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LA MEUF SANS SENTIMENTS

Je suis la dans mon lit tu vois, j’écoute le son de Kygo – with you où le gars est clairement en train de chialer sa race pour une meuf, et je me suis rendue compte que ça faisait longtemps que j’avais pas chialé ma race pour un gars!

*je tiens à préciser que je galère à écrire cet article non pas parce que c’est ultra personnel mais parce que j’utilise un clavier anglais au travail et je sais plus où sont les touches sur mon ordi (Charlina arrête de cliquer sur le Q quand tu veux cliquer sur le A!!)

Je sors d’un genre de gros pwel interminable. Le genre de relation toxique désastreuse à laquelle tu as voulu mettre fin, sans succès. Vraiment, la meuf a tout essayé : les classiques blocages WhatsApp (suivi d’un déblocage off course), les suppressions de téléphone où tu finis par demander à une amie en commun le num du mec, les « j’arrête de lui parler » mais bon, tu lui reparles parce que la nostalgie d’une relation qui n’existe plus depuis bien longtemps te re-pète à la gueule… bref on connait

Mais un jour j’ai réussi à envoyer « l’individu » « aller manger manger cochon ».
(expression préférée de ma mère quand miss Martinique n’est pas sélectionnée parmi les 12 finalistes de miss France. Ce qui donne:« yo di Matinik alé mangé mangé cochon »)

Ca fait un an maintenant qu’il est « allé manger mangé cochon » donc, et le truc c’est que depuis, je ne ressens plus RIEN ! Genre vraiment rien, c’est comme si je n’avais plus d’amour disponible pour une potentielle personne you know what i mean ou you pa ka know ?

En fait, ça ne me déplait pas, mais c’est ultra chelou.

J’ai tellement donné, et là, j’ai plus rien à donner. Mon stock est sold out, mon plugging a planté.  

J’ai ressenti pendant deux ans, une tristesse quotidienne, une sorte de douleur lancinante, un truc qui te lâche pas même quand tu manges tes céréales (je mens je mange pas de céréales en Martinique ça coûte un bras, et c’est que du sucre, et 1kg de sucre Le Galion c’est moins cher)….

Et un jour, cette douleur m’a quitté ! Comme ça flap! Et tu vois c’était MA douleur, je l’avais apprivoisée, nous deux on avait une relation fusionnelle, et, elle était plus là!
Je m’en suis pas rendue compte tout de suite. C’est en discutant avec des collègues qui s’étaient encore foutues dans une histoire « amoureuse » compliquée, que j’ai compris. J’ai compris que j’étais passée par là et que j’avais survécu. La meuf c’est une résiliente, la meuf est une rescapée du gros-pwel !

An fond tche mwen j’étais en mode « moi j’ai pas gros pwel beuleuleup » !
Non j’ai pas de gros pwel, parce que j’aime personne, personne ne me plait, je veux pas aimer quelqu’un, man pa enlè ayin, j’ai pas envie de trouver l’amour (même si je sais que ça ne se décide pas) … je suis vide… de tout sentiment et je suis bien comme ça. Bien sûr je suis pas couillon hein, je sais que ça ne va pas durer (ce ne serait pas sain) mais franchement je profite de cette petite parenthèse dans ma vie!

Maintenant que les hommes, leur corps sexy, leurs abdos, leur bouche charnue…et tout le reste… ne sont pas au centre de mes préoccupations, je peux me concentrer sur des trucs super importants genre, comment faire disparaître les sargasses au Robert et plus particulièrement au quartier Pontaléry !

Bon voilà, je suis peut être cheloue, mais je ne ressens plus rien, peut-être que ça a un nom, attends je vais tcheker sur Google !
Few minutes later….
…. AY MON DIEU Google a dit que je suis une psychopathe ! Vasy je vais dormir!

https://www.youtube.com/watch?v=7BktLkuAer4

Les yeux pleins « d’Etoiles de Mougins »


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????Ce week-end, 2 et 3 juin 2018 à eu lieu une rencontre annuelle de grands noms de la cuisine à l’événement « Les Etoiles de Mougins » dans ce petit village non loin du centre ville du même nom.????

J’y ai été conviée pour suivre Béatrice Fabignon, cheffe antillaise basée à Paris; Qui pour l’occasion avait aussi invité le chef pâtissier Fabrice Fillin (Martinique), et le chef Ruddy Colmar (Guadeloupe).

Quel honneur et bonheur de se retrouver au milieu de toute cette effervescence (et la chaleur du sud!) et de ces talents de la cuisine, venus de toute la France et du reste du monde; Ils proposaient durant tout le week-end, des démo-dégustations, des conférences, concours et ateliers culinaires pour découvrir la cuisine gastronomique et la pâtisserie fine.????

