Jusqu’au 27 octobre, se déroule la 4e édition du Festival Bleu Outre-Mer- Mémorial ACTe à l’initiative des associations ADACDCOM et Poem-Arc. La chanteuse Tanya St Val est la marraine de cette manifestation.
Figure(s) et Représentation(s) est le thème de cette nouvelle édition du Festival Bleu Outre-Mer, dont l’essentiel de ce spectacle vivant se déroule au Mémorial ACTe. Un événement qui sonne comme un « appel au rassemblement », selon Natty Chicot Montella, présidente de l’ ADACDCOM. Rassemblement d’artistes, qui au-delà des océans qui les séparent se rejoignent autour d’un vecteur commun : l’art.
Arts visuels, danse et musique sont donc au programme de cette nouvelle édition. Le coup d’envoi a été donné vendredi 19 octobre, à la médiathèque Ernest. J. Pépin de Lamentin, avec le vernissage de l’exposition contemporaine Figure(s) et Représentation(s). Onze artistes de Guadeloupe, Martinique, Guyane et du Bénin interrogent à travers leur pratique artistique, « la problématique de la représentation des choses, des modèles, du monde, des mondes ». « C’est très important de pouvoir se représenter et avoir une représentation de nous-mêmes ailleurs », souligne Natty Chicot Montella.
L’art de se connaître mais aussi de connaître l’autre, ses coutumes, traditions, de mieux se familiariser à son environnement. Kaaro, création chorégraphique de la compagnie En Lacets est un projet passerelle entre Mayotte et l’Hexagone, résultante de la rencontre entre la culture mahoraise et de la danse contemporaine. Sur scène, l’artiste rémoise Maud Parquet et le chorégraphe majorais Jeff Ridjali invitent à un voyage de mélange des cultures. Pour cette quatrième édition, la danse s’approprie la scène, cantonnée les années précédentes à des master classes.
Spectacle de danse ???????? ce soir à 20 heures .
L’artiste réunionnais Davy Sicard et le chorégraphe mahorais Jeff Ridjali.
Deux soirs de scènes partagées
Vendredi et samedi, place aux scènes partagées. La Guadeloupe se liera au continent africain, à La Réunion et à la Caraïbe. Le premier soir, la chanteuse Stevy Mahy invite à un voyage sonore inédit notamment en présence du chanteur LS (Gabon-Congo) avec qui elle a signé le morceau Tout ce que tu es. À plusieurs milliers de kilomètres du papillon, escale à La Réunion à la rencontre de Davy Sicard. Du maloya, cette musique traditionnelle héritée de ses ancêtres, l’artiste accompagné de sa guitare sèche propose un « maloya kabosé » où s’invite diverses sonorités.
Cette découverte des arts pluridisciplinaires se conclura samedi, en présence de la marraine de festival, Tanya St Val et du duo Wakanza. La première propose un Voyage au clair de lune sous la direction de Jonathan Jurion. Moment où tradition et modernité se côtoient entre zouk, blues et jazz. Le ka, lui, est au cœur de ce projet musical.
Le duo Wakanza marque là, sa première représentation en Guadeloupe. Composé de Sir G et Kaïlyn Ryse, les deux artistes allient leurs origines caribéennes et africaines pour transporter les mélomanes vers des contrées musicales lointaines.
Plus qu’un lyannaj, une interaction entre les artistes, le Festival Bleu Outre-Mer se positionne comme un vecteur permettant d’ouvrir les frontières des différentes formes artistiques actuelles.
Ramon Ngwete photographe guyanais, Maude Mauquet fondatrice de la compagnie En Lacets, Jeff Ridjali chorégraphe mahorais, Natty Chicot Montella présidente de l’ADACDCOM et la chanteuse guadeloupéenne Stevy Mahy. (Photos C.L.)
Festival Bleu Outremer jusqu’au 27 octobre, exposition Figure(s) et Représentation(s) jusqu’au 31 octobre.
Billetterie pour les scènes musicales sur www.memorial-acte.fr et www.allmol.com
D’autres rendez-vous sont également prévus : jeudi 24 octobre, 19 heures au MACTe, projection du film Jocelyne Mi tchè mwen de Maharaki. Dimanche 27 octobre, de 16 à 18 heures, Kalakaswé avec Jeff Ridjali, Fanswa Ladrezeau et Daniel Savonnier, sur la terrasse du Mémorial ACTe.
C’était une grande première en Martinique : le 4 octobre dernier, jour de la fête de Saint François d’Assise et journée mondiale des animaux, à l’initiative de l’association de protection animale Les Manicoubleus, Monseigneur David Macaire a béni les animaux de compagnie et leurs maîtres à l’Hippodrome de Carrère. Retour en images sur ce grand moment de rencontre et de partage.
« On peut dire le bien-être de l’humain et de son activité en harmonie avec son environnement, dans le respect de la nature de l’être humain. Les animaux de compagnie sont des éléments essentiels de la vie de l’homme ! N’appelle-t-on pas le chien ou le cheval « le meilleur ami de l’homme » ? Il y a là une véritable gratuité de la relation avec la création qui vient tout entière du cœur de Dieu, mais aussi l’utilité de ces créatures qui nous rendent tant de services… », déclarait Mgr David Macaire dans Créola d’octobre dernier.
Un message bien reçu par les participants à cette journée mondiale des animaux.
Une célébration très attendue par tous…
Mgr David Macaire était venu avec ses propres chiens……qui avaient envie de rencontrer les petits copains !Mais il a maîtrisé la situation sans problème…
Puis on est venu aux choses sérieuses, avec le temps de la célébration mettant en valeur la relation homme animal, avec Noisette en vedette…
La foule était particulièrement attentive…
Et vraiment tout public…
La bénédiction des animaux dans la foule… un moment émouvant pour chacun.
Il y avait aussi quelques stands pour le bien être des animaux : petits massages…
Et bien sûr le stand des Manicoubleus
La trésorière de l’association a même trouvé un chaton sur place, sous l’oeil bienveillant de Mgr Macaire.
Un beau moment de partage à renouveler sans modération !
Mon anniversaire approche. J’aurai 29 ans! Ouais c’est la dernière année avant le début de la fin!
Je crois que je suis vieille, voilà pourquoi:
(non y’aura pas de vraie introduction, j’ai autre chose à faire)
JE FAIS LA SIESTE
OOOOOOOhh la sieste comment c’est doux !
Tu te rappelles la maternelle ? Les animatrices nous donnaient des coups de bâton pour qu’on fasse la sieste « fermez les yeux » Je crois que c’était pas légal de faire ça! Traumatisme !
Nou té rayi an la sieste ! On avait l’impression que c’était une perte de temps !
Mais maintenant tu pries pour pouvoir profiter de ce petit moment si rare et si précieux !
JE BOIS DU CAFE
De base le café c’est fort un peu amer, t’aimes pas trop ça! T’es plus Nesquick lait demi-écrémé you know!
Et puis un jour tu vas à la fac, il fait froid, tu te mets à prendre un cappucino à la machine à café (enfin si ça à le droit de s’appeler comme ça) puis un espresso, et puis comme tu travailles en groupe, vous allez vous poser au STARBUCKS! Et c’est clairement le début de la fin!
_allthingscoffee_
10 ans plus tard, tu te retrouves à Nespresso Cluny à demander une boite de fortissio Lungo, deux boites de Arpeggio et une boite de chiaro (petit café doux aux notes biscuitées pour l’après-midi attention à boire en Ristretto!!)
Ouais t’as changé!
@nespresso
JE SORS PEU
Je sors plus ouesh !
Pour aller où ? Avec qui? Avec quel argent?
Non maintenant c’est soirée poulet frit avec Gaëtan devant un film d’horreur qui fait pas peur … PA-THE-TIC!
le sac de chips
JE METS PLUS DE TALONS
Oui je suis petite, et j’adore les talons! C’est beau c’est glamour c’est sensuel les talons avec leurs belles courbes là!
Ouais mais ça fait mal et j’ai une douleur au pied droit! ! Et comme man pa ni pies dyab an kô mwen: donc on va arrêter de carrer! Comme dit mon papa « tan prélè mwen ja pasé » #teamtong
@creola
J’AI MAL AU CORPS
Je montes deux escaliers chui essoufflée en mode palpitations tout ça ! Non sérieux mes jambes tremblent mon cœur s’accélère !
Alors que j’avais une grande carrière d’athlète back in the days. Chui quand même arrivée 51e au CROSS du collège Paul Symphor!
« Ou rivé 51e enlè 50 courè »mon père, toujours là pour encourager…
@catastrophicmiss.over-blog.com
JE SUPPORTE PLUS L’ALCOOL
Bon j’ai pas eu la jeunesse la plus « pompélup » (oh mon dieu pourquoi j’ai dit ça) du monde mais bon là c’est pire! Sentir le rhum me bouleverse déjà! Ba mwen ti brin Chanflor merci!
J’AI CHANGE DE LOOK
Sa dwèt ka fè 3 ans man pa mété an « mini short »… Je regarde la longueur des robes et je me dis « woaaaa c’est trop court on va voir mes fesses.»
Voila ma vie!
JE PENSE QUE « C’ETAIT MIEUX AVANT »
Ouais nos darons nous saoulaient quand ils parlaient des années 80 genre la vie était belle! Et maintenant tu commences à faire pareil !
– Le franc c’était mieux
– La Trilogie du samedi soir sur M6 c’était trop cool!
– Le rap avant c’était mieux!
Heu par contre sa fout’ vré ! Vos histoires de trap music et de rappeuses qui racontent à quel point elles sont de bons coups JE M’EN FOUS!
Et faire un sample de chansons ragga dancehall des 90’s ça buzz plus!
Vous m’ennuyez de ouf!
J’AIME LE FRUIT A PAIN
Quand t’es petit les grandes vacances chez mamie ça signifie : FRUIT A PAIN AN TOUT SAUCE ! Toi t’as le seum tu veux juste manger des pates avec du steak !
Mais quand tu grandis, que dis je, quand tu vieillis tu commences à kiffer ces trucs là ! C’est toi qui demande pour manger des « lédjims » tu te tapes des délires : fruit à pain – banann’ jon’ – latché cochon – pwa rouj !
@recetteduchef
Tu te mets même à dire que le Macdo c’est surcoté de ouf et que « c’est pas bon pour la santé » !
Olala on est perdus !
J’AI DES CHEVEUX BLANCS… ET J’AI LACHE L’AFFAIRE
On se rappelle toutes du jour où on vu notre premier cheveu blanc ! On a craqué like « Omagad l’innoncence et l’insouciance, c’est fini, vite il faut que je commence à ouvrir un livret A».
A l’époque t’avais 3 cheveux blancs qui se battaient en duel … Désormais les cheveux blancs prolifèrent, et tu ne peux… rien y faire, je dirais même… t’as lâché l’affaire ! (j’ai appris à faire des rimes en écoutant Specta, j’ai honte de moi-même) #pathetic
Ouais j’ai découvert plein de cheveux blancs dimanche en me lavant les cheveux … Et I don’t care!
MES REGIMES FONCTIONNENT MOINS BIEN
Avant je me trouvais grosse … alors que t’étais mexoclèt !
Et quand je prenais grave du poids (=300g) ben je faisais un REGIME ! #cqfd
= manger des mueslis bourrés de sucre et de la « boisson à l’amande » bourrée de sucre
@oatbyemma
Au bout de 3 jours problème réglé t’avais maigris #régimeyoyodébile
Atchelmen ! Man pé rété an mois ka fè « rééqulibrage alimentaire » Man toujou ni an gwo boudin! True story
LES COURSES C’EST PLUS MARRANTS
Quand je faisais les courses avec maman c’était trop bien ! C’est beau, c’était lumineux! J’étais au paradis de la société de consommation. En gros maman faisait des courses et moi je mettais des Kinder Délices dans le caddie.
(et après maman disais « ay ridépozé tèt papaw »)
Aujourd’hui c’est plus … du tout la même chose : tu dois faire une liste de course. Tu souffres le martyr dans les rayons, tu dois acheter des trucs INUTILES genre de la lessive et du CIF mais wtf ! DU CIF ! C’est pas normal ! Non et épi le pire c’est que à la fin, c’est toi qui paye ! RIP MON ARGENT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’argent ça devrait être dépensé que pour des fringues du makeup dla bouffe et des voyages! DU CIF …!
Epi quand tu rentres faut ranger les courses !
Chui pas faite pour cette vie!
JE DOIS COMPRENDRE DES CONCEPTS CHELOUS
Maintenant ça parle de tiers-payant, de K€ / an, de RSI, d’abattement fiscal …. frère comment te dire:
1 je comprends rien à ce que tu me dis
2 je m’en fous en fait
Ça m’intéresse pas je veux pas savoir je fais même pas ma déclaration de revenus seule c’est ma maman qui fait ça pour moi donc laissez moi! Par contre là je dis non!
JE ME RENDS COMPTE QUE J’AI DES REFERENCES OLD SCHOOL
Les moins de 20 ans peuvent pas connaitre : Le club Dorothé, les dvix, les Apple Minis, Megauload, My Libre Antenne, ou quand Krys té ka raché coupé !
Ils peuvent pas comprendre !
Tu réalises aussi que 7 days de Craig David est un tube … juste pour toi!
*Ah oui les gens qui se déclarent fans de Bobi mais qui connaissent pas ses vidéos supprimées sur YouTube style « Aux fesses du péché »… VOUS ETES DES FAKES! Back off!
JE TROUVE QUE LA JEUNESSE EST PERDUE
La jénès toujours « perdue » nous même on était perdus… Mais bon heuuu ils sont encore plus perdus que nous quand même ? non ? NON ?
D’ailleurs j’en profite pour lancer un message aux lycéens (surtout ceux des deux lycées de Fort-de-France…) quand vous traversez la rue:
1 traversez sur le passage piéton sinon c’est dangereux
2 vu que vous traversez pas sur le passage piéton, présé ko zot ti brin sinon c’est dangereux
3 ne regardez pas vos portables sinon c’est dangereux
4 ne mettez pas vos écouteurs sinon c’est dangereux
JE REFUSE DE FAIRE LE 10 YEARS CHALLENGE
Parce que j’étais très mal sapée, et très moche aussi (et vu que y’avait pas les filtres snapchat)
JE COMMENCE A COMPRENDRE MES PARENTS
« Ti cochon di manman’y : poutchi djol ou long? Manman répon’ tanto tanto «
Ma mère me disais toujours ça quand je comprenais pas ses choix. Et puis un jour on grandit et on les comprend. On se rend compte qu’on aurait faire pareil qu’eux VOIR PIRE!
C’est bizarre la vie!
Bon en vrai je suis pas du tout stressée avec ces histoires de 30 ans! Chui grave sereine parce que dans ma tête j’ai 19 ans (en moins tèbè quand même). De toutes façons :
Alicia 19 ans et Jordan 16 ans représenteront les Antilles-Guyane lors de la finale mondiale du concours de mannequins Elite Model Look.
Il n’était pas question d’une soirée de lancement d’une nouvelle voiture lundi soir, à la concession DS automobiles, à Grand-Camp aux Abymes. Mais bien de la finale du concours de mannequins Élite Model Look Antilles-Guyane.
Une semaine plus tôt, une cinquantaine de candidats se présentaient au casting espérant être sélectionnés.
Après avoir organisé l’événement dans un centre commercial pendant plusieurs années, l’heure était venue au changement, à un cadre plus intimiste. Tapis rouge, loge des candidats et écran sur lequel s’affichait leur visage à chacun de leur passage, ont plongé le public dans une autre atmosphère.
Huit candidats, quatre filles et quatre garçons ont défilé devant un jury composé d’Iris Minier, directrice du scouting Élite World, de Valérie Parratte, directrice Élite Model Look Antilles-Guyane du styliste Kevin O’Brian, qui a signé les tenues des finalistes et de Cédrick Rutil, directeur commercial DS Automobiles Guadeloupe.
Surprise et émotion
Après quatre passages, c’est finalement les prénoms d’Alicia (Guadeloupe) et de Jordan (Guyane), qui ont été annoncés. Les deux finalistes ont su séduire les jurés par leur photogénie, personnalité et beauté naturelle. Alicia Korutos, 19 ans et Jordan Wasserstein, 16 ans remportent ainsi leur ticket pour participer à la 36e finale mondiale du concours Élite Model Look, qui aura lieu en novembre. Si elle n’en était pas à sa première participation, l’étudiante en licence de sciences politiques à l’Université des Antilles n’a su cacher sa surprise à l’annonce de son prénom. « Cela fait plusieurs années que je participe, je ne m’attendais vraiment pas à gagner. Si je peux donner un conseil à celles qui veulent devenir mannequin, c’est d’être déterminée, de ne pas lâcher et de croire en leurs rêves », confiait-elle émue. Jordan, lui a découvert le milieu du mannequinat et confiait avoir participé grâce à sa mère. « Elle a vu l’annonce et m’a dit de tenter ma chance, elle a eu raison. Je l’ai tenté et j’ai gagné. C’est la première fois que je participe à ce concours. Ça fait chaud au cœur de gagner. »
En 2017, la Guyanaise Élisa Brunel figurait au Top 15 suivi un an plus tard, du Guadeloupéen Cédric Saintil. Tous deux sont aujourd’hui représentés par l’agence internationale Élite.
Les deux finaliste félicités par les autres candidats à la proclamation des résultats.Quatre filles et quatre garçons ont participé à la finale.
Le marché du luxe d’occasion n’est pas nouveau, mais a connu ces dernières années une croissance fulgurante.
Alimentée par les plateformes digitales, qui génèrent 25% des ventes globales, la seconde main devrait progresser en moyenne de 12% par an, contre 3% en moyenne pour le marché du luxe.
Avec 36 milliards de dollars en 2021 (contre 25 milliards de dollars en 2018), ce marché représente environ aujourd’hui 9% du marché total du luxe.
La seconde main représente une réelle opportunité pour les Maisons de luxe.
Les acteurs du luxe pourraient considérer la croissance de l’occasion comme une menace ; cependant le marché de la seconde main offre plusieurs opportunités pour l’industrie du luxe: un moyen d’attirer de nouveaux clients, d’augmenter les ventes, et d’accélérer les pratiques durables dans l’industrie de la mode.
Un moyen de recruter de nouveaux clients.
Les acheteurs de luxe d’occasion sont souvent des consommateurs n’ayant pas accès au luxe de première main, 71% des personnes interrogées indiquent acheter des marques auxquelles elles n’ont pas accès en temps normal.
Par conséquent, le marché de la seconde main est un excellent moyen pour les marques de luxe de toucher et d’imprimer leur marque dans l’esprit de ces potentiels clients.
En vieillissant, le client de seconde main voit son pouvoir d’achat augmenter, le prédisposant ainsi à transitionner vers le neuf.
Parmi les personnes interrogées, 62% ont déclaré avoir acheté pour la première fois une marque sur Vestiaire Collective et la quasi-totalité de ces 62% se disent prêts à racheter la même marque. Les recherches démontrent également que 57% achèteraient une nouvelle fois ou considèreraient l’achat de première main – ce qui les positionne comme des prospects de qualité pour le marché de la première main.
Un moyen d’accroître la durabilité dans le monde du luxe
Il est prouvé que le marché de l’occasion prolonge la vie des produits de luxe. La plupart des produits vendus sur les plateformes d’occasions sont de très bonne qualité, en effet, 62% sont peu ou non portés.
Cela crée ainsi une économie circulaire dans le monde du luxe, sujet brûlant dans l’industrie de la mode ces derniers temps.
Les marques de luxe qui soutiennent cette durabilité peuvent être fières de leur rôle éco responsable, et pourront bénéficier d’un tel positionnement notamment auprès des jeunes consommateurs fervents défenseurs de la durabilité.
Un écosystème plus responsable représente également un complément indéniable et un facteur de différenciation face aux diverses initiatives éthiques et aux responsabilités sociales des entreprises (RSE) généralement poursuivies par les acteurs du luxe.
Les Millennials (54%) et Génération Z (48%) représentent la majorité des consommateurs de seconde main.
« La seconde main prolonge la durée de vie des produits de luxe. La plupart de ceux vendus sur des plateformes de luxe d’occasion sont de haute qualité, avec 62% de produits non portés ou peu usés. Les Maisons qui souhaitent s’engager dans actions plus écoresponsables bénéficieront de cette économie circulaire du luxe » explique Olivier Abtan, Directeur Associé au BCG et responsable de l’expertise luxe au niveau mondial.
La bonne nouvelle, c’est que l’étude de Vestiaire Collective et BCG révèlent que plus de 70% des clients essayent d’acheter de manière éthique et que 13% considèrent la consommation durable comme un facteur primordial. Pour ceux qui consomment de manière éthique, 57% affirment que l’impact environnemental est leur première préoccupation.
Un accès à une offre vaste et une sélection de produits d’exception
Une autre raison expliquant la croissance rapide du marché de la seconde main est le fait qu’il offre une très large sélection de produits. Au-delà du vintage et des pièces issues de collections précédentes, les articles rares ou iconiques et notamment les éditions limitées provenant de collaborations sont très recherchées sur ce marché.
En effet, 90% des personnes interrogées sont familières avec ces collaborations et 50% disent avoir déjà acheté des éditions spéciales ou des pièces issues de collaborations.
62% des acheteurs trouvent le marché de l’occasion attractif aujourd’hui parce qu’ils recherchent des articles épuisés, des éditions anciennes ou limitées, et 83% parce que le marché offre un large choix de produits et marques.
En 2019, et par la sensibilisation à un monde sans gaspillage et soucieux de l’environnement, il est normal aujourd’hui de se tourner vers des achats réfléchis, et le « seconde main » en est un. Pour le luxe, il permet d’accéder à des pièces vintage, des pièces qui ne verraient peut-être même pas la couleur de notre dressing, mais le « seconde main » est aussi important dans l’habillement en général. Elle serait presque aujourd’hui un acte militant.
Et vous, êtes-vous prêts à privilégier le « seconde main »?
Méthodologie
Basée sur une étude auprès de 1005 clients de Vestiaire Collective en octobre 2018, et sur la base des 12 000 répondants de l’étude BCG x Altagamma (2019).
Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.
Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1578
Ouais si t’avais pas compris avec tous ces jeux de mots : Octobre Rose bat son plein. Octobre Rose, ce mois dédié à la campagne de communication pour le dépistage du cancer du sein et à la récolte de fonds pour la recherche.
A cette occasion, j’ai rencontré Isabelle, une Amazone, qui a accepté de nous raconter son histoire.
Et je vais pas trop blablater parce que Isabelle elle a des choses à dire, beaucoup de choses!
« CET INCONNU CHEZ MOI »
« LE FER, LE FEU ET LA CHIMIE »
Je n’aurais jamais pensé l’avoir un jour.
Un peu comme nous toutes, Isabelle pensait que le cancer du sein, ça n’arrivait qu’aux autres. Elle vivait sa vie, et n’y pensait tout simplement pas.
Mais il était déjà là, il s’est immiscé dans sa vie, sans faire de bruit. Son cancer c’est clairement unreskiyè voilà c’est dit!
« Carnaval 2015: wonderwoman ne sait même pas qu’elle va devoir affronter un tsunami deux ans après »
« Je me palpe un matin en me baignant, je me savonne, et ma main tombe sur mon sein, à l’endroit précis, où y’a la tumeur. Je me dis aïe, qu’est-ce que c’est ! C’est pas normal ! Charlina je n’ai pas senti une boule, j’ai senti une masse !»
Je sais déjà que c’est un cancer, je le sens.
Pourtant sa dernière mammographie date de moins de deux ans.
Et là, tout s’enchaîne, examens, biopsie, et annonce des résultats. Elle s’engage alors dans un combat pour la vie, combat qui durera près de 2 ans.
Chimiothérapie néo adjuvante pour diminuer la masse de la tumeur
Tumorectomie afin d’enlever la partie du sein où la tumeur est localisée (différente d’une mastectomie où l’on retire partiellement ou totalement le sein)
Radiothérapie pour détruire les dernières cellules cancéreuses bloquant ainsi, leur multiplication
OH on sort les grands mots! Jargon médical, tout ça tout ça ! J’ai regardé Grey’s Anatomy qu’est-ce que tu crois!
Bien sûr ce « traitement de cheval » comme elle l’appelle sera lourd à supporter. Sur le plan physique et émotionnel, une sorte de maltraitance du corps tout entier.
« La radiothérapie c’est dur, ça te brûle la peau, mais tu te dis ouf c’est la fin des traitements. Le plus dur c’est quand même la chimio, la chimio c’est terrible. J’étais comme une larve, mal en point, semi-morte. »
« FANM SE CHATENGN »*
*la femme est une châtaigne, elle se relève de ses chutes
Isabelle se laisse pas abattre, jamais.
– As-tu pensé un moment … mourir ? – elle prend une gorgée de son mojito, et me répond avec aplomb : je n’ai jamais douté…
Ahhh pardon madame!
Faut comprendre qu’être dans le pathos c’est pas son truc à Isabelle! Sortir les violons là han han ! Pani sa ! Ah ben c’est une Amazone, donc passée l’annonce des résultats (qui ne l’ont que peu surprise) i té ja au combat!
Ca s’explique par sa foi indéfectible, et tout simplement le fait que sé an fanm djok! La vie lui a pas donné le choix: « Pwoblem, sé épi sa i ka lévé lé bon matin ».
A l’annonce de son cancer, elle vivait déjà de nombreux drames personnels. Comme dit mon papa « Chien té pissé anley’ »
« A cette période je vivais pas mal de drames, je me suis dit c’est une épreuve en plus. Je suis croyante, je me suis dit: mais seigneur pourquoi tu me donnes cette épreuve de plus ? Pourquoi m’éprouver, je suis déjà attachée à toi ! Ok tu me donnes cette épreuve mais donne- moi la force de l’endurer.»
Ce qui l’a aidée à tenir c’est sa famille, de l’importance d’être bien entourée dans le processus de guérison:
« Je ne l’ai jamais caché à ma famille. Tout le monde m’a soutenu, mes frères, mes enfants. Mes enfants ont eu peur, pour le futur.En ce qui concerne ma maman, ça a été un sacré choc pour elle, elle a été ébranlée. Mais elle a toujours été là, elle m’a boostée, m’a aidé à manger, elle ne supportait pas de me voir léthargique. »
REDEFINIR SA FEMINITE
Bon notre Super Amazone, a, comme tout super héros qui se respecte, ses moments de faiblesse hein: étant très coquette, elle craignait plus que tout, de perdre sa féminité.
@islandboiphotography @ihartericka
Et le cancer du sein, a cette petite manie de porter atteinte à cette féminité, qui nous définis, fais notre essence. Une féminité qu’il faut se réapproprier, autrement.
« La mastectomie c’était vraiment ma plus grande angoisse : j’ai dit seigneur tu me donnes des épreuves je les accepte mais s’il te plaît, pas celle-là. »
Elle en sera épargnée.« J’ai gardé mon sein, il est plus petit mais je l’ai gardé. »
Et puis surtout, il a fallu subir les affres de la chimio et apprendre à vivre avec la maladie, la dompter même, ne pas la laisser prendre le dessus sur tout.
« Je me rappelle un jour j’ai dévalisé un magasin, je voulais plein de couleur, de vie, je voulais être coquette, j’étais terne… Ah non je me suis pas laissée aller, je faisais encore plus à attention à moi : marés tèt, accessoires en wax, make up ! On m’a dit « on dirait que t’es encore plus belle.»
Une façon pour elle de dire au cancer: « Ok t’es là mais tu vas pas m’empêcher de vivre.»
« je sors avec ma tête maré, toujours sans cheveux, sans cils, sans sourcils… avec mon cathéter sous la peau (pour la chimio) »
LA VIE APRES LA VIE
UNE AMAZONE QUI « VOIT LA VIE EN ROSE »
Il semblait important pour Isabelle de donner du sens à ce qu’elle avait traversé. Guérir oui, mais que faire de cette chance que la vie te donne ? Il lui fallait être dans la transmission:
« Quand j’ai rencontré les amazones, j’étais encore malade, je voulais faire quelque chose, je suis allée sur google et j’ai trouvé cette association qui allait dans mon sens. J’ai trouvé Amazones sur Google et je me suis dit « c’est moi ». Je suis allée à la villa rose de 2017- « moi aussi je veux faire la même chose »- … même si j’étais malade! »
Elle commencera par une distribution de flyers avant de devenir membre active de l’association.
@amazones défi 24h des cœurs
Amazones deviendra pour elles et tant d’autres femmes, plus qu’une association, c’est une nouvelle famille, une sororité aimante et bienveillante:
« Oui les Amazones sont ma nouvelle famille, on partage le même état d’esprit. Dès qu’on se voit on se fait tout le temps des bisous, des câlins on est heureuses de se voir! On est bienveillantes entre nous on ne se juge pas, on fait des grillades, on va à la plage… Malgré les difficultés on a toutes quelque chose à s’apporter.»
Des femmes qui s’accompagnent ensemble vers la résilience.
« Les Amazones ne pleurent pas, elles avancent. »
Isabelle entourée de @alexandraharnais fondatrice de l’association Amazones et @chantalpaller cover girl du magazine Amazones
Si vous respirez encore, c’est que vous avez une seconde chance. » Oprah Winfrey
Quand j’ai contacté Isabelle pour lui dire que je voulais écrire un article sur son histoire en l’axant sur les points positifs qui résultaient de cette expérience douloureuse, elle m’a manifesté son enthousiasme:
« Oui, c’est ça le message que je veux transmettre, je ne veux pas qu’on pleure, il faut être dans le positif. »
Alors qu’est ce qu’on fait quand la vie nous donne une seconde chance?
+ = +
Le positif attire le positif. Mantra de la YouTubeuse @lenasituations
Le premier changement qu’elle a opéré concerne son entourage. Isabelle refuse désormais de fréquenter ces personnes qui la « tirent vers le bas »: « Le négatif, j’ai déjà connu. »
Elle s’est naturellement éloignée de personnes qui ne partageaient plus sa vision de la vie, elle évite de se laisser submerger par un environnement trop nocif pour elle, et surtout elle s’est encore plus rapprochée de ceux qui comptent vraiment sa famille, ses enfants et ses sœurs de cœur, les Amazones.
« C »est plus épuré mais de qualité. »
MOI D’ABORD
Isabelle, c’est une vraie pile électrique, travailler, faire des heures sup’ à n’en plus finir, courir à droite à gauche, ne pas écouter son corps c’était son quotidien… Ben, elle s’est légèrement calmée … non c’est faux, elle s’est jamais calmée! C’est toujours une pile électrique, différente, mais électrique quand même! I pa ka pozé! Elle se consacre de plus en plus au sport par exemple.
A gauche juin 2018: « je veux reprendre mon sport mais trop tôt mon corps n’est pas prêt je dois déclarer forfait. » à droite novembre 2019: « 3e participation consécutive au Jou ouè du semi marathon de fdf. Je fête la fin des traitements chimio et radio. »
« j’ai appris à écouter mon corps, et à me recentrer sur moi-même. Si je ne veux pas faire quelque chose, je ne le fais pas. Je me fixe des limites au travail, et si la journée a été trop difficile, je vais me poser à la plage de Sainte-Luce après le travail. »
@isabellebaron
Elle n’hésite plus à sortir de sa zone de confort pour vivre de nouvelles expériences.
« Je n’ai plus de limites, j’ai connu le pire, j’ai tout à gagner. »
NON.
Ouais je sais ça te parle aussi! On a tendance à vouloir faire plaisir à tout le monde, et à s’oublier. Ben Isabelle aussi, elle était comme ça: toujours tournée vers les autres, à passer un temps fou à choisir un joli cadeau pour l’anniversaire de Marie-Cécile, à aider Josette à déménager…
« Avant ma fille me disait maman tu es trop bonne trop conne. »
Mafi si tu l’as voit maintenant! Elle a le non facile hein! I pa envi fè an bagay i pa ka fèy! Ou pé faché mais ou kay ni dé pèn sé faché épi défaché!
Isabelle s’impose moins de contraintes, elle fait fi des codes sociaux! Elle n’a pas votre temps!
« Je suis plus san fouté! »
SAVOURER LE TEMPS
Isabelle a tout fait pour vivre, elle s’est battue, pour elle et surtout pour ses enfants.
« Parfois, c’était dur, j’arrivais à Clarac et l’odeur de l’hôpital me rendait déjà malade, je ne pouvais pas rentrer, je ne pouvais pas, je disais à l’infirmière: s’il te plaît laisse moi rester dehors, je ne peux pas rentrer. »
Mais elle s’est accrochée.« Je ne pouvais pas les laisser seuls. »
Alors croit moi, qu’elle connait désormais, la valeur de cette vie. Désormais, elle s’émerveille de tout: le soleil qui se lève, un colibri qui butine, se faire interviewer par une jeune Martiniquaise aussi belle qu’intelligente. (je parle de moi là hein)
«Je savoure tout, avec les gens que j’aime. Ma devise c’est ce qui ne te tue pas te rends plus fort…»
@isabellebaron Isabelle profite de son carnaval!
Et isabelle est bien vivante ! Elle a plein de projets en tête, toujours guidée par cette démarche de transmission.
Bon bon, on parle de la vie tout ça… Le vrai objectif de cet article est ailleurs. Isabelle n’a qu’un seul message à faire passer en réalité: Elle cherche le « prince charmant qui va mettre des paillettes dans sa vie. »
Bref Isabelle ka débatché enlè zot donc préparez vous, vous êtes même pas prêts!
@isabellebaron
Cette rencontre avec Isabelle est l’une des plus belles et marquantes qu’il m’ait été donné de faire. Pourquoi?
Parce qu’elle me fait grave me questionner sur la notion de bonheur. Elle nous rappelle si besoin était (encore) que le positif émerge toujours. Même du négatif. Olala la crise existentielle!
Alors elle vit, peut être plus intensément.. Une vie, colorée, plus pixellisée.
Les Amazones ne nous sensibilisent pas simplement sur le cancer du sein, non elles font bien plus que ça: elles nous rappellent de vivre. Parce que elles, elles savent mieux que quiconque ce que ça fait de manquer de la perdre.
Nous on sait pas.
Son histoire fait écho à cette phrase de Riss, survivant des Attentats de Charlie Hebdo et désormais Directeur du journal dans son livre Une minute quarante-neuf secondes:
« Les gens vivants ne savent pas qu’ils sont vivants […] ils jouissent de tout ce que la vie leur donne, il ne s’en rendent pas compte. Ils vivent comme des bêtes, inconscients de leur existence. Quand la mort s’approche d’eux. Ils se réveillent. Trop tard. »
Et si c’était ça le vrai message d’Isabelle? Nous dire qu’il n’est pas trop tard?
Pour toi aussi participer aux prochains temps forts de ce mois pour toi aussi soutenir cette noble cause. On compte sur toi! Mets du rose dans leurs vies!
« Ti doudou Bel Kréyati, ou kouché la, Mwen ka gadé’w, épi lanmou épi tandrès ayayaye… ». Ne me demandez pas pourquoi mais c’est le son qui m’est venu en recueillant les réponses de Mélodie Musicale. J’aime son style, j’aime le fait qu’elle s’assume, j’aime la simplicité de ses posts…Bref! Melody Musicale, sé on bel kréyati from Martinique !
▪️Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Hello ! Je suis Mélody Musicale, créatrice de contenu sur différents réseaux (Facebook, Instagram, YouTube). Je suis également une maman très chanceuse.
▪️ Comment définirais-tu ton style ?
Je dirais qu’il est affirmé. Quelque soit le style vestimentaire choisi, l’important est que la tenue flatte ma silhouette, que mes douceurs soient à l’aise et qu’elle reflète mon humeur du jour.
@melody_musicale
▪️Qu’est-ce qui t’a donné envie de te lancer sur Instagram, Youtube,…?
L’écriture m’a attiré dans ce monde. J’ai souvent écrit des textes, que je considère comme étant exutoires. Certains se sont reconnus dans mes écrits et m’ont encouragé en ce sens. Étant modèle pour des boutiques, j’ai également eu envie de poster mes looks. De netlog (ça date!) à Instagram, je suis devenue blogueuse.
▪️ Quels sont selon toi les + et les – d’Instagram ou des autres réseaux sociaux ?
Communiquer sans être limitée par la distance et le temps. Priceless mais chronophage (surtout dans les débats, j’ai du mal à m’arrêter). Je trouve les échanges plus fluides sur Instagram, là où l’interface de Facebook devrait s’améliorer. Je ne crache pas dans la soupe cependant. Mon amour du blogging a grandi sur Facebook.
Sur tous les réseaux ce que je déplore c’est le manque d’expertise et les « faux et usages de faux » (fout’ man sot) .
Portés par le nombre d’abonnés, certains s’attribuent des statuts afin d’attirer un maximum de personnes. C’est dommage dans le sens où à force on ne cherche plus les solutions adaptées en nous mais dans les dires d’un autre qui ne s’y connaît pas tant que ça.
Après tout, nous ne sommes que des lambdas comme les autres.
@melody_musicale
▪️ Combien de temps passes-tu à la réalisation de tes publications, photos et/ou vidéos par exemple ?
Pour mes photos, c’est assez rapide. J’aime la » Photo Thérapie ». Lors des séances je peux exprimer ma féminité comme je le souhaite. L’exercice m’aidant à vaincre ma timidité. Ceux qui m’ont rencontré, penseront « Melody wou timid ???! » et pourtant !
Les vidéos demandent cependant plus de temps, mais j’aime ÉNORMÉMENT les montages. Ça se voit à mes stories insta. Tout est une excuse pour en faire un. Je suis toujours à l’affût d’une application qui me permettra d’exprimer mon Art ( à lire sur un ton bourgeois ah ah)
▪️ Quels sont les avantages et inconvénients du statut d’influenceuse ?
J’affectionne les échanges avec ma communauté (elle le sait). On se soutient mutuellement au quotidien. Ce statut me permet, également, de sortir de ma routine. Partager mon univers en photos et vidéos, c’est un véritable plaisir.
D’un point de vue extérieur, les évènements, les rencontres peuvent donner envie ou encore faire rêver. Mais l’envers du décor n’est pas si évident. Nous ne sommes pas forcément pris au sérieux ou sinon nous sommes jugés aux nombres d’abonnés ce qui peut être réducteur. Bien souvent on sous estime le travail effectué. Mais quand on a compris ça, le plus important prend le dessus : l’amour du partage.
Si les influenceurs ne reviennent pas à la base c’est à dire leur authenticité, ce statut perdra de plus en plus en crédibilité.
@melody_musicale
▪️ Quelle est ta plus belle expérience en matière de collaboration ?
Il y en a plusieurs. Ça a été très gratifiant car je crois encore en elles. Les meilleures sont celles qui perdurent.
▪️ Si tu devais citer 3 influenceurs, quels seraient-ils ?
L’ Authentique ( Guadeloupe )
L’ Inspirante ( Internationale)
La Créatrice ( Martinique )
Elles se reconnaîtront.
@melody_musicale
▪️ Quelle a été ta stratégie pour développer ta communauté Instagram ?
Alors en terme de stratégie… Comment dire ça ? Pa ni ! Je fonctionne au feeling et selon les retours. Je partage mon univers en cohésion avec les échanges que j’ai avec ma communauté.
▪️ Quelle est ta source d’inspiration pour la réalisation de tes posts?
Notre vie aux Antilles et ce qui me touche dans l’actualité.
@melody_musicale
▪️ Qu’aimerais-tu entreprendre ou faire évoluer par la suite ?
Notre perception de nous même. Nous sommes AMOUR, RICHESSE et DIVERSITÉ (entre autres) aux Antilles. Et ce serait salvateur d’en être conscient afin de cesser de se dévaloriser par rapport à ce que l’on perçoit de l’extérieur.
▪️ Quels sont tes conseils pour quelqu’un qui débute sur Instagram ?
N’essaie surtout pas d’être comme Pierrette, Paulette et Jacqueline car ce qui est le plus intéressant c’est d’être TOI. Amuse toi en faisant ce que tu aimes.
@melody_musicale
▪️Les mots de la fin : as-tu une astuce ou un conseil mode, beauté, bien-être à partager avec nous ?
S’accorder du temps et être en phase avec soi, même si le monde ne te comprend pas. Il n’aura pas le choix.
Avant l’électro-stimulation consistait à se muscler sans pour autant fournir d’efforts physiques, mais ça c’était avant…
@araruama.net
Je dois vous avouer que j’ai en ma possession 2 appareils d’électro-stimulation (semblables à ceux des télé-achats), que j’utilisais au début mais comme tout « gadget », je les ai vite ranger dans un tiroir #dontjudgeme
En septembre, je m’étais dit que j’allais reprendre le sport sérieusement avec un coach et tout…, comme avant pour bien m’assurer de faire tous les exercices et non comme je les faisais étant seule, (bon en vrai je mens, même avec un coach, je me plains et j’arrive toujours à faire diminuer le nombre d’abdos, je déteeeeeeeste les abdos et pourtant je rêve d’un ventre sculpté…à ne rien comprendre).
ça c’est l’ancienne moi, celle qui bossait durement !!
Anyway, c’est là que je suis tombée sur une pub Insta pour des séances d’électro-stimulation « Action Sport », il y avait une séance découverte offerte, je me suis inscrite, ai essayé de contacter le numéro indiqué mais sans succès, je suis même allée sur place mais c’était fermé…bref j’étais là en mode attente et puis « Ting » je reçois un DM de Slim_tech_ qui me propose une séance découverte, je me dis ma foi, il n’y a pas de hasard, je vais tester!
Eh ben figurez-vous que j’ai bien aimé, et du coups, j’ai pris mes 10 séances que j’ai étalé sur septembre / octobre.
Maintenant que je vous ai mis dans le contexte, il faut que je vous explique de quoi il s’agit…
moi quand je fais l’exercice en me plaignant tout le long
Le concept
L’électrostimulation consiste à provoquer une contraction musculaire à partir d’impulsions électriques.
En gros, les impulsions sont générées par un appareil sur lequel sont rattachés des électrodes, placés au niveau des 8 gros groupes musculaires :
Vous avez un gilet qui va travailler sur :
Abdos
Pectoraux
Bas du dos
Milieu du dos
Haut du dos
Et des bandes placées autour des :
Cuisses
Fessiers
Bras
l’appareil de Slim Tech est mobile, donc l’avantage est que le coach peut venir chez vous 🙂
De cette façon, les muscles agonistes et antagonistes sont stimulés en même temps (clique ici si comme moi tu ne savais pas ce que ça voulait dire).
Il n’y a pas de risque pour nos articulations, on diminue la masse graisseuse, on combat la cellulite, on améliore notre condition physique, on muscle, tonifie et raffermie notre corps en seulement 20 min!
Mais attention, ce n’est pas sans peine !
Dans un premier temps, le coach va définir l’intensité des électrostimulations pour chaque zones, en fonction de nos capacités physiques et des résultats que l’on souhaite obtenir.
Et ensuite, il va nous proposer une série d’exercices à effectuer sur ces 20 min.
Je peux vous dire que ça travaille de ouf! j’ai transpiré comme jamais, et à la fin j’avais vraiment cette sensation de satisfaction que te procure une bonne séance de sport !
En résumé
J’ai été séduite par les 2 aspects :
20 min de sport représentant 4h de sport en salle : c’est facile à caser dans son emploi du temps! Fini l’excuse « je n’ai pas le temps »
C’est sooooooo pratique, j’y vais entre midi et deux, je rentre chez moi me doucher et j’ai même le temps de me poser pour déjeuner tranquillement avant de repartir au boulot pour poursuivre ma journée…
le coaching personnalisé, programme d’entrainement en fonction des attentes de tout un chacun : ça c’est le top, niveau motivation il n’y a pas photo !
J’aurais pu mettre « résultat » mais je ne l’aurai qu’à l’issu de mon mois d’entrainement !
Mais est-ce que ça marche ?
A partir du moment où j’ai des courbatures au lendemain, voire au surlendemain d’une séance de sport, je me dis que c’est forcément parce que j’ai bien bossé.
Dans l’ensemble, j’ai pu constater qu’il n’y avait que de bons retours sur internet. L’influenceuse Ax_elle, ainsi que la belle Alicia Aylies (Miss France 2017), en ont fait l’éloge sur Instagram.
@ax_elle
Ça s’adresse à qui ?
Je dirais à tout le monde ou presque :
pas au fainéants car on travaille tout de même
aux jeunes à partir de 18 ans, les « moins jeunes », et les seniors
aux personnes qui ont un planning chargé
aux personnes qui n’aiment pas le sport
aux personnes qui n’aiment pas l’effet de masse de la salle de sport classique
aux sportifs d’une manière générale
aux sportifs de haut niveau
C’est contre indiqué pour :
Les femmes enceintes
Les personnes atteintes d’un cancer
Les personnes épileptiques
Autre limite, le coût!
Il faut compter 350€ les 10 séances en moyenne..
Evidement, ça ne pouvait pas être donné, mais quand je regarde le prix d’un coaching classique, 45€ de l’heure, je me dis que ça vaut quand même le coup, et vous pouvez effectuer 1 séance par semaine en complément de votre sport normal. L’idéal c’est 2 séances par semaine si vous voulez observer des résultats rapides.
Voilà!
J’espère vous avoir tout dit sur cette méthode de sport en vogue depuis le début de l’année 2019 !
*tu comprends pas le titre? Voici le lien de Reverso
Le samedi 05 Aout 2017, je pars à Trinidad dans le cadre de mon stage en anglais professionnel (= vendre du mascara et de l’eye liner aux Trinidadiennes).
Et je découvre pour la première fois l’aéroport deLA BARBADE !!
L’avion prépare sa descente et je vois cette étendue d’eau BLEUE TURQUOISE et je me dis « patate chat et dire qu’à la base c’est ici qu’on devait faire notre stage ! Vas-y l’année prochaine je reviens ici avec ma maman! » …
Et comme dit comme fait je suis (re)venue l’année d’après avec ma maman ! Ouais chui comme ça moi, je réalise mes rêves!
Et comme tu l’as vu sur mes stories Insta, on y est encore retournées cette année ! (ouais tu me jalousais pendant que je vivais ma meilleure vie hein !)
-Et est-ce que tu veux savoir pourquoi je kiffe la Barbade ?
– oui Charlina je veux savoir !
– Ok ! J’adore la Barbade parce que cette île … C’est Narnia ouesh ! Il se passe des trucs chelous là bas ! Et j’adore ça!
Voilà pourquoi j’adore la Barbade!
LA MER
Je t’ai dit l’intérêt de la Barbade (hormis Rihanna au Crop Over) c’est la mer ! La mer est tantôt, cristalline, bleue, turquoise c’est un truc qui t’apaise qui t’hypnotise! Non c’est quand même quelque chose! #50nuancesdebleu #clearbluewaters
Elle est presque aussi belle qu’à l’îlet Madame ! Presque ! #lewobew#lameufsaoule
L’île étant de nature corallienne ben elle est super plate, l’eau est donc peu profonde, donnnnc super bleue ! #e=m6
Un transat, la plage de Browns Beach, une margarita ! life is good !
LES TAXIS
En vrai je pourrais faire une THESE sur les taxis barbadiens !
Est-ce que t’es déjà allé à Ste-Lucie ? Tu penses que les chauffeurs sont fous ? AHAHAH malheureux !!!
A la Barbade les taxis sont hyper organisés, ont un tarif unique de 3.50 BBD et roulent tous comme des tarés !
– Tu n’attends pas un taxi plus d’une minute. Tu n’as même pas le temps de te poser que tu entends le klaxon de « la cucaracha » et un taxi qui s’arrête pour savoir si tu vas à Bridgetown !
– Ni bon son an kay la si tu penses pouvoir écouter ton ti Jean-Luc Guanel Sweety Doudou sur ton téléphone … oublié sa!
– Je sais pas comment ils font pour pas écraser de gens. Vraiment grand mystère de la vie #mariokart
– Ils routent vite t’as pas forcément de ceinture tu fais ton signe de croix 20 fois dans ta tête
– Il y a de la place pour tout le monde. Tu te pousses, tu te compresses, tu te plies, tu te contorsionnes mais on laisse pas un client sur le bord de la route.
– Mais surtout ils bossent en binôme : un chauffeur et ce que j’appelle UNE SENTINELLE !
La sentinelle assiste le chauffeur qui lui ne se concentre que sur la route : il s’occupe de la caisse (souvent debout et contrairement à toi il tombe pas), il regarde qui a besoin de prendre le taxi, il aide certaines personnes à monter (malades, personnes âgées, gars boulés) il fait son bizness à côté genre des fois le taxi s’arrête sans raison apparente, la sentinelle sort et remonte avec une caisse de Despé… WTF
Bref c’est un délire ce truc !!
LES PRIX
…Parfois !
En fait quand t’es à la Barbade tu sais pas si tu te sens riche ou pauvre. Si tu dois carrer ou être humble et modeste ! C’est pas clair là, tu sais pas sur quel pied danser!
Non sérieux tu vas sortir d’un magasin t’auras fait un super shopping, les gens dans la rue vont même te faire des tites réflexions « ahh j’espère que j’aurais la même chose pour mon anniversaire » !
Et puis tu vas fuir d’autres magasins parce que tu auras entendu des trucs chelous: « Oh cette magnifique robe Diane Von Furstenberg est en solde pour seulement 400USD ! » KISSA?
Ouais ben « It’s out of my league Bye »! (=c’est hors ma de portée)
Non vraiment y’a des trucs hyper bon marché (les produits Design Essentials à moins de 10€ par exemple) et d’autres tu te demandes s’ils n’ont pas trop dansé lors du dernier Crop Over! Les pti dej à 25€ stop quoi !On est où là?
LEUR RAPPORT AUX TOURISTES
NON je ne vais pas comparer l’incomparable man za ka wèw ka vini, mais bon la Barbade c’est une île principalement tournée vers le tourisme. Donc cette affaire là, sé pa bagay la fèt !
Dès notre arrivée à l’aéroport on a été choquées par l’accueil et la rapidité de notre prise en charge :
– Comité d’accueil « Welcome to Barbados do you want a cocktail ?» Oui on a eu droit à un cocktail!
Alors que quand je reviens au péyi y’a jamais le Ballet Pomme Cannelle pour m’accueillir! Non j’ai droit à mon papa casquette Monaco, T-shirt Marius Cultier en guise de comité d’accueil…le décalage!
alors si c’est pas Marius Cultier c’est Bob Marley, Biguine Jazz, Eugène Mona!
– Scanner/ police aux frontière : scan du passeport + photo bagay la technologique!
– Mec qui nous propose de récupérer nos bagages (10BBD)
– Agence de taxi dès la sortie « where you goin ? South Gap Hotel ? ok ! »
– 15 minutes plus tard, nous za rivé an l’hôtel là nou za adan piscine lan!
Et à la Barbade, le tourisme c’est l’affaire de tout le monde. Les locaux savent que t’es touriste, donc ils te viennent en aide: ils te guident, des fois ils te conduisent là où tu veux aller, ils te donnent des conseils, y’en a même un qui, avant de quitter le bus, a demandé à la sentinelle de ne pas oublier de s’arrêter à St Lawrence, car il avait peur qu’on ne sache pas à quel moment tirer sur la sonnette!
Cœur sur eux !
LES ANIMAUX DE COMPAGNIE
Y’a des gens là bas qui promènent des SINGES en laisse! DES SINGES! Non mais j’étais choqué!
A la base même je savais même pas que y’avait des singes à la Barbade! Mais si y’en a plein! Les « Green Monkeys » ou Vervet verts sont super présent sur l’île! j’en ai déjà vu courir dans l’hôtel OKLM!
C’est un délire ce truc! Moi j’adore!
si tu veux en voir, va à la Wildlife Reserve de la Barbade!
LES MAKOS
« Hi sweety »
Les Barbadiens savent comment te parler, te « sweet-talker » sans te harceler ! J’appelle ça la soft makologie !
Tu vois ici les gars te parlent t’es déjà sur la défensive. « ah ouais manman où tu vas comme ça? Tu as un copain? Bon vian’! » SOTI LA
Mais les Barbadiens… c’est pas pareil : ils viennent te parler (parce que …ou sé an bel fanm of course) mais ils vont pas te harceler, ni être grossiers ou vulgaires : non ce sera un pti « Hi Beautiful, Have a nice day ! »
3 infos: il te dit bonjour, il te dit que t’es belle, il te souhaite une bonne journée.
le pêcheur qui essayait de zayer ma maman : « oh she’s your mom? i tought she was your sister » … humm! An bel boug hein
Est ce que tu as compris comment les gars sont forts?
é wou kom ou poli comme ta maman t’a appris les bonnes manières, TU REPONDS ! Boudoum ! Ou pri an sa ! Ou za ka palé épi ti boug la !
Non mais cette méthode a été étudiée par les plus grands scientifiques comportementaux! C’est du pur génie!
à doite: pêche du jour panée à la noix de coco, légumes grillés, salsa à l’ananas
J’adore j’adore j’adore ! Les restaurants fancy et super chers, Chefette, le KFC local, les ti bbq mawons aux abords des rues, les Sport’s Bar où tu manges des loaded fries en regardant un match de box, un match de league des champions et du football américain (en même temps!), le marlin grillé au marché d’Oistins, le fait qu’ils fassent rôtir du fruit à pain sur la plage!!! LOVE IT
La Barbade c’est le contraste : d’un côté t’as du gras partout (les mamies qui bouffent des burgers ça me choque sé pa mamie Liliane ou té kay wè ka manjé an « ambèguè » !) et de l’autre les restos te proposent de plus en plus de versions sans gluten et sans lactose !
dans les restos dès que tu arrives on te sert à boire, juste de l’eau du robinet … mais ça fait toute la différence! T’as chaud, t’as soif un ti verre d’eau ça fait pas de mal… je dis ça…
THE BAJAN LIFESTYLE
J’adore observer les gens quand je voyage. Car en tant que touriste tu peux avoir une vision ultra biaisée des habitants:
« je suis allée en XXX, les autochtones sont si gentils !!! » Non Jocelyne ils étaient sympas avec toi parce que tu étais une touriste et toi-même tu avais ton filtre de bisounours en vacances !
J’ai trouvé les Barbadiens hyper calmes dans certaines situations, où nous les « frenchy » on aurait déjà babillé!
Ils ont aussi gardé une forme d’entraide, de proximité, d’esprit de communauté, qui a tendance à se perdre de nos jours : il est 18h le bus est backfull, une maman entre avec sa petite fille de 3-4 ans, une femme déjà assise, s’empare de l’enfant et la pose sur ses genoux, 5 minutes plus tard, la petite s’est endormie dans les bras de cette inconnue !
Incroyable!
Ils sont adeptes du « liming », ce mot trinidadien qui désigne le fait de sortir chiller entre amis, boire un verre, danser, bref profiter de la vie.
Il est 17h, ils ont fini le boulot, ils se posent seuls, ou à 2 dans un pti bar ils sirotent une bière, un coca ou un café (ils adorent ça les cafés)! Je faisais ça à Paris moi pour les Happy Hours ! Bref ma maman, abonnée chez Nespresso Cluny a kiffé le concept !
#sèbi
#dominos #oistins
Epi surtout non faut le dire, j’ai noté une certaine blazittude dans l’effort ! Comment t’expliquer…
yo ka travay (la serveuse de mon hôtel qui arrive à 9h du mat et à 22h elle est encore là…) Sé sé di menti, yo ka travay ! Mè si ou konpran’ sé yo ki kay fè an burnout baw !
Entre les serveuses qui boivent leur ti cappuccino en plein service, le serveur qui est posé à regarder la télé (parce que y’avait pas de clients), l’hôtesse d’accueil qui sirote son milkshake, ou encore la vendeuse de Cave Sheperd qui prend 15 minutes pour ouvrir une bouteille de parfum (et te le faire tester) parce madame prend des milans avec une amie DEVANT TOI ! Eux ! Respect ! Du jamais vu !
Ils vont faire ce que tu leurs a demandé mais tu vas attendre épi c’est tout!
Yo fout’ ni rézon !
LE SHOPPING
Le but du gouvernement barbadien est que tu quittes le territoire RUINE. Ils veulent toutes tes économies. Y’a pas d’histoire de « je vais laisser un ti 50€ pour faire deux tites courses à Carrefour Market à mon retour! »
NON !
Et ils savent comment procéder !
Déjà les magasins pour touristes sont Duty Free ! Ils ont même des centres commerciaux entièrement Duty free (et souvent y’a des soldes! Imagine le bordel)
@limegrove
Résultat parfums à 29€, sac Calvin Klein 65€, chaussures Tommy Hilfiger à 30€, chaussures Mickael Korrs à partir de 70€, T-shirt Ralf Lauren à 18€, bijoux à 50€… t’as compris !
LES BONS PLANS SHOPPING Cave Sheperd et Broad Street aka « la rue des touristes » à Bridgetown Limegrove Skymall L’aéroport (mon dieu garde du fric pour l’aéroport) *Choisi les périodes de soldes (genre fin septembre) !
La Barbade c’est chez moi maintenant, c’est le sang ! C’est bon, c’est validé!
AH OUI … POUR CEUX QUI M’ONT HARCELE SUR INSTA: J’ETAIS AU SOUTH GAP HOTEL
Mais oui Charlina est gentille, elle partage le bon plan …
Mais ba mwen di zot an ti bagay! Si jamais j’essaye de réserver l’hôtel sur Booking épi je constate qu’il est complet à cause de vous, vous aurez affaire à moi…. #menaces
Localisation: St Lawrence Gap, une zone hyper touristique, à 15 min de l’aéroport et 15 min de Bridgetown.
Un petit 3 étoiles, à taille humaine rénové cette année. Les chambres ont une kitchenette (super important pour moi qui comptait pas passer ma vie au resto), toutes les chambres ont vue sur la mer.
Les + : c’est récent, donc on n’a jamais eu à se plaindre de quoi que ce soit, le personnel est adorable, la déco est moderne et sobre, le resto fait du « homemade », la piscine ferme en théorie à 22h mais tu restes tant que tu veux, et la mer est super belle tu peux voir des ptis poissons !
Mon meilleur rapport qualité prix pour l’instant à la Barbade!
Voilà tu sais tout! Moi je retourne sur Booking organiser mon prochain voyage … !
Les premiers mots qui me sont venus à l’esprit quand je suis tombée sur le compte Instagram de Holymane étaient : OMG quelle tignasse ! Et je pense que vous serez aussi enchantés que moi en découvrant l’univers de cette golden beauty simple et authentique !
@holymane_
▪️Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
Hello, moi c’est Mely, j’ai 27 ans, je suis blogueuse et je vis en Martinique. Je partage au quotidien mes coups de cœur et mes astuces beauté, entretien des cheveux crépus mais aussi my Caribbean Lifestyle. Depuis que je suis en Martinique je découvre mon île sous un regard différent et j’aime transmettre les trésors de celle ci.
▪️Qu’est-ce qui t’a donné envie de te lancer sur Instagram?
J’ai commencé Instagram un peu au hasard car c’était le nouveau réseau à ne ne pas rater à l’époque. Je postais mes coiffures au quotidien et l’engouement s’est développé naturellement. J’étais énormément sollicitée pour des conseils capillaires sur l’entretien des cheveux crépus et également des tutos. Pour répondre au plus grand nombre sur une plateforme qui me ressemble, j’ai créé mon blog www.holymanediary.com en 2014. Depuis tous mes réseaux sont consacrés à mes partages beauté, entretien des cheveux afro, lifestyle et voyage.
▪️ Quels sont selon toi les + et les – d’Instagram ou des autres réseaux sociaux ?
C’est vraiment génial de pouvoir échanger et partager sur des centres d’intérêt communs avec des gens qui sont à des milliers de kilomètres de soi. J’apprends beaucoup sur les réseaux et j’ai découvert des comptes et des personnes passionnantes sur différents sujets.
Sous couvert d’anonymat il y a également beaucoup de personnes qui se permettent d’être insultantes, intrusives, malveillantes envers d’autres personnes. Il faut savoir s’en protéger et sensibiliser les plus jeunes à une utilisation saine d’internet.
▪️ Combien de temps passes-tu à la réalisation de tes publications, photos et/ou vidéos par exemple ?
Cela varie beaucoup. Il y a des publications très spontanées qui ne me demandent pas grand chose en terme de temps. J’ai une photo sympa, une histoire ou anecdote à raconter… hop je publie.
En ce qui concerne les articles de blog ou vidéo, cela demande énormément de temps surtout quand on souhaite que le résultat soit parfait. Je dirais 3h pour un article de blog (hors shooting et retouche photo) et 1 ou 2 jours pour une vidéo.
@holymane_
▪️ Quels sont les avantages et inconvénients du statut d’influenceuse ?
Personnellement je suis loin de me considérer comme une influenceuse. Je suis la girl next door qui peut passer des heures à discuter avec des inconnues sur un produit capillaire ou de voyage. J’aime le fait de pouvoir échanger avec des personnes d’ailleurs qui m’apportent autant que ce que je peux leur apporter. Et savoir que certain de mes conseils puissent aider ne serait-ce qu’une seule personne c’est ma plus grande récompense.
Comment vois-tu ton évolution dans 5 ans par exemple?
D’ici 5 ans, j’espère pouvoir toujours faire ce que j’aime avec mon blog et mes réseaux sans pression. Développer ma communauté et attirer des personnes qui me ressemblent et apprécient un contenu vrai et authentique ! Et puis la cerise sur le gâteau, professionnaliser mes collaborations afin de pourquoi pas vivre d’une de mes passions.
▪️ Quelle est ta plus belle expérience en matière de collaboration ?
Elles sont toutes enrichissantes mais je dirais travailler avec la marque Elfy Naturals que j’ai vu naître et surtout parce que le parcours de sa créatrice Sandra V. que je soutien depuis ses débuts est une réelle source d’inspiration.
@holymane_
▪️ Si tu devais citer 3 influenceurs, quels seraient-ils ?
Blackbeautybag : Fatou N’Diaye est de loin ma blogueuse préférée. Une vraie référence niveau mode, beauté, estime de soi mais aussi sujets de société.
Naturalista.fr : une jeune entrepreneuse martiniquaise qui partage autour d’un mode de vie écologique, une nutrition saine et végétalienne. J’aime beaucoup ce qu’elle fait et mérite d’être plus connue. Il y a un vrai travail de recherche derrière et ça se fait rare sur internet.
Thiabrownsugar : que j’ai d’ailleurs découvert grâce à Créola. J’adore son style en vidéo simple et authentique, ses posts sur Instagram sont très inspirants et motivants.
Bon je triche un peu mais les articles de Cocozabrico valent également le détour (une plume piquante, saveur locale comme on les aime).
▪️ Quelle a été ta stratégie pour développer ta communauté Instagram ?
Jusqu’à présent il n’y en a pas. J’essaye parfois de m’organiser un planning de post, préparer mes textes à l’avance. Mais vous savez quoi ? Les posts trop calculés font un vrai flop lol ! Du coup ça m’arrange, je publie quand je le veux et quand je le peux et en général rien ne vaut la spontanéité.
▪️ Quelle est ta source d’inspiration pour la réalisation de tes posts?
La vie ! Je suis également beaucoup de comptes au feed coloré, ça me donne la pêche et de bonnes vibrations.
@holymane_
▪️ Qu’aimerais-tu entreprendre ou faire évoluer par la suite ?
J’aimerais continuer à professionnaliser mon activité sur le web.
Rencontrer les personnes qui me suivent, j’en rêve !
Créer quelque chose qui rassemble et mette en avant les blogueuses de nos îles.
▪️ Quels sont tes conseils pour quelqu’un qui débute sur Instagram ?
Tu as un talent, une passion, tu aimes ce que tu fais et tu as envie de le crier au monde entier… vas-y fonce, lances-toi !!
▪️Les mots de la fin : as-tu une astuce ou un conseil mode, beauté, bien-être à partager avec nous ?
Je pense que l’on a tous une lumière qui sommeille en nous qui ne demande qu’à jaillir avec tout son éclat. Mettons de côté le regard des autres et les injonctions de la société. Soyons nous même et brillons !