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Nespresso feat Marcel Ravin ou La valse des saveurs

Un diner d’exception à eu lieu au Simon Hôtel. Dans nos assiette, un superbe mariage ce soir là : celui de Nespresso et du savoir faire du chef étoilé Marcel Ravin.

Marcel Ravin est le Chef étoilé Martiniquais qui fait parler de lui à travers sa cuisine.

C’est sur le Rocher monégasque, au Blue Bay de Monte Carlo qu’il officie depuis quelques années. Figurez vous, que dans ce beau tourbillon de réussite, il ne nous a pas oublié ! Je dirai même plus, il célèbre ses origines à travers sa cuisine qui se laisse séduire par les influences créoles.

Un diner sous le signe de la bonne humeur, de la découverte et du bon goût. Parfait pour mon anniversaire. Ce soir là, c’est avec les papilles en joie que j’ai soufflé mes bougies ! J’ai vraiment tout aimé.

Merci Marcel, merci Nespresso et Media Relais pour cet excellent moment.

Merci à Steavy M.A. pour ces superbes photos. Et enfin, merci aux autres convives pour leur dynamisme.

Il y a du milan dans l’air, moi je vous le dis ! XD

Poudre de Café du Brésil con lecce de papaye à l’atoumaux

L’oeuf de Monte Carlo – Manioc/truffle/maracudja/pistache et café du Guatemala grillés

Ecrevisse du Carbet en délicat ragout au rhum agricole d’ici en préparation

Nous avons l’honneur d’avoir la présentation des plats par Marcel Ravin lui même.

Noisette de boeuf “élevage local” sauce Café Longo réglisse

Lacté de Canne à sucre et citron vert

Vacherin corossol et Groseille Péyi

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ENTR’ELLES A LA MARTINIQUE


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Après avoir monté plusieurs « Ladies Break » qui ont remporté un véritable succès, Karline Guillaume a su combler les femmes de Martinique avec le salon « Entr’Elles ». Un salon  ( co organisé par l’agence  Kfée’in Et Madiana) à destination des femmes; salon qui se veut complet : beauté, mode, bien-être, santé, mais aussi tout ce qui touche à la vie de famille, aux droits des femmes, au choix de carrière professionnelle, aux loisirs et à la gastronomie.

Contrairement aux Ladies Break, les hommes et les enfants étaient les bienvenus et ont pu tout autant apprécier les différentes conférences, les divers ateliers, shows mode et coiffure…

@staragora

Hapsatou Sy, animatrice de télévision française et entrepreneuse, dont on connait les fabuleux produits cosmétiques et capillaires était la marraine de cette première édition.

Notre blogueuse Cocozabrico s’y est rendue et voilà ses coups de cœurs :

Mode 

   

   

Beauté       Cheveux

Bien-être 

Gastronomie

Santé 

 Sport 

Femme active, femme sportive, femme fashion, femme bosseuse, mère de famille…, Karline Guillaume et son équipe vous donne rendez-vous l’année prochaine pour la deuxième édition du salon Entr’elles toujours en plein cœur de ce mois de célébration des droits de la femme qu’est le mois de mars.

Quelques images en +

Pour ne rien rater et en voir davantage , rendez-vous sur Facebook : Salon Entr’elles ou sur Instagram : Salon Entr’elles.

Et bien sur, n’oubliez pas votre journée bien-être et shopping : Ladies Break, le 6 mai au Domaine de L’oasis.

Plus d’infos en cliquant ici.

@Bientôt ☺️

Jeune et moins jeune, les réseaux sociaux en ont fait 2 stars…

Connaissez-vous Baddie Winkle ?

Cette femme de 89 ans est suivie par plus de 3 millions de personnes.
Influenceuse et fashionista, elle a été initiée aux réseaux sociaux et en particulier Instagram, par son petit fils à l’âge de 85 ans. Elle y partage ses looks colorés, funs et décalés, très appréciés des instagrameurs. Elle prône la légalisation de la Marijuana à des fins thérapeutiques.

Sur cette photo capturée depuis son Instagram, elle porte des vêtements de la marque Fashion Nova.

Sa phrase d’accroche « don’t touch me in my Fashion Nova ». ????

Ce n’est rien à côté de cette phrase qui apparaît dans sa description Instagram « Stealing Your Man Since 1928 » ????

Bad ????????ou pas ???????? cette mamie branchée ?