…Parrainé par Phillipe Etchebest (difficile à approcher car gardé de près…) l’évènement est de mon point de vue une grande réussite. Et en suivant Béatrice dans son emploi du temps bien chargé; J’ai eu la chance de vivre des grands moments et de belles rencontres que je garderais en souvenir bien plus qu’heureux !

Le Samedi 2 juin, la journée en image…:

Le soir, j’ai été accueillie grâce au chef Fabignon, à dîner à la table du chef Denis Fétisson (2*michelin) qui pour l’occasion s’était associé aux chefs Serge Gouloumès et Stéphane Buron (2*michelin)afin d’élaborer un menu autour du caviar STURIA où chaque plat avait son accord avec une cuvée de champagne LAURENT PERRIER.????????

Denis Fétisson / Stéphane Buron / Serge Gouloumès / Hélène Labatut (Sturia)

Au menu :

  • Golden Egg au caviar Sturia Vintage
  • fougasse à la tapenade d’olive noire
  • Asperges blanches en vapeur de pin, caviar Sturia Classique
  • Pot au feu de langoustines, caviar osciètre, taboulé de choux fleurs
  • Boeuf Wagyu frotté au gingembre et caviar Sturia origine puis mariné au vieux soja, raviloe de Romanesco, jus de boeuf au houblon Saaz
  • Madeleine fourrée à la crème citronnée
  • Fleur de courgette glacée verveine, salade de fruits végétale, céleris Yuzu
  • Café gourmand

Le Dimanche 3 juin, la journée en image…:

  • Brochette de veau au massalé
  • Purée de patate douce au tamarin
  • Poulpe à la plancha, sauce chien
  • Gratin de christophine (on l’appelle « chayote » ici) aux gambas
  • Tartare de thon mangue, fruit de la passion
  • Ananas mariné au sirop de batterie

Après s’être bien restauré…au terme d’une journée bien remplie, on décompresse en dansant autour de vins et bien sûr…de champagnes à volonté !

Rentrée à 2H du matin…je n’en menais pas large lorsque mon chauffeur s’est pointé à 5h30 pour m’emmener à l’aéroport…????????

????????Mais il reste…la boite à selfies !!!????????

Vous pouvez revoir mon séjour en images à la une de mon compte @enalorsmood.

See Ya !????

Enalor

 

La ceinture chaîne ou l’accessoire de l’été à ne pas manquer!

Bonjour bonjour,
Je m’appelle Marie et je suis blogueuse depuis maintenant 4 ans. Voici mon premier article pour Créola, j’espère que cela vous plaira. 
(Et nous, la team Créola, sommes contents d’accueillir « Comme des Marie », notre première blogueuse d’un jour)

Si vous ne l’avez pas encore remarqué la chaîne revient en force depuis quelques mois. Beaucoup vue sur les pantalons cargo comme les fameux de la marque australienne I.AM.GIA portés ici par Bella Hadid.

@pinterest
@pinterest

Ce type de chaîne est quasi exclusivement réservé à des looks très streetwear ou en tout cas assez pointus car porter ce type de pantalon un peu n’importe comment peut vite virer au look camionneur ( qu’aucune d’entre nous ne souhaite je crois ????)

La chaîne se décline maintenant en ceinture inspiration Chanel ou Versace vintage. Plus délicate et sophistiquée, elle peut paraître un peu trop bling-bling mais bien portée sur un look assez minimaliste, elle change tout !

@nakdfashion
@chloebbbb

On la retrouve aussi sur des personnalités comme Kris Jenner ou encore Taraji P.Henson alias Cookie dans la série Empire.

@pinterest
@extrait série « Empire »

Personnellement, j’ai de suite commandé la mienne sur le site PrettylittleThings pour une dizaine d’euros et ça donne ça :

J’ai décidé d’associer ma ceinture chaîne avec un total look noir pour laisser ressortir cette touche dorée au maximum et en faire la pièce maîtresse de la tenue.

Alors vous comptez l’adoptez cette tendance ou pas ?

Vous pouvez me suivre :

EFFET FOOT PAS SI COOL

Vous le savez, la coupe du monde de football démarre jeudi. Oui, ce jeudi, dans trois jours. Tout ne sera peut-être pas permis et que dire du prochain samedi ! Allez, on reste solide, solidaire, ça dure un mois à un jour près.

Ca démarre donc ce jeudi au cas où vous auriez loupé l’info. Puis, samedi, ce sera le premier match de l’équipe de France contre l’Australie. Roulement de tambour.
Normalement ce devrait être easy pour les bleus. Normalement, parce que si on a bien regardé leur match (sans enjeu, aucun, rien, juste pour le fun) contre les Etats-Unis, un léger doute pourrait subsister (je n’y connais rien, j’ai juste constaté). Soyons optimiste au moins pour les nerfs des supporters de l’équipe de France, ceux de mon amoureux et ceux des joueurs à qui l’on a bien rappelé qu’en 1998 (un bail) une certaine équipe de France a connu le sacre.

Ensuite, l’équipe nationale affrontera le 21/06 le Pérou, puis, le 26/06 le Danemark. 3 matches incontournables (normal ce sont des poules de 4) qui détermineront les 2 premiers du groupe qui seront alors qualifiés pour les huitièmes de finale et mon amoureux me précise (parce qu’il suit ça de près, vous l’aurez compris) « normalement ils sont favoris dans leur groupe. Mais bon, c’est une coupe du monde, les équipes sont affûtées. On peut espérer les quarts et plus si affinités ». Tout le monde a compris ?

Voilà, vous avez le planning des matches à venir. Vous ne pourrez pas dire, « je ne savais pas ». Encore que, avec tout ce qu’on nous distille, compliqué d’y échapper si on voulait. Ca dégouline de foot en ce moment. Partout.

Autres perspectives, les réveils matinaux vont être footballistiques et les repas du midi aussi. Ou alors les supporters attendront-ils la fin du match pour manger. Seul ou à plusieurs ? Ô joie !
A priori, le pizzaiolo va être heureux. Les chiffres annoncent un record de vente de ce mets durant les coupes du monde de football. Cela me laisse rêveuse. J’aime les pizzas.

A défaut d’être très au fait sur les véritables compétences des équipes, aux nouveaux qui ont intégré l’équipe flamboyante (mais oui), j’ai prêté l’oreille au nouveau son (celui de la coupe du Monde). Il ne devrait pas tarder à nous souler, de mon point de vue (ou tout au moins auditif). Quant au clip… sans commentaire.

Reste les maillots. J’aime bien regarder les maillots (ceux des états-uniens étaient pas mal du tout avec leur numéro bordé des couleurs de l’arc-en-ciel). Eh ben on ne les verra plus ceux-là !
Ce sera donc mon sujet d’étude prochain. Roulade ! Et sinon, il existe des encres de peau, des vernis bleu, blanc, rouge, pour manifester mon entière et pleine adhésion. Etre fan (de temps en temps – ou à plein temps pour celles qui le voudront) en beauté quoi !

Je considère cet événement majeur, sportif, comme un phénomène. Un sacré phénomène, auquel on a droit tous les 4 ans. Comme les JO, mais là au moins on a le choix des sports.
Je reste pantoise (le mot est faible) devant l’engouement que suscite ce sport, à chaque fois intense. Tout ça pour un ballon, les pieds des joueurs, des hommes qui se passent un ballon et qui visent avec plus ou moins de succès vers une cage gardée par un homme (tout seul, lui) à qui je tire mon chapeau. Non je ne suis pas bloquée. J’aime beaucoup les ralentis sur les belles actions, les gestes techniques.
Je m’étonne de voir les uns et les autres (non mais quelle bande de comédiens) s’accrocher, se faire des croche-pieds, des tacles, se donner des coups (viens que je te retienne par ton maillot, prends un coup de crampon, un coup de coude, de tête ( ?)). Et hop, ça s’écroule, ça grimace, ça se roule par terre et quelques minutes plus tard voici les mêmes plus fringants que jamais.Qu’est-ce que je n’aime pas l’anti jeu. Hé, oh ! c’est un jeu les gars, non ? C’est ce que je croyais.
Là c’est la coupe du Monde mais avant c’était quoi la Champions League ? Et encore avant … Je ressens déjà les effets (pas secondaires du tout) foot.

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Alors voilà, nous y sommes, pour un mois (là je me fais mal). Je ne doute pas que certains matches vont (par instants, en pointillés) capter mon attention, je ne suis pas totalement insensible.
Mon côté altruiste va me porter à soutenir mon amoureux dans le choix de (des) la (les) pizzas, faudra varier les plaisirs gustatifs. Reine, Napo, Exotique, Chiquetaille morue, 4 fromages ?
« солидарность, prononcer solidarnost' » (Solidarité, en russe, on voyage en plus 😉 )

ET SI ON PARTAIT A NEW-YORK CET ETE ?

Ok, ce n’est pas la destination de rêve par excellence, quoi que. J’y suis depuis quelques jours déjà, et je ne cesse de m’émerveiller devant cette ville aux mille facettes. Pourquoi tant d’engouement ? Venez, je vous explique. 

Ma première fois avec New-York, c’était l’année de mes 30 ans. C’était un rêve d’ado. Et la série Sex and the city n’avait fait que me conforter dans l’envie de me jeter à corps perdu dans la découverte de cette ville. La première fois, je n’étais restée que 4 jours pendant le mois de septembre. Températures fraiches pendant tout le séjour et un circuit ultra touristique. Le bus rouge qui permet de faire le tour de la ville (sans le petit drapeau du guide- faut pas abuser), Times Square évidemment, la 5th avenue pour être Carrie Bradshaw quelques minutes et surtout les mains vides (pas les moyens à l’époque), Chinatown et Little Italie et pour terminer la Statue de la liberté. Honnêtement, je n’avais pas vu grand chose, mais j’étais en admiration devant ces buildings, au milieu de cette énergie que seule New-York est capable de procurer. 

Deuxième rendez-vous, 3 ans plus tard, au mois de janvier. Il faisait tellement froid que j’ai découvert que des parties insoupçonnées de mon corps pouvaient geler. Mais j’étais en famille, l’ambiance était géniale, donc j’ai encore une fois adoré. Le seul inconvénient quand vous revenez dans une ville déjà visitée avec des personnes qui ne l’ont jamais visité, c’est qu’il y a de fortes chances que vous refassiez exactement la même chose. Et ça n’a pas loupé à la seule différence que nous avons fait la Statue de la liberté en bateau, c’est-à-dire très très loin de la statue (attrape touristes, vous avez dit?).

Aujourd’hui, troisième séjour dans cette ville et je la découvre autrement. C’est avec plaisir que je refais tous ces sites touristiques qui m’émerveillent à chaque fois. Voici mes coups de cœur cette année :

Times Square encore et toujours. Un tourbillon de folies en pleine ville.

Central Park pour faire une pause au vert

Chinatown pour la cuisine et les petits prix

Soho et la 5th avenue pour le shopping

Greenwich pour se replonger dans la série Friends et aussi pour l’ambiance

Prendre le ferry (gratuit) pour aller à Staton Island et voir le coucher de soleil sur Manhattan

Prendre un verre dans l’un des nombreux bars de jazz, soul, hip hop

Boire un verre sur un rooftop (penser à réserver)

Les différents marchés aux puces de la ville (vérifier les dates et horaires)

Harlem pour son histoire et déguster de la vraie soul food

Brooklyn pour sa richesse culturelle

Faire le pont de Brooklyn à vélo pour rejoindre Manhattan (pas évident avec les piétons sur la même voie)

L’empire State building de nuit

Le bus rouge si vous n’avez le temps de parcourir la ville en long et en large

Green Acre Park, une cascade au coeur de l’agitation new-yorkaise

High Line pour une ballade atypique

Le World Trade Center, pour ne pas oublier

La Statue de la Liberté avec le circuit audio : très émouvant

Évidemment, je pourrais vous faire une centaine de pages sur ce qu’il y à faire dans cette ville. Et malgré mes trois voyages, je sais que je n’aurais pas tout vu. Laissez-vous porter par cette euphorie, faites des pauses au calme, regardez, photographiez, filmer, marchez, courrez, riez, mais ne vous retenez pas. Cette ville est unique, tout comme vous, alors ne faites qu’un avec elle, elle vous le rendra…

Thia

CE QUE JE NE FAIS PLUS… DE TEMPS EN TEMPS!

Il est des choix ( pas tous hein?) que je remets en question. Des choix pas malheureux, pas du tout, mais pour lesquels je me dis « mais, pourquoi ça tombe sur moi ? ». Pour contrecarrer le mauvais choix, je passe à autre chose, carrément, ou je l’assume pleinement.

Faire les courses peu avant l’heure du repas.
L’appétit devient celui d’un ogre, s’ouvre tel un gouffre, l’estomac crie famine et là, tout et surtout ce qui ne devrait pas, finit dans le panier, le chariot, mes bras. Et une fois rentrée la différence entre nécessité et superflu me saute aux yeux (comme si je la découvrais !). Je vous passe les noms d’oiseaux qui me viennent à l’esprit. Je ne fais plus mes courses dans ces conditions ou alors avec la liste en main et au pas de course, etc. Faux, je continue mes bêtises c’est beaucoup plus drôle.

Me rendre chez le coiffeur quand l’envie n’est pas énorme.
Surtout, la coupe de cheveux est à ne pas faire dans ce cas. Sinon risque de crise de regrets en vue. Cela sent plus que le vécu, vécu, test, re test aussi. A la limite je choisis la couleur (en croisant les doigts pour que ce soit la même), le lavage (ça c’est plutôt cool) et le massage en suivant. Le brushing, lissage (si pas trop long), redéfinition des boucles (au cas où elles n’auraient pas intégré qu’elles doivent rester bouclées). En prime, faites que cela ne dure pas trois heures, et non je ne veux pas de café ni de magazines. Pas pratique de boire son café en se faisant coiffer et pour les revues, j’ai mon Créola 😉 Pour ce choix, je vous assure que je ne vais plus chez le coiffeur si l’envie (même un soupçon, un brin) n’y est pas.

Acheter une paire de chaussures en fin journée
Et s’il n’y avait que la fin de journée ! Après un « bon » repas aussi et pas trop tard dans la journée non plus. Pour peu que la chaleur s’y mette, ce sera vers une paire de tongs que je vais me diriger. Pourquoi les pieds gonflent (je le sais mais je pose la question quand même) ? Fini, la paire attendra que mes pieds soient opérationnels.

Changer de file d’attente aux caisses
Ca c’est bien fini. Tant pis si je regarde celle d’à côté qui va quand même beaucoup plus vite que celle pour laquelle j’ai opté (je le savais, pas fait le bon choix encore une fois). Mais pourquoi ? Parce que à chaque fois, vraiment à chaque fois, j’ai regretté d’aller voir ailleurs si le tapis roulant allait plus vite. Erreur de caisse, client pas rapide, produit non étiqueté, changement de caissier-ère, je pense que j’ai fait le tour des bonnes raisons. Mais la meilleure c’est que je sais que tout cela relève de l’illusion. Je suis donc je choisis et j’assume mon choix de caisse.

Etre en mode ménage à fond
Avant le débarquement familial. TERMINE. Parce qu’à peine le seuil franchi, j’ai l’impression qu’un tsunami s’engouffre avec les valises, les chaussures, les adorables nièces et neveux, frères et sœurs, etc. Mes efforts se retrouvent réduits à néant ou presque. Donc je range, je nettoie mais pas façon fée du logis. Tant pis si ça ne plait pas.

Oublier de remplir mon réservoir d’essence
Pas tant parce que les grèves pourraient faire que ce soit un réflexe devenu acquis (même pas), mais parce que je me dis souvent « oh ! ça peut attendre ». Non, cela n’attendra plus car c’est quand il est à son plus bas niveau que le rendez-vous du lendemain est hyper tôt et que mon temps (je n’en ai jamais assez) aurait pu se dispenser d’une virée à la station.

Allez ! Je file. J’ai rendez-vous chez le coiffeur et je dois me trouver une paire de chaussures. Il est comment mon niveau d’essence?

MADRAS VS WAX ?

Le tissu madras revient, oui mesdames. Il a été vu durant les présentations des collections printemps-été 2018. Alors, on se (re) met au madras ?

Fond de carreaux à large inspiration madras pour de grands couturiers, carrément madras pour Agnès.b qui propose une jupe short très short, un top, etc. Chez Fendi, ambiance tropicale et on retrouve aussi le madras tel qu’on le connaît : pimpant, coloré, vif, gai. Le madras prend un coup de jeune (sacré lifting) et de modernité.Le madras fait encore parler de lui, se porte encore, ou à nouveau, même si le wax lui a pris une sacrée part du gâteau.

Que doit-on en penser ? Une battle wax/madras en vue ?

Sans doute pas, mais peut-être verra-t-on un peu plus le madras. Le wax a conquis pas mal de fashionistas, tout comme le madras en des temps plus lointains. Le gâteau est énorme, il y en aura pour tout le monde et pour tous les goûts.
On dirait juste qu’un petit vent de renouveau souffle sur ces jolis carreaux. Les Alizés le pousseraient-il encore vers de nouvelles destinations mode ?
Depuis un certain temps le madras s’utilisait pour les tenues traditionnelles (normal), pour les costumes de carnaval (pourquoi pas), sur les tables (nappes pratiques et colorées), en tablier pour les écoliers-ères. Nos aînées le portaient aussi, et continuent d’ailleurs, leurs robes amples aux épaules dégagées sont parfaites, adaptées à leur style de vie.
Sans doute a-t-il été délaissé (pas par tout le monde) pour cause de « déjà vu », « trop vu » ou carrément devenu ringard, dépassé ?
Eh bien ! Désormais et parce que les designers ont (souvent) bon goût on pourra le choisir pour le porter autrement. Qu’on se rassure, certains de nos créateurs locaux n’ont jamais cessé de l’utiliser pour leurs créations. C’est ça la mode, ça vient, ça s’en va et ça revient, ça peut rester aussi 😉

*Pour la petite histoire : on dit le tissu madras originaire de la ville de Madras (l’actuelle Chennai, capitale de la province du Tamil Nadu au sud-est de l’Inde), d’autres recherches le localisent plus généralement dans cette région.

INFO PLUS
« Madrastique » : événement mode à Montserrat, qui met à l’honneur le Madras. Il a eu lieu en 2017 et devrait se reproduire. A suivre ou à pister sur : https://discovermni.com/2017/04/02/a-fashion-explosion-of-montserrats-madras/

 

(images: modèle Anicette par Agnès b., Défilé Agnès b., Défilé Fendi, COTELAC Blue Hawai)

« Pour » ou « Contre » la ballerine ?

@pinterest

????????‍♀️????????‍♀️Je commence par dire que si vous cherchez bien il y a une page facebook intitulée????????‍♀️????????‍♀️

« Journée internationale contre la ballerine »

(avec plus de 100 000 participants)

Voilà ça c’est dit et cela pose le décor consistant à un environnement peu propice à la survie de la ballerine…

????‍♀️????‍♀️Pour la petite histoire, la ballerine vient du chausson des danseurs, créé en 1932 par l’australien Jacob Bloch.????‍♀️????‍♀️

Par la suite, Rose Repetto, fondatrice de la célèbre marque de souliers, décide de créer des ballerines améliorées pour faciliter la danse de son fils. Pour cela, elle invente une nouvelle technique, « le cousu retourné », qui consiste à coudre la semelle du chausson sur l’envers.

En 1956, c’est Brigitte Bardot qui demande à la maison Repetto de détourner l’usage premier des ballerines pour en confectionner des chaussures légères et confortables, portables à la ville.

 

Trop simples, trop plates, trop rangées, les ballerines seraient aujourd’hui dépassées au point d’être devenues un véritable fashion faux pas. Mais SURTOUT elle a été usée et abusée dans trop de situations et looks impossibles par son côté « j’enfile sans faire attention »(on évite au maximum le modèle noir basique)…Aujourd’hui elle nous sort par les yeux comme les charentaises de notre grand père, les sabots de bois de la fermière d’antan…ou PIRE !!! Les Ugg (sujet taboooooooooouuuuuu….)

ça passe :????????

   ()

ça casse :????????

   ()

Pourtant, la ballerine a encore de belles années devant elle ! Même si la ballerine ronde et classique a du mal à revenir sur le devant de la scène, la néo-ballerine s’impose sur les podiums.

Pour les rendre encore plus stylées, les créateurs n’hésitent pas à détourner les modèles classiques.

Comme pour les Rockstud Rolling de Valentino, qui suffisent à vous donner du style. Apparues en 2010, ces ballerines cloutées sont aujourd’hui un indispensable mode ! Portées avec un « vieux » Levi’s et une blouse en dentelle, elles cassent le côté romantique et offrent un peu de pep’s à la tenue. Elles se marient aussi très bien avec une jupe ou une robe midi.

L’hiver dernier, les ballerines lacées d’Aquazurra…raz-de-marée stylistique. Elles se sont vues aux pieds de toutes les modeuses.

Dans un style plus décalé, on adore les ballerines à brides dépareillées de chez Miu Miu. Véritable objet du désir, elles en imposent et stylisent un look à elles toutes seules.????

Sans oublier les babies, ces petites ballerines à talons font déjà partie de nos indispensables qui se portent avec tout, restent confortables avec leur petit talon rond ou carré qui fait toute la différence : il élance la silhouette, donne une belle cambrure et s’associe aussi bien avec un jean droit, une jupe midi ou une petite robe légère.

Bon ok, si je défend autant les ballerines c’est qu’il faut avouer qu’elles sont confortables et pratiques.

COMMENT ON LES PORTE ?

Avec une robe courte et un jean mom, jupe midi + débardeur…ou encore jean droit t-shirt loose, vous êtes certaine de ne pas vous tromper.

Le modèle lacé ira très bien avec un jean slim roulotté (méfiance tout de même car beaucoup, beaucoup vu et revu), un pantalon à pinces ou une mini-jupe, short taille haute, blouse ample…

Pour les plus audacieuses, on peut aussi les porter avec une pièce plus forte, comme un pantalon large ou une jupe-culotte 7/8e.

Cet été, on craque pour l’association  avec un panier en osier ultra tendance et des accessoires volumineux ( boucles d’oreilles, bracelets, chapeau…). De quoi se faire plaisir !

See Ya!????

Enalor (@enalorsmood)

MANCHESTER GIRLS TRIP

Aujourd’hui abordons un theme un peu plus léger, a savoir, L’entrée en vigueur du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu

… Olala je déconne, on peut plus rigoler ici c’est nul, je me désabonne!

Non en vrai je vais juste vous raconter mon week-end entre copines parce que why not quoi!

Comme je suis une femme bénie des Dieux nespa, ben j’ai des amies géniales. Des amies qui ont décidé de débarquer à Manchester juste pour ME voir! Manman je me suis sentie comme Beyoncé à Coachella ! #eclatetabulle

Moi j’étais ultra och tu vois, parce que je sortais de 18 jours d’exploitation à mon hôtel, à base de 7 jours de taff d’affilé soit 56h par semaines … deux semaines de suite, me rappelant les heures les plus sombres de notre Histoire… D’ailleurs si quelqu’un a le numero de Cambusy je suis preneuse. #nolife #ousontlesyndicats #margaretmatuer.

Et qu’est ce qui se passe quand on mets 3 moun kouyon sur une même aire géographique ? Ben ca part en sucette si je puis me permettre, like, litteraly! (notons ici que la blogueuse se prend pour une anglaise eclatons une deuxieme fois cette bulle).

Voici donc le récit de mon weekend caca boudin avec Josette et Lucienne*.

 

VENDREDI 25 Mai

J’avais tout prévu pour le vendredi : petit resto sympa suivi d’un after au 20 Stories, le rooftop le plus style de la ville. SAUF QUE 20 stories était, COMME CHAQUE WEEKEND « fully booked » et que l’avion de Lucienne et Josette atterrissait a 21h. Bon heuu je suis bien gentille mais man pa an surhomme. Après deux semaines particulièrement harassantes, ben j’arrivais littéralement plus à marcher, ni à garder les yeux ouverts… bien vouloir pas pouvoir. Et ça tombait très bien les meufs étaient aussi dead que moi … Donc bonne nuit à demain! #teammamies

 

SAMEDI 26 Mai

Samedi matin 11h je débarque au Radisson Blu Edwardian Hotel.

Non alors là, PAUSE les gars. Accordons nous 2 minutes afin de parler de cet hôtel.

Le Radisson Blu est un hotel 5 étoiles… really nigga ? Adan 5 étoiles tala dwet té ni au moins 4 étoiles filantes parce que, clairement, « on est désolé mais ce n’était pas bon » (comme Ludivine Retory et Jeremy Edouard dans Martinique Queens lors de la compétition de talents).

Josette a réservé une sorte de premium room avec terrasse, terrasse qui ne donnait pas sur une magnifique vue panoramique de la ville, mais, sur un mur. Même les foyers Sonacotra avaient de plus belles terrasses.

Quand à la déco, pa meme palé le truc était aussi vintage qu’un épisode de Santa Barbara… d’un mauvais goût. La piscine fermait à 20h steplè… Et puis mon lit, Jésus de Nazareth, cabann lan te ka semb an cabann RSMA…  Non l’hôtel est resté bloqué au 20e siècle, faudrait qu’il embarque dans la Delaurean c’est plus possible.

    

Malparler l’hôtel c’est bien, manger c’est mieux: Direction le Moose Coffee pour un brunch typiquement Americain (ben oui personne n’est parfait). La rédaction des morfales recommande le Lone Star Moose et le Bronx Brunch en gros: zé saucisses pom tè quoi accompagnés d’un milk shake oreo …. humm le bon goût du diabète!

Honnêtement je vais pas mythonner, on est devenu des petites natures, après avoir bouffé comme des porcasses on s’est juste posée dans la chambre pour prendre des milans et mal-parler les gens autour d’une bouteille de Moët en écoutant Djadja de Aya Nakamura (la base). Josette en a bien sur profité pour nous montrer ses progrès en twerk sous nos yeux ébahis.

Next stop: Iberica! Nous avons opté pour un petit restaurant espagnol parce que c’est ultra bon et … parce que Josette la fait’ chier mange presque rien, donc l’option tapas était parfaite. Et bien sûr parce qu’on mangeait on s’est sentie grosse alors on a parlé régime et Lucienne m’a expliqué l’importance de la mastication dans le processus de perte de poids! e=m6

Et pour finir la soirée en beauté on est allée en boîte et on a dansé jusqu’à 6h du mat…  Non je déconne, avant minuit on était en pyjama, Lucienne s’est endormie comme un gros caca jusqu’à ce que notre débat sur l’avenir de la Martinique l’a réveille et visiblement i te ni yon de bagay a di!  

 

DIMANCHE 27 Mai

Josette souffrant d’une maladie chronique, a été KO toute la nuit et toute la matinée. Autant vous dire que nous on était très inquiètes puisque nou pa médecins. Ne pouvant se sortir du lit, il lui était impossible de quitter la chambre, et bien sûr comme cet hôtel craint, c’était tout un bap manman pour obtenir un « late check out » jusqu’à 14h.

quand t’es dans le mal et que ta pote en profite pour faire des photos

Bon au final l’envie de nous faire chier était plus forte, alors Josette a rassemblé ses dernières forces pour faire ce qu’elle fait le mieux: DU SHOPPING… D’ailleurs je sais pas si vous savez mais, dépenser des sommes exorbitantes aurait des vertus thérapeutiques. Et sans aucun doute, le moment le plus important du weekend est notre passage chez Harvey Nichols (=Nocibé) parce qu’il y avait le BODY LAVA de FENTY BEAUTY! Le truc est en rupture de stock à peu près partout dans le monde, sauf … A Manchester!

Manman adan an fay minute cout’ téléphone en direction de Paris za passé gro réunion « est-ce que tu veux que je te prenne le Body Lava? c’est 50€ tu me rembourses, ok ok j’en prends deux ».

Ca a refait notre weekend, ça et les ti sexy chocolat noir 70% de cacao qu’on a croisé …. #toutpourvous

Bon c’est tout honnêtement on a pas eu le temps de faire vla les trucs de ouf, mais on s’en fout parce les attractions touristiques, c’est nous!

Ouais les weekends entre copines quand on a 28 ans et qu’on bosse, ben c’est très calme. Mais vous savez quoi moi ça me va. J’ai pu profiter de mes potes et that’s priceless les gars! Voir Josette faire son célèbre Bootyshake et Lucienne parler de la lutte anti-gaspillage alimentaire ça pa ni prix!

Alors merci Lucienne et Josette d’avoir fait tous ces efforts pour moi et je terminerai en vous disant: « libéré Marny » (non ça ne veut rien dire, mais c’est la phrase préférée de Josette)!

*par respect pour ces pauvres jeunes femmes, et considérant qu’elles se sont assez ridiculisées comme ca, nous avons décidé de modifier leur prénom.

Les chaussures stars de la saison

Ouch…

Les « chaussures de l’été » risquent de nous faire vider notre compte en banque.???? Les couleurs, les modèles, les imprimés…l’embarras du choix quoi…

Et comme chaque saison, il y a les incontournables. Et puis, il y a les nouvelles tendances…avec lesquelles ça passe ou ça casse…par exemple la mule qui revient en force cette saison avec une version à plat ou à talon.

Pour les « nouveautés », c’est la corde qui va tirer son épingle du jeu et récolter tous les lauriers. On la retrouve sur les compensées, les sandales plates ou a talons et les espadrilles.

(Aldo, Asos , Zara)

A retenir que les sandales seront à lacer ou pas, que les sandales à talons se porteront avec une seule bride et que l’esprit vintage viendra, une fois de plus, souffler sur les collections chaussures printemps-été avec des couleurs 70’s et des talons carrés, des nœuds en veux-tu en voilà…????????

   (zara)

Les moins téméraires pourront compter sur les indispensables mode : les indétronables baskets, les nu-pieds confortables ou encore les claquettes et les spartiates.

Les couleurs d’été sont douces. Aux pieds, vous porterez de véritables gourmandises : des chaussures barba papa, des baskets bonbon et des ballerines nuage. Le pastel est le roi de la saison.????????

Les tendances mode printemps-été 2018 sont claires : vous verrez la vie en rose de la tête aux pieds. Et du coup, vos chaussures n’échapperont pas à l’affaire.

(Aldo, Asos, Steve Madden, Ted Baker)

   (asos.com)

Les imprimés s’en donnent à cœur joie. Et nous, on aime ça parce que ça vient égayer nos jeans printemps-été. Les fleurs sont partout. Après avoir squatter nos robes et nos blouses d’été, elles viendront se poser délicatement sur nos chaussures…????????????????????????

(Aldo, Asos, Zara)

Autres tendances mode  qui s’imposent dans les accessoires mode : l’imprimé ethnique et le denim. Le retour aussi des Kitten Heels…

A noter : la transparence se décline sur des escarpins, des mules ou des sandales à talons. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, elles s’adaptent à tous les styles; Donneront un coup de pep’s à une tenue casual comme une combinaison en jersey, ou accentueront l’effet futuriste d’une tenue minimaliste ou graphique. Par contre il ne faut pas se tromper : d’abord faire attention à les choisir pas trop serrées afin que le plastique ne coupe pas la circulation au niveau des pieds. Sinon, vous risquez de gâcher votre look avec des rougeurs ou des gonflements désagréables et disgracieux. Côté design, vous pouvez jouer la carte du total look avec des chaussures dotées d’une semelle nude, des talons en plexi transparent et un habillage en plastique.

(Zara, Missguided, Public DEsire, Le Coq Sportif))

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Côté détail original on note l’apparition ici de la socquette apparente, a motif, brodée, bijou ou transparente, déjà bien adoptée en Asie elle se fait une place dans nos dressing et nos souliers…

      (pinterest)

????????Avec pour moi le must dans cette discipline (déjà évoquée dans un article précédemment la créatrice LIRIKA MATOSHI dont on retrouve les créations sur ETSY)????????

Et puis, il y a les rayures, du rose, du jaune ou du bleu. Elles s’invitent sur les semelles de vos chaussures d’été. Mais perso j’en suis un peu moins fan donc je vous laisse découvrir par vous même.

Surtout que parfois en une seule chaussure plusieurs d’entre elles se retrouvent comme dans ce modèle de chez Zara à la fois denim, rayé, compensé, corde et à nouer

        zara- 49,95€

☀️Maintenant que vous êtes complètement informées des tendances chaussures à venir, vous n’avez plus qu’à repérer les modèles de votre été !☀️

See Ya !????

Enalor (@enalorsmood)