essayez !!

A bientôt!

 

????Lindsay????

 

Comment être super classe à la plage ?

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A l’occasion des vacances, abordons un sujet de la plus haute importance, injustement délaissé par les grands chercheurs : comment rester chic à la plage ? Certes, pour certaines extraterrestres, la question se résout aisément : elles s’allongent négligemment à l’abri d’une large capeline de paille et le tour est joué. Mais pour nous, les filles du quotidien, ce n’est pas si facile….

Le maillot est mon ami (mais pas toujours) 😕 
« Le prix s’oublie, la qualité reste » répète ma mamie. Forte de ce judicieux conseil, je décide d’investir dans un somptueux maillot de bain, en guettant le moment des soldes à 7 heures du matin sur Internet, tel un épagneul breton s’apprêtant à partir chasser. Oubliée la bêtise de foncer sur un sublime maillot en photo qui se révèle transparent dès qu’on le trempe dans l’eau. Terminées les pulsions fantaisistes qui me portaient vers un maillot avec plein de jolies ficelles, idéal pour obtenir un bronzage tigré. Prête à céder aux sirènes de la nouveauté, je regarde la nouvelle mode : un string hallucinant qui dévoile les trois-quarts du postérieur. Il paraît que ça va à tout le monde annonce tranquillement le mannequin parfait qui a lancé cette mode. Outre que cette affirmation est totalement fausse, je me vois mal déambuler presque nue au milieu d’une foule d’inconnus. Finalement, mon vieux maillot de l’an dernier n’était pas si mal…

Espadrilles, tongs, claquettes : l’embarras du choix (ou le choix de l’embarras) 😉 
La tong, pour moi, c’est niet : jamais réussi à ne pas me cisailler l’entre-orteil et puis quand c’est mouillé, on dérape grave. La claquette, c’est vilain comme tout. L’espadrille c’est joli au début et puis très vite, le tissu se détend et ça ressemble à des vieilles pantoufles. Alors ? Quelle est la solution ? On oublie la méduse, pratique pour crapahuter sur les rochers, mais irrémédiablement ridicules passées six ans. Quant aux crocs, ces choses inventées par des esprits diaboliques, on les laisse au jardin potager, endroit qu’elles n’auraient jamais dû quitter. Et l’on revient aux tongs, qui, en dépit de tous leurs défauts, restent les seules capables de se prêter à la marche sur sable.

Protection rapprochée 😎 
Les lunettes et le chapeau restent les piliers incontournables de la classe. Une belle monture, large et couvrante, et hop ! Nous voilà transformée en star mystérieuse. C’est trop facile. Le seul petit souci, non encore résolu à ce jour, reste le contact des lunettes avec la crème solaire dont on s’est tartiné le visage. Très vite, les verres deviennent opaques, on ne voit plus rien, et ne reste que la curieuse impression d’avoir nettoyé ses lunettes avec deux tranches de jambon. La large capeline de paille, évoquée dès l’introduction, est le sésame des belles divas. Mais, il ne faut pas un brin de vent, car sinon, les bords du chapeau flottent comme des malades prêts à attaquer tout être humain qui s’approcherait d’un peu trop près. Le bob est à proscrire : même sur une beauté fatale, il fait une tête de gland, il faut bien l’avouer. La casquette est périlleuse : on a vite fait d’avoir des allures de championne de pétanque. Le top, c’est le foulard-bandeau, qui ne protège pas du tout, mais qui est tellement élégant quand on sait bien le nouer. Attention, on peut vite ressembler à une paysanne ukrainienne du siècle dernier. Sinon, on peut opter pour les cheveux enduits d’huile protectrice. Bien coiffés, en chignon stylisé ou en nattes, c’est pas mal. On pense à une sirène…Mais non cela ne fait pas « gras-mouillé »  comme dit ma fille en criant « Berk ».