D’un autre côté on a Danielle Bregoli, qui elle, s’est fait remarquer dans une émission télé pour son insolence et son comportement alarmant (fugue, vol de voiture…). Elle a d’abord été connue dans un programme télé dont l’équivalent serait « Pascal le grand frère » en France. Puis c’est sur le plateau de « Dr Phil », semblable à l’émission « Ça va se savoir » (pour ceux qui s’en rappellent) qu’elle a vraiment « buzzé » en insultant le public et en rajoutant cette fameuse phrase « catch me outside, how about dat?  » (comprenez : « attendez moi dehors, qu’en pensez-vous ? »), soit une invitation à la bagarre…Suite à ces quelques minutes sur le plateau, cette ado de 13 ans (à ce moment là), s’est vue propulsée au rang de star. Les 2 phrases qu’elle a prononcées ont même été « samplées » pour en faire une chanson.

Aujourd’hui, cette jeune fille compte plus de 12 millions d’abonnés sur son compte Instagram (plus que certains « vrais » artistes de sa génération ! #choquant). Son titre « Hi Bich » cartonne (elle a même annoncé une tournée aux Etats-Unis, Paris, Londres…). Des émojis ont été crées à son effigie, elle est sollicitée par de nombreuses marques pour des collaborations et serait déjà millionnaire!

N’est-ce pas fou?

Les réseaux sociaux peuvent lancer des carrières. On a pu le voir avec beaucoup de personnalités publiques ou d’artistes, qui ont débuté en partageant leur savoir, en postant des vidéos, photos sur Instagram, facebook, YouTube…

Autant où dans le cas de Baddie Winkle, je trouve ça « encore » fun (bien que je ne verrais pas ma mamie à 89 ans porter certaine de ses tenues), mais dans celui de Danielle, je pense qu’elle n’a pas idée d’où ça peut la mener. Quand tu es connue pour un « badbuzz » lié à ton comportement, je pense que tu es amené à pousser le « truc » un peu plus loin, à chaque fois pour avoir une attention constante sur ta personne. Et à cet âge, j’ai bien peur que s’il n’y a pas de prise de conscience, ou même d’encadrement psychologique, cette jeune fille dépérisse sur le long terme.

Qu’en pensez-vous ?

Je vous embrasse

Sass????

Yohan Berger, styliste martiniquaise au parcours atypique…

Suite à ma rencontre avec Ketty COTREBIL (voir ITW ici), et après avoir navigué sur son site KAMERI SHOP, je suis tombée sur ce pantalon que j’ai trouvé très original et j’ai eu envie de m’intéresser d’un peu plus près à sa créatrice : Yohann Berger.

Aujourd’hui, vous en saurez un peu plus sur sa marque WAIBBI, son parcours, et ses ambitions.

 

Qui se cache derrière Waibbi collection. ?

Je suis une martiniquaise de 40 ans, informaticienne de formation qui a une passion : la création (en tout genre).

Je ne couds pas depuis toute petite, mais j’ai toujours admiré ma grande tante qui elle cousait et ma marraine qui disposait au sol des tissus pour réaliser sa tenue de soirée, qu’elle portait le soir même!

Il est vrai que toute jeune, je créais des choses à très petite échelle comme des bracelets brésiliens en fil (bracelets que j’ai d’ailleurs intégré dans quelques pièces de ma dernière collection), des chouchous pour les cheveux quand c’était à la mode, des napperons au crochet, et puis à 20 ans je me rappelle avoir réalisé un soutien au crochet que j’ai encore aujourd’hui. J’ai aussi fais des chapeaux pour le carnaval, et je me rends compte que c’est  surtout pendant cette période que je pouvais réellement exprimer ma créativité, en découpant, nouant et perçant des tissus mais jusqu’à 2016 je n’avais jamais imaginé réaliser des vêtements comme je le fais aujourd’hui.

« Cette tenue représente le mix de matières et d’imprimés façon WAIBBI : Poncho Mexicain/ Wax / Broderie Anglaise »

 

Comment t’es venue l’envie de créer?

Apres une période tres difficile, j’ai décidé de lacher prise, de me poser et de me questionner. Je me suis demandée ce que j’aimerais faire qui me passionne, qu’est-ce que j’ai au fond de moi qui me permettrait de m’exprimer, je ressentais le besoin de partager un savoir faire mais aussi je savais qu’au fond de moi il y avait un potentiel! Je ne voulais pas forcément vendre, je voulais surtout m’exprimer et créer quelque chose pour me détendre. Pour répondre à toutes mes questions je me suis souvenue qu’ en 2006 en revenant en Martinique après mes études, je m’étais achetée, une machine à coudre, j’avais pris des cours de couture à cette période mais sans vraiment en être convaincue. Depuis cette période je voulais déjà me mettre à la création.

 

J’ai pris une quinzaine de jour pour écouter « VRAIMENT » mon coeur et mettre tous ce que je voulais faire sur papiers. En regroupant toutes les réponses, tout amenait à cette unique conclusion : « JE veux créer une marque de vêtements à mon image selon mon style ». Aujourd’hui c’est avec ma machine de 2006 que je réalise mes pièces ????

@Instagram : Waibbi Collection

Quelles sont les matières et imprimés que tu aimes le plus travailler ?

Je n’ai pas vraiment de matières préférées, néanmoins j’adore voir et manipuler tout ce qui est très coloré et flashy donc forcément on retrouvera le wax pour ses couleurs, le poncho mexicain que j’ai associé à d’autres tissus dans certaines pièces que j’ai créé, certains madras, les bracelets brésiliens que j’ai cousu sur des vêtements, la broderie anglaise sans doublure pour laisser paraître la peau à certains endroits. J’adore les formes géométriques sur les tissus pour jouer avec les symétries et justement créer l’asymétrie: c’est ma marque de fabrique depuis mes débuts.

Résultats de recherche d'images pour « waibbi »

Que signifie waibbi ?

Je me prénomme Yohann Berger, ma marque résulte de la prononciation de mes initiales Y et B en anglais soit : [waï] et [bi] ????

Aucun texte alternatif disponible.
@Facebook : Waibbi

Où puises-tu ton inspiration ? 

Mon inspiration vient de la rue, des couleurs du quotidien, des couleurs de notre culture et de celles des autres pays. Nous sommes en Martinique au carrefour de beaucoup de cultures, du métissage, de la multi-ethnicité,  on retrouve tout cela dans mes créations.

 

S’agit-il de ton métier ou de ta passion ? 

J’ai fait des études scientifiques, afin d’être architecte ou prof de math. Le monde de la Mode n’était pas du tout dans mes ambitions, ni dans ma tête au lycée. Quoiqu’en 1ère, je me suis présentée à l’élection de la Reine de mon Lycée et j’ai d’ailleurs gagné lol, mais une fois la période carnaval terminée, il fallait se concentrer sur les études! Et puis Papa répétait tout le temps (oui TOUT LE TEMPS) qu’il fallait trouvé un travail pour être indépendant, le reste viendrait avec un salaire! Il fallait donc étudier, pas de place pour les paillettes et la mode. … jusqu’à ce qu’un jour je décide de m’y mettre, d’écouter « vraiment » MON coeur !

 

Quelle vision as-tu de (ton métier) cette passion et quels en sont les avantages et inconvénients ?

J’admire toutes celles qui en Martinique arrivent à vivre de ce métier de styliste. Mais je pense qu’il ne faut pas se cantonner qu’à la Martinique, il faut voir plus loin et voyager pour se faire connaitre. Il faut donc des sponsors, des aides financières, créer des événements en local en espérant qu’ils puissent financer les matières premières (dont l’importation n’est pas très évidente et surtout très élevée) et la main d’oeuvre. Tout ceci rend difficile le métier pour quelqu’un qui débute comme moi.

D’un autre coté, avec cette passion je fais des salons et des expos et j’adore pouvoir discuter avec les clients de mon inspiration et des idées qui m’amènent à réaliser mes pièces. J’ai par exemple fait une expo-vente à la maison d’artiste un Oeuf et j’ai réalisé spécialement pour l’occasion des pièces contenant la couleur jaune d’oeuf pour faire le lien avec le lieu qui m’accueillait. La cliente a bien entendu été informé de toute la genèse de son ensemble et est repartie enchantée de l’apprendre! L’avantage de cette passion pour moi, est là!

L’image contient peut-être : personnes debout
@Facebook : Waibbi

Quels sont tes projets à venir? 

A long terme j’aimerais que mes créations soient portées lors d’un défilé en Guadeloupe afin de les faire connaitre, mais aussi dans la caraïbe anglophone, et pourquoi pas au Canada ou aux Etats-Unis (soyons fous!)

 

@Facebook : Waibbi

Quels sont tes créateurs phares?

En fait, je suis inspirée par l’Art, plus précisément par la peinture, j’adore tout ce qui est coloré comme je l’ai dit. En ce moment, je suis beaucoup JonOne et DoudouStyle qui sont des graffeurs que j’ai pu rencontrer et avec qui j’ai pu discuter.

Sinon dans le monde de la mode j’aime beaucoup la créatrice haïtienne Stella Jean qui associe des matières et des couleurs comme j’adore le faire!

 

Yohan est une femme simple et pétillante à la fois. Les petits échanges que j’ai eu avec elle me permettent de penser et d’espérer qu’elle ira loin car elle est vraiment passionnée et fait les choses avec le cœur. Son destin l’a juste rattrapé malgré sa profession.

« Le temps n’est pas maître de notre destin, il n’en est que le comptable » – Grégoire Lacroix

Vous pouvez la suivre sur Youtube, sur Facebook  et sur Instagram.

 

Je vous embrasse.

Sass????

Une expérience olfactive unique!

Jeudi dernier, j’ai pu assister à l’atelier créatif  » MON PARFUMEUR » By Ysnay.

Il avait lieu au Lamentin, dans une magnifique maison appelée « Villa Baobab ». A la fois, simple et authentique, je m’y suis tout de suite sentie à l’aise.

 

 

J’ai été accueillie par Valérie Venite, la propriétaire, qui a été d’une immense gentillesse et m’a proposé un petit déjeuner que j’ai savouré avec plaisir car je n’avais pas mangé le matin #pasbiendutoutjesais

J’ai aimé le fait de pouvoir créer mon parfum 100% naturel, celui que je serai la seule à porter et qui me correspondrait en tout point.

Dans un premier temps,  nous avons fait un focus sur le langage de la parfumerie, la composition d’un parfum , les différents types de parfum, les techniques, matériaux et matières premières (huiles essentielles, concrètes et autres absolus) utilisés pour réaliser un parfum.

Ensuite, nous avons abordé le sujet de la pyramide olfactive :

  • La note de tête, la première que l’on sent et qui s’évapore relativement vite,
  • La note de cœur qui se révèle lorsque la note de tête s’évapore et donne son identité au parfum,
  • La note de fond qui porte les autres et sert de fixateur.

Puis, nous avons découvert les différentes odeurs : aromatiques, hespéridées, vertes ou fougères, fruitées, gourmandes, épicées, florales, musquées,  boisées, orientales ou ambrées, poudrées.

Nous avons été amené à sentir plusieurs d’entres elles et avons partagé ce qu’elles nous évoquaient…Je peux vous assurez que c’était troublant! Ca allait du produit ménager, au souvenir d’enfance, un lieu, une personne…

Thierry Bernard, parfumeur et surtout expert en parfumerie naturelle, était notre instructeur. Ses parfums « Parfumeurs du Monde » sont totalement envoûtants! (je garde précieusement les échantillons qu’il nous a donné en cadeau).

Place à la pratique!

Premièrement : Elaboration d’un accord

Nous avons bien évidement commencé par la note de tête (agrumes, notes végétales, aromatiques, fraîches).

Dans notre cas, il s’agissait d’un accord agrume.

Nous devions prendre 3 notes : Limette (pétillant), Pamplemousse (acide) et Begamote (doux). Prélever du liquide à l’aide d’une pipette et reverser goutte par goutte (en suivant les quantités imposées) dans une petite bouteille vide.

A cela, nous devions ajouter deux huiles essentielles de notre choix toujours dans la famille des agrumes. J’ai choisi la Verveine et la Cardamome. J’ai commencé par mettre 5 gouttes de chaque et ai ajusté jusqu’à ce que l’odeur me plaise.

Ensuite, nous avions constitué l’accord floral (ou note de cœur pouvant aussi être fruitée ou épicée) à base de Rose, Jasmin, Galbanium, et j’ai rajouté du Néroli et de la Lavande toujours en ajustant pour obtenir quelque chose à mon goût.

Le troisième accord , l’accord ambré (ou note de fond pouvant également être vanillée, boisée, musquée) contenait les bases suivantes : Labdanum, Benjoin, et Vanille et je l’ai personnalisé à l’aide de Fève de Tonka et de Ylang Extra.

Enfin, une fois que les 3 accords étaient parfaits, nous avons pris une autre bouteille pour pouvoir formuler notre parfum final.

Après avoir senti mes différents accords, Thierry m’a conseillé un dosage proportionnel pour mon parfum.

Après 3 essais, j’ai enfin finis par trouver la parfaite combinaison de mes accords #yeeeeessssssssssss!

J’ai passé un excellent moment en compagnie des personnes présentes. Nous étions très concentrées, inspirées et avons toutes réalisé un parfum à notre image. Il y en avait de très doux et d’autres très marqués, plein de caractère!

L’atelier se déroulait sur plusieurs jours, je n’ai donc pas pu expérimenter toutes les ficelles de la création d’un parfum, mais tout ce que j’ai découvert m’a vraiment donné envie d’en apprendre d’avantage, de faire plus attention aux parfums qui m’entourent et pourquoi pas, de pouvoir laisser parler ma créativité, mon imagination et réaliser mes compositions chez moi.

Je n’oublierai pas l’astuce de la menthe poivrée, huile essentielle qui apaise en cas de moment de stress par exemple…sans compter tous les autres conseils de Thierry, sa compagne et Valérie (Merci)

Après un petit thé bien parfumé comme je les aime, j’ai pu accéder au showroom Ysnay, et découvrir ses bougies parfumées en cire naturelle, ses portes-bougies fais mains tous plus originaux les uns que les autres.

Je n’ai qu’un mot à dire « MERCI » : pour l’accueil, pour ce moment unique alliant détente et partage.

Si vous aussi, êtes intéressés par ce type d’expérience, vous pouvez vous rendre sur la page Facebook Un Monde Intérieur , suivre le compte Instagram Ysnay Martinique ou accéder à leur site internet www.ysnay.com

Je vous embrasse.

Sass

CES MÉTIERS QUI SE FÉMINISENT…(FORMEO)

Il y a quelques jours,  avait lieu, à la Martinique, la 2ème édition du salon FORMEO, Formation des Métiers et de l’Orientation. Un rendez-vous gratuit et ouvert à tous au Stade Louis Achille. L’occasion pour moi de rencontrer et d’échanger avec des professionnels sur leur parcours.

Je peux vous dire que les choses ont bien évoluées, au regard du grand nombre d’exposants présents, et surtout de toutes les formations proposées en local.

Le salon était découpé en plusieurs Espaces et Pôles:

  • A – Espace Démonstrations et Echanges
  • B – Espace Vie Pratique Etudiante
  • C – Espace Orientation / ONISEP / Insertion
  • D – Espace International
  • E – Espace Etudier autrement
  • F – Espace Fonction publique

 

  • Pôle 1 : Santé/ Social
  • Pôle 2 : Environnement / Agriculture
  • Pôle 3 : Biologie / Biochimie / Biotechnologie
  • Pôle 4 : Métiers du Droit et de la Justice
  • Pôle 5 : Information et Communication
  • Pôle 6 : Economie, Gestion, Commerce, Transport, Logistique
  • Pôle 7 : Industriel
  • Pôle 8 : Bâtiments, Travaux Publics
  • Pôle 9 : Hôtellerie, Restauration, Tourisme, Sport
  • Pôle 10 Arts, Culture, Audiovisuel
  • Pôle 11 : Informatique et Métiers du Numérique
  • Pôle 12 : CPGE, Grandes Ecoles
  • Pôle 13 : Université
  • Pôle 14 : Sécurité Nationale

J’ai pu discuter avec des « Experts-Métiers » Femmes (voir live sur le Facebook de Créola ici), mais aussi des femmes et jeunes femmes qui exercent ou ont envie d’exercer des métiers qui se sont féminisés au fil des années et qui selon elles sont maintenant accessibles sans barrières aux femmes.

J’ai donc rencontré Leila, actuellement en BTS Développement Agriculture des Régions Chaudes.

Leila, apprentie (BTS Développement Agriculture des Régions Chaudes).Salon Formeo 2018

Publiée par créola sur Vendredi 23 février 2018

 

Sellaye Marie-Julie, Technicienne de laboratoire

Sellaye Marie-Julie, technicienne de laboratoire ?‍?Au Salon Formeo 2018

Publiée par créola sur Vendredi 23 février 2018

Mais aussi Mylène et Elsa,

 

Mylène (à gauche), Agent Hospitalier de profession, est également Brigadière Gendarme Réserviste. C’est un métier qui l’a toujours attiré! Elle a donc effectué une formation de 2 semaines à Redoute et vient en renfort des brigades depuis 1 an et demi.

Elsa (à droite), est actuellement Maréchale des Logis-Chef d’orléans au CRCS, Centre de Recrutement Concours et sélection. Elle a commencé en tant que gendarme adjoint-volontaire en 1999, puis a passé un concours pour être sous-officier et a par la suite évolué dans ce même domaine en occupant plusieurs posts. C’est un métier auquel elle n’avait jamais pensé et rêvait d’être Sage-Femme. Elle a été motivée à passer le concours, par des gendarmes qu’elle croisait tous les jours à l’ANPE, et après avoir réussi, c’est avec sa fille de 1 an qu’elle est partie en Métropole poursuivre cette belle aventure.

Toutes deux s’accordent à dire qu’elles ne ressentent pas de différence entre les hommes et les femmes dans leur fonction. Elles s’y plaisent, et mettent en avant la sécurité de l’emploi. Selon elles, ce métier requiert de la volonté, de l’envie, il faut être curieux et savoir se maitriser.

Christelle ROUS est Contrôleuse Principale des Douanes. Elle a d’abord été dans la branche surveillance pour lutter contre les grands trafics (stupéfiants, produits prohibés, tabac, alcool…) avant de devenir Cheffe d’unité. Elle avait alors 30 personnes sous sa responsabilité. Puis pour des raisons géographique, elle a intégré la branche commerciale. Aujourd’hui, elle exerce au service Navigation et est fière de son parcours.

Pour elle, il ne s’agit pas d’une administration misogyne et affirme que les métiers du domaine des douanes aussi diversifiés soient-ils, requièrent des femmes.

Pour évoluer dans ce domaine, il faut aimer le contact humain, être neutre (ne pas porter de jugement), être curieux…

 

Même si selon la loi, les femmes autant que les hommes sont en droit d’effectuer tous les métiers, vous savez tout comme moi que beaucoup de domaine étaient dis « masculins » et proscrits à la gente féminine. Il était donc important pour moi de pouvoir échanger avec des femmes en situation et de montrer que les temps changent. Malheureusement, il reste des domaines où c’est encore difficile de s’intégrer en tant que femme (métiers du bâtiment par exemple), mais je tends à penser que les moeurs évoluent et que petit à petit les femmes pourront exercer les métiers qui leur plaisent quelque soit le domaine, en étant respectées pour la qualité de leur travail.

Merci au Salon FORMEO de valoriser tous les métiers de manière aussi complète. Nos jeunes ont besoin de cet accompagnement pour espérer se sentir bien dans leur future fonction professionnelle.

Je vous embrasse.

Sass

AGENDA MARTINIQUE

6 rendez-vous à ne pas manquer !

ROSE-AIMÉE, UN DOULOUREUX DESTIN

La chorale Arpège, sur une idée originale de son chef de coeur Joëlle Fremcourt, présente sa toute dernière création, une pièce musicale inspirée du roman « Rêves amers » de Maryse Condé.

Sur une mise en scène de José Alpha, des musiques de Elysé Domergue et Axel Fremcourt-Guy, venez découvrir les péripéties de la pauvre Rose-Aimée, jeune haïtienne placée comme « restavek » à la ville et qui devra subir la méchanceté et le mépris de sa patronne.

Un drame musical chorégraphié par Steeve Louis-Joseph-Dogue et chanté par les solistes et choristes de la chorale Arpège. Une réflexion sur les thèmes ô combien d’actualité de l’immigration et de l’esclavage moderne.

Lundi 19 mars, à 18h30, au Couvent Saint Joseph de Cluny.       Tarif unique : 10 €. Places en vente au Couvent : 0596 70 09 99.

LE FESTIVAL PRIX DE COURT     

La 9e édition du festival débute aujourd’hui, mercredi 28 février et se poursuit jusqu’au samedi 3 mars. 25 courts-métrages -divisés en deux sélections- sont en compétition officielle et peuvent être vus sur grand écran dans vos cinémas en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane. (3 € la sélection).

Cette année, Ambroise Michel, acteur et réalisateur, préside le jury et c’est la Guyane qui accueillera les cérémonies d’ouverture et de clôture.

Plus d’infos sur les séances et les ateliers gratuits ouverts à tous sur : Festivalprixdecourt.com ou au 0596 72 15 15.

BILLES DE VERRE, ÉCLATS DE PLOMB 

Ce texte, écrit et mis en scène par Thérèse Bonnétat avec le Collectif 2 Poings et La Petite Fabrique, est un voyage poétique, musical et pictural autour de Frantz Fanon et Antonin Artaud.

Une performance artistique et sensorielle, celle de la rencontre, du chemin vers l’Autre, le récit du dialogue imaginaire entre le poète, dramaturge, auteur, Antonin Artaud et le médecin, psychiatre, homme de lettres, qui a travaillé toute sa vie sur la désaliénation des colonisés, Frantz Fanon.  L’occasion de mieux découvrir les deux hommes, leur œuvres, leur courage, réfléchir sur leur impact sur la vie sociale, littéraire, philosophique, artistique, et sur la maladie mentale et ses rapports à l’art…

Représentations pour les scolaires les 1er et 2 mars à 9h30, représentation tout public, samedi 3 mars à 19h30 au Théâtre Aimé Cesaire de Fort-de-France. Tarif : 15 et 10 €/ 6 € pour les scolaires.

MARTINIQUE SURF PRO 2018

Ils seront nombreux à s’affronter sur les vagues martiniquaises. 160 surfeurs…et surfeuses professionnels du monde entier sont attendus pour l’évènement !

Etape clé du calendrier mondial, la compétition internationale réunira les meilleurs surfeurs du monde, avec pour la première fois cette année, une épreuve féminine ! Un tournant majeur pour le Martinique Surf Pro qui propose donc deux compétitions : une masculine avec 110 hommes, et une féminine avec 50 femmes.

Organisé sous l’égide de la World Surf League (WSL), ligue internationale professionnelle de surf, le Martinique Surf Pro est la première étape caribéenne du circuit qualificatif mondial. Au programme : Village artisanal, défilés de mode sportswear et maillots de bain, plateau artistique en plein-air, performances d’artistes et de DJ locaux, “After surf” le soir après les épreuves, spectacles de danse bèlè, démonstrations de bwa flo 5“surf” ancestral de Martinique qui consiste à chevaucher les vagues sur un tronc d’arbre°, jeux et lots à gagner, ateliers, concours de “air show”…

4e édition à suivre du 17 au 24 mars prochain, à Basse-Pointe.

 

RENCONTRES CINEMAS MARTINIQUE

Evènement majeur du cinéma à Tropiques Atrium, les Rencontres Cinéma Martinique vous convient à l’exploration de cinémas multiples. L’occasion de découvrir une sélection de films caribéens et internationaux, des compétitions, des échanges avec les invités du festival …

13e édition des RCM, du 16 au 24 mars à Tropiques Atrium.

 

 

BONHEUR COULEUR DE SON

Artiste aux mille facettes, aux mille talents, « Mounia empoigne la toile comme elle empoigne la vie ». Elle nous dévoile ses dernières créations…

Exposition visible du 5 mars au 15 avril à la Galerie André Arsenec à Tropiques Atrium

LE SITE QUE TOUTES LES FEMMES DEVRAIENT CONNAÎTRE

@brokeandbeautiful

Comme tous les matins, je m’accorde un peu de temps sur l’une de mes plates-formes préférées, YouTube. Bien mieux que la télé, je sélectionne ce que je souhaite voir. Et souvent, c’est beaucoup de makeup, je dois l’avouer.

Ce matin, en regardant la chaîne de JJMakeuplife, je suis tombée sur ce qui est pour moi, la découverte de ce début d’année : le site comparateur de fond de teint. Alors je ne sais pas pour vous, mais je trouve ça super compliqué de trouver sa teinte concernant les fonds de teint. Chaque marque a ses propres références et sa propre colorimétrie. Ce qui ne facilite pas l’affaire.

©hello titoune

Et si en plus comme moi, vous avez l’habitude de changer de carnation (bronzage, froid, etc…), la tâche devient alors un véritable parcours du combattant. On se retrouve avec 2-3 teintes pour une même marque. Évidemment, il y a aussi celles qui décident qu’une teinte fera l’affaire peu importe les changements. Vous êtes les plus fortes mesdames!

Donc revenons à nos moutons, ou plutôt à nos teintes. Comme je le disais, en regardant sa vidéo, j’ai découvert le site : https://findation.com. Et là, la couleur fut ! Un site qui vous permet de trouver votre teinte, peu importe la marque. Oui, vous avez bien entendu !

Et c’est super simple. Vous entrez la teinte d’un fond de teint qui vous correspond parfaitement. Vous pouvez en entrer plusieurs (le résultat est meilleur avec plusieurs teintes) et ensuite, le site va trouver votre teinte correspondante dans toutes les autres marques. Ce truc est génial !

Alors si, comme moi, vous avez du mal, allez faire un tour sur ce site. En plus, c’est gratuit! Ne me remerciez pas, c’est de bon cœur. Allez, bon shopping !

Thia

Must have seasonal : la jupe plissée !

@femmeactuelle

Il y a encore quelques saisons, elle semblait complètement dépassée…Et pourtant, depuis quelques mois, ce modèle revient en force…Vive les plis et la longueur midi, la nouvelle jupe phare des modeuses se réinvente cette saison et c’est :

La jupe plissée soleil…  Elle a tout particulièrement les faveurs des créateurs. Derrière ce nom très estival se cache un modèle dont les plis droits et étroits au sommet s’élargissent sur la longueur comme des rayons. Depuis l’année dernière, elle revient en force dans nos dressings. Fini le look trop sage voire même mémérisant, la jupe plissée est au top de la tendance et se décline de mille et une façons pour flatter notre silhouette.  Portée longue ou courte, elle est idéale pour marquer la taille et cacher des hanches larges. Véritable caméléon, elle s’associe facilement à toutes sortes d’accessoires et se décline dans tous les styles, du plus romantique au plus rock’n’roll.

Pour la petite histoire…

On attribue ce plissé au couturier Jean Patou qui conçoit ainsi la première jupe d’une joueuse de tennis, Suzanne Lenglen, qui la porte à Wimbledon en 1921. Coupée sur les genoux quand le jupon long est encore d’actualité sur les courts, la mini plissée de Patou fait scandale.

En 1947, le plissé soleil orne la premier défilé de Christian Dior. Inspirée des courbes des fleurs, sa collection Corolle connaît un succès immédiat. Et le plissé soleil, ses lettres de noblesse et de bourgeoisie. Une image sérieuse, « madame », qui lui collera longtemps à la peau, comme les uniformes des jeunes filles de bonne famille qu’il habille.

Mais, sous l’impulsion d’un génie japonais, le plissé poussiéreux, va prendre sa revanche. Il s’immisce dans les arcanes de la mode pointue sous l’aiguille d’Issey Miyake qui en fait la signature de sa collection « Pleats Please » en 1993, restée aujourd’hui une référence.

Dans la foulée de la vague rétro initiée par des séries télévisées comme Mad Men, on voyait le sage plissé soleil revenir gentiment mais sûrement sur les addicts des fringues vintage. Mais c’est le défilé Printemps/Été 2016 du surdoué Alessandro Michele à la tête de Gucci qui l’ancre définitivement dans la saison.

 

Et depuis on l’a vue en version cuir, tulle, lamée ou brillante….

 

Comment la porter ?

On l’adopte avec des basiques sans prétention comme des t-shirts blancs ou à message et quand les températures baissent, on la porte avec un gros pull dont on laisse les mailles recouvrir la taille ou bien qu’on fait blouser un peu dans la jupe au niveau de la ceinture.

Côté accords de couleurs, lorsque la jupe est colorée on adopte un ton neutre en top et inversement.  Si vous avez craqué pour un modèle métallisé, calmez le jeu en journée avec un sweat plus sport par exemple.

Pour les chaussures, c’est en baskets à la cool en journée et en babies ou en escarpins à talons le soir que vous ferez virevolter les plis de votre jupe du matin jusqu’au bout de la nuit !

 

       Asos

En attendant cette saison c’est la version imprimée ou rayée qui s’impose…il suffit de voir les vitrines et looks mis en avant dans nos enseignes préférées :

Pull&BearStradivarius

BershkaZara

MangoH&M

Et vous comment la portez-vous?

See Ya !????

Enalor

Beauté : ces objets détournés !

Vous voyez partout ces pots à pinceaux et vous vous demandez où vous pouvez les trouver ??

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Ils se trouvent dans les rayons jardins de vos magasins!! Bon…pas tous c’est sur, en tout cas pas aux Antilles mais si vous êtes en Métropole, vous en trouverez dans ce même rayon chez IKEA car ce sont des caches pots à la base, dont l’utilisation a été détournée pour en faire des jolis pots à pinceaux.

Dans mon article du jour, je souhaite partager avec vous quelques astuces, peu coûteuses et surtout originales,que vous pourrez utiliser pour ranger vos produits de beauté.

  • Un vase à fleur ou