Mission impossible (et c’est tant mieux) 😆 
Reste…Le reste. A savoir les innombrables accessoires que nous devons transporter pour aller à la plage. Glacière, parasol, bouées, sacs, serviettes…Et là je demande, où est la classe ? Alors certes, on peut faire comme les stars et sortir une belle bouteille de rosé toute fraîche de la glacière (si, si, les stars boivent sur les plages, à n’importe quelle heure du jour), mais c’est bizarre ce sentiment d’être plus proche du « punk à chien » que de Rihanna. Alors, on garde sa serviette pas fashion du tout avec des dauphins, son parasol ni crème ni beige mais orange, et on savoure le meilleur des vacances : la liberté.

(Merci à Julie Thamin)

Sandra MICHAL, un exemple de réussite !

Le caporal Sandra MICHAL, ici aux côtés du Lieutenant-colonel Frédéric AUBANEL, nouveau chef de corps du RSMA de la Martinique, est un exemple de réussite. Stagiaire devenue formatrice à force de courage et d’envie, elle s’est faite remarquer, entre autres,  l’année dernière en tant que secouriste à SAINT-MARTIN. C’est à ce titre qu’elle représentera la Martinique, avec 9 autres volontaires, lors du prochain défilé du 14 juillet à PARIS.

 

Qui êtes-vous ?

Je m’appelle MICHAL Sandra, Foyalaise de 22 ans, chef de filière Remise à Niveau et Mobilité au sein de la 3ème compagnie de formation professionnelle (« les jaunes »).

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?

Bachelière sans expérience professionnelle, j’ai souscrit un contrat de volontaire stagiaire le 03 octobre 2016. Mon but initial était de découvrir les métiers de la défense et de la sécurité, sans plus.

Je me suis rapidement démarquée des autres. Identifié comme future volontaire technicien, j’ai signé un contrat pour devenir formatrice le 31 juillet 2017.

Aujourd’hui, mon quotidien c’est encadrer et former des jeunes martiniquais volontaires. Je ne cesse d’approfondir mes compétences et connaissances afin de toujours mieux leur transmettre une instruction de qualité dans le but de leur permettre de trouver un travail.

Avez-vous rencontré des difficultés dans ce métier en tant que femme ?

Dans les premières semaines, j’ai eu un peu de mal à m’adapter, en particulier à la vie en collectivité. Mais mon envie de réussir «quelque chose de ma vie » m’a poussé à poursuivre. Maintenant, un peu plus mature et parfaitement rodée à ce mode de vie, je m’épanouis pleinement.

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous orienter vers cette carrière ?

Même avec un « bac pro » en poche, ce n’est pas facile de se lancer dans le monde du travail, surtout ici en Martinique.  Alors pourquoi ne pas tenter une expérience originale qui me garantissait, à coup sûr, un emploi. Et puis au final, ça a été le coup de foudre…

 

Avez-vous eu des difficultés à concilier ce travail et votre vie privée ?

Parfois, il est vrai que le travail peut avoir des conséquences sur la vie familiale et privée. C’est juste une question d’organisation. Tout n’est qu’une question d’organisation et d’envie.

Embarquement pour ST MARTIN

Quel est votre meilleur souvenir ?

Ma projection à deux reprises sur SAINT-MARTIN. La première fois, en mars 2017 dans le cadre de l’exercice RICHTER… Mais c’est surtout ma mission en septembre 2017, «en réel », lors de l’intervention après le passage de l’ouragan IRMA qui restera le moment le plus fort de ma jeune carrière. Formée aux missions de sauvetage et d’aide à la population, j’ai pu mettre en application tout ce que j’avais appris et aider les autres… Un véritable sentiment de fierté et d’utilité.

 

Quel est votre pire souvenir ?

La découverte de la désolation de SAINT-MARTIN et la détresse des populations sinistrées après l’ouragan IRMA.

 

Quels sont vos projets à venir ?

Même si je peux poursuivre encore pendant 3 ans au RSMA,  je souhaite aller plus loin. J’avoue qu’après mon expérience à SAINT-MARTIN je pense à m’engager ou à passer l’un des concours de la fonction publique : me sentir utile pour les autres est mon moteur de vie.

 

Que pouvez-vous dire aux jeunes femmes qui souhaitent exercer ce métier ? Quelles en sont les qualités requises ?

J’encourage toutes les femmes à le faire…  C’est à la fois une découverte et une opportunité car le RSMA, comme les métiers de la défense, de la sécurité ou de la fonction publique offrent de réelles opportunités de carrière, que l’on soit une fille ou un garçon.

 

Les qualités requises, pour, comme moi, s’épanouir sont :

  • Le dynamisme…
  • L’ouverture d’esprit…
  • L’autonomie…

… Et surtout la motivation de réussir sa vie.

 

 

Un grand bravo Sandra pour ce parcours exemplaire qui ne cessera d’évoluer et merci d’avoir répondu à mes questions! Très belle découverte et surtout modèle de persévérance pour celles qui souhaitent évoluer dans ce domaine !

J’invite toutes celles qui sont dans l’hésitation à se rapprocher du RSMA, vous ne le savez peut-être pas encore, mais une belle carrière s’offrira à vous !

Plus d’infos sur le site : www.rsma-martinique.com et sur Facebook RSMAM

@ bientôt!

Sass????

TATOO OU PAS TATOO ?

Avoir sa marque, sa particularité, son truc à soi, le tatouage est plus qu’un phénomène de mode. Beaucoup plus.

Le tatouage était, à l’origine des temps, une marque d’appartenance à un clan, une tribu (magnifiques le tatouage tribal). Et comme beaucoup d’autres signes, il est devenu le repère d’un même groupe, que ce soit de profession (les marins ou de passion. Il suffisait d’un signe pour se reconnaître ! Un signe souvent dissimulé pour éviter d’être désigné. Aujourd’hui, on le trouve sur toutes les peaux, des hommes, des femmes. Nul besoin d’appartenir à une quelconque bande ou mystérieuse organisation pour avoir son tatouage. En France, une personne sur dix serait tatouée. Maintenant on l’expose, on le montre, on l’aime son tatouage. Plus question de le cacher sous les manches, sous les jambes d’un pantalon ou les longueurs d’une jupe. Selon certains spécialistes de la question ce serait pour laisser une trace. Comme quoi on s’accroche à ce qu’on peut quand on pense à notre disparition. Selon d’autres spécialistes, en se tatouant on s’affirmerait. Un moyen comme un autre.

Selon moi, chacun fait ce qui lui plaît. Et visiblement je ne suis pas la seule à le penser car une récente étude donne la majorité des tatoués comme étant passé à l’action sur une simple envie sans aucune raison particulière. Ils se sont levés un beau matin (ou pas top le matin) et ont décidé de but en blanc de se faire encrer. Qui se tatoue ? Celui ou celle qui en a envie. Plus de code, plus de raison particulière, juste une question d’envie. Qu’est-ce qui fait qu’on hésite ? La douleur (normal) et le résultat. Vous avez envie d’une rose et vous ressortez avec ce qui pourrait ressembler à une rose selon un art non encore connu à ce jour. La boulette. Grosse en plus parce que pour s’en débarrasser re douleur. Et pas qu’un peu. Moi mon seuil étant rapidement atteint, même pas en rêve le tatouage !

Certains tatouages sont de véritables œuvres d’art. Précision, couleurs, finesse. Ca me donnerait presque envie. Les salons, expositions, dans ce domaine se multiplient tout comme les considérations d’hygiène devenues draconiennes. Il était temps.

Pour toutes celles qui aimeraient mais qui se disent que non finalement ce n’est pas pour elles, les tatouages éphémères existent et sont beaux. De plus, pas de problème pour l’appliquer. Vive la décalcomanie (procédé par lequel on transfère des images colorées sur un support) ! Un vieux mot passé de mode (là, je rigole, parce que je me revois appliquer le papier illustré du Malabar sur le dos de ma main légèrement humidifiée, sinon les couleurs bavaient). Et sinon, un dernier dans le genre pas mal du tout qui est on ne peut plus naturel, solaire et éphémère (celui de l’illustration principale). En plus ce sont des femmes qui l’ont inventé alors coup de pouce pour elles 🙂  : Tany (marque déposée).

 

INFO PLUS : CARIBBEAN TATTOO Convention, premier salon du tatouage de la Caraïbe, les 13-14 et 15 juillet au WTC à Baie-Mahault

 

 

 

 

 

Qui se cache derrière la collection de t-shirt « Tchiiiiiiip »?

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Quand Valérie de la boutique Collection Privée  (Galeries de Houelbourg) m’a envoyé la photo du t-shirt marqué « tchiiiiiiip », je me suis dis « il me le faut »! Les t-shirt avec des messages, je valide! Et encore plus avec des messages comme celui là! Une expression bien de chez nous que je trouve rigolo de porter avec style! Et puis « tchiiiiiiip, ONE LIFE » c’est mon état d’esprit! Après libre à chacun de l’interpréter à sa manière!

Je l’ai pris en taille XL car je voulais le porter en robe t-shirt, mais il existe plusieurs tailles et différents coloris. Evidemment, j’ai posté ma photo sur Instagram pour avoir des avis et beaucoup de personnes ont kiffé l’idée et m’ont demandé qui était la créatrice? Du coup je me suis dis pourquoi ne pas vous la présenter dans un petit article sur le blog!

@collectionpriveestore
@collectionpriveestore

Qui se cache derrière Manzel Mazette?

Ketty, née en Martinique, élevée à Cannes (Sud de la France) vivant à Paris, des études dans le commerce, ancienne manager service client, mère, pacsée, tatouée, porteuse de lunettes, croyante!

Comment t’est venue l’envie de créer?

Depuis l’adolescence, je composais mes looks avec les fringues de mon frère car j’aimais avoir un look atypique, ensuite j’allais chez le couturier du coin pour customiser mes propres habits et les rendre encore plus fun (exemple coudre deux jeans ensemble pour les superposer , faire un sac avec mes shorts etc…)puis un jour je suis entrée par hasard dans une boutique de créations de bijoux fantaisies et j’ai décidé d’en réaliser et c’est là que l’aventure créative a commencé…..

Quelles sont les matières et imprimés que tu aimes le plus travailler ?

Le vynil, le vichy, le wax évidemment et j’espère bientôt le madras ????

Où puises-tu ton inspiration ?

Dans le vintage, mes souvenirs d’enfance, les grands créateurs, la rue, les magazines (mon préféré est « glamour »)

S’agit-il de ton métier ou de ta passion ?

Mon métier, j ai quitté les bureaux pour tenter l’aventure créative et je ne regrette pas!

Quelle vision as-tu de ton métier et quels en sont les avantages et inconvénients ?

La création est selon moi, une façon de partager son histoire, son identité, sa vision de la beauté, du style.

Les plus : faire ce que j’aime, le partager, l’admirer sur les autres, la reconnaissance, rencontrer des personnes diverses et variées,

Les inconvénients : trouver l’inspiration quotidiennement, la copie, être multitâche…

Quels sont tes projets à venir ?

Mettre en avant ma collection « tchiiiiiiip », préparer la collection hiver, m’introduire dans les médias, et ouvrir une boutique.

En parlant de ta collection « tchiiiiiiip », pourquoi « tchiiiiiiiip » justement?

Pour l’été je cherchais une idée pour ma collection de tee-shirt, un mot, une phrase, qui pouvait parler au plus grand nombre, et le tchiiiiiiip est venu spontanément vu que je le prononce 1000 fois par jour minimum. Celle où celui qui porte  le tchiiiiiiip envoie un type de message : « je me moque de ce que tu peux penser  de moi ???? »  et ça parle à beaucoup d’entres nous. 

 

Merci pour tes réponses Ketty, je te souhaite de la réussite et bien plus encore !

Vous pouvez la suivre sur Instagram ici, acheter vos t-shirts à la boutique Collection Privée (Instagram ici), ou d’autres de ses créations sur le site www.manzel-mazette.afrikrea.com

Je vous embrasse!

Sass????

Un petit tour en cycliste…ça vous dit?!

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Chaque année, la mode (re)sort des idées farfelues de tendances (a suivre…ou pas)

Si je vous dis cycliste,  vous pensez à qui, à quoi ? Aux actrices de Sauvé par le gong…Parker Lewis ? A Lance Armstrong pendant le tour de France?… Et peut-être à vous aussi, pendant vos années collège (enfin si vous êtes nées avant 90…j’oublie parfois que je suis aussi vieille…)????????‍♀️

C’est certainement la tendance de l’année dont on se passerait bien mais elle est là…et tente de s’imposer tranquillement mais sûrement. Il s’agit bien du short de cycliste, aussi appelé cuissard.

Le cycliste a pourtant déjà connu des heures de gloire, au début des années 90. On le porte alors sous une mini jupe ou en version d’été comme le classique outfit : caleçon + t-shirt large ou sweat pour traîner à la maison; à défaut de se balader en ville avec sa bande de copines. Il est noir pour le sport, rayé et/ou fluo dans les clips de l’époque à fleurs ou à pois…????

 

Alors bon, plutôt sympa sous un short en jean trop court ,un peu élimé pour casser le côté vulgos, parce que rock 90’s et sous un short sportswear …Et sinon, le cycliste short seul, sans rien  ce n’est pas gagné

Pourtant, c’est le cas de Kim Kardashian …. Elle nous a ressortis le cycliste de son contexte pour en faire une pièce à porter en pleine rue tranquillement, l’air de rien (c’est tout à fait normal chez Kim). En le mixant avec d’autre pièces. Et elle n’est pas la seule ! Le cycliste est LE nouveau truc que les influenceuses outre manche nous imposent (Emily Rataj…machin – Bella Hadid aussi) On est pas sorties d’affaire avec cet amour des stars pour l’activewear porté au quotidien en aller « chercher du pain »…

  (pinterest)

Car il a déjà été aperçu sur les podiums ! Non, ce n’est pas une mauvaise blague. Cette année, le cuissard fait une entrée remarquée chez Off-White, mais aussi Fenty, Nina Ricci, et Agnès B.

Au mois de septembre dernier, la marque Off-White ( Virgil Abloh actuel D.A Louis Vuitton Homme)  faisait défiler Naomi Campbell habillé avec un cycliste blanc associé à un blazer de la même couleur.

mais aussi Fenty dans une version sporty, Nina Ricci plus délicat en dentelle, et Agnès B plus discret….????

  

Alors…Yes or No?

See Ya !

Enalor????

Pourquoi mon SUMMER BODY ne sera pas on fleek…

Hello !! Je m’appelle Christelle, blogueuse Guadeloupéenne Mode et Lifestyle et surtout ravie de pouvoir vous faire un coucou ici ^^.
(Merci Christelle pour ce coucou, au plaisir de te relire…La Team Créola)

Aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un sujet qui me tient beaucoup à cœur. Les vacances arrivent à grands pas (Ou sont déjà là pour certains !) et moi je continue à manger des burgers avec les collègues et à enchaîner junkfood et mojitos avec mes potes… Sale histoire…

La tradition veut qu’à cette période de l’année, tu fasses des yeux doux à ta salle de sport que tu as déserté depuis 6 mois, et que tu recommences à dévaliser le rayon bio et légumes verts du super marché…

Je connais bien, je suis une spécialiste! Mais je me demande toujours pourquoi je me sens obligée de faire tout ça… En ce moment je suis dans ma période d’injustice : JE VEUX MANGER!! Laissez-moi manger ce que je veux s’il vous plaît! Je n’ai toujours pas trouvé à qui je pourrais demander cette faveur. J’ai tout essayé, rien à faire… Je n’ai qu’a regarder une tarte aux fraises pour prendre 300 grammes sans y toucher… Tragique.

En plus de vous à moi je n’ai absolument aucune motivation en ce moment. Il a fallu que j’arrive à rentrer dans mon jean boyfriend fétiche des beaux jours, pour me dire FREE JUNKFOOD! Bref…

Pourtant je ne me considère pas comme une « plus size » , je fais un 40… ( ). Cependant, j’ai toujours eu un rapport particulier avec mon corps. En même temps avec l’arrivée du beau temps, ce n’est plus possible de cacher quoi que ce soit… Tricher avec un pull loose pour camoufler le petit bidou sous 30 degrés : c’est mort.

Du coup, je cours encore après une silhouette idéale, sans pour autant rêver de faire un 36. Paradoxal me direz-vous ? Pas tant que ça ! Voyez-vous, j’ai la chance d’avoir grandi dans une culture ou les femmes avec des formes généreuses sont à l’honneur.

Heureusement ! Parce qu’au final ce n’est toujours que moi, que mes petits bourrelets disgracieux dérangent (merci à mon amoureux de me répéter tous les jours que je suis belle <3). Vous imaginez si les mecs devaient s'y mettre aussi ? On est pas sorti de l'auberge avec une dépression à la clé! D’ailleurs moi, en tant que femme, j'ai toujours admiré ces autres femmes à la silhouette en forme de Guitare ou en 8, qui ont de la poitrine et des hanches bien taillées. Bon quand même il faut dire que les choses avancent! Je trouve génial que les mannequins "plus size" soient mélangées aux autres mannequins sur les sites de prêt-à-porter. Mais pour moi il reste quand même une ségrégation car je ne me reconnais pas dans la catégorie plus size ni dans celle des filles minces. Je suis entre les deux en faite. Je crois que des mannequins taille "normale" il y en a pas trop pour le moment. Et pourtant nous sommes la majorité à faire un 38/40/42... J'aimerais vous faire le discours de la femme sûre d'elle et à l'aise avec son corps, mais c'est faux! Je fais cet article comme un billet d'humeur, comme un coup de gueule car je vis ce malaise un peu comme une injustice! Je sais que je continuerai à courir après mon ventre plat (à l'heure ou je vous écris, je suis en train d'essayer de me motiver psychologiquement à aller passer mes pauses dèj à la salle de sport cette semaine...) J'ai constamment ce sentiment dérangeant de devoir tout le temps faire attention, de tout le temps aspirer à mieux, à des fesses plus bombées, des hanches moins larges quelque chose d'autre de mieux sculpté ... Je n'irais pas jusqu’à dire que je suis complexée, je tente de m'accepter telle que je suis...

Vous ces femmes qui assumez vos imperfections dites moi comment vous faites ? Je suis sûre que je ne suis pas la seule à avoir cette épée de Damoclès des kilos au dessus de la tête ! Comment vous le vivez-vous ? J’aimerais avoir vos avis, vos témoignages sur le sujet.

N’hésitez pas à venir me faire un coucou sur mon blog et sur Instagram 🙂

Kiss Kiss et sorbet sans sucre.

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Découvrez la Martinique côté zen

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Vous avez envie de (re) (ou faire) découvrir la Martinique autrement, pouvoir dire, enfin, que l’on peut passer en Martinique des vacances originales « durables », c’est à dire respectueuses et engagées en faveur de l’environnement et au contact direct des habitants pour un meilleur bien-être de tous ? Ce premier Guide de voyage durable consacré à la Martinique est fait pour vous… A partager sans modération.

Le petit guide Guide Tao Martinique, réalisé par les Editions Viatao avec Le soutien du CMT Martinique et la Caisse des dépôts, recense 170 adresses engagées pour un tourisme respectueux de l’environnement et des hommes.

Ce guide ouvre de nombreuses pistes pour des vacances durables et zen en Martinique.

Vous (re)découvrirez que l’on peut explorer la Martinique en camping-car, faire un séjour à la carte en choisissant les sites à visiter et un logement chez l’habitant, faire un circuit agritourisme, s’essayer à un Road Trip dans le Nord ou se faire une excursion sur un voilier traditionnel… En profiter, malgré son handicap pour faire des sorties en mer, de la plongée, de la chute libre…

Ce guide apprend —-ou rappelle— aussi que la Martinique est l’un des 34 points chauds (ou « hot spot ») de la biodiversité dans le monde puisqu’elle rassemble plus de 1 500 espèces endémiques même si elle a perdu plus de 70% de sa végétation primaire. Elle est probablement l’île des Petites Antilles qui présente le plus fort taux d’endémisme, c’est-à-dire la plus grande proportion d’espèces propres au territoire.

Autant de raison pour aimer encore mieux notre belle Madinina en respectant son patrimoine riche et diversifié.

 

Guide Tao Martinique, par Pauline Bian-Gazeau, éditions Viatao

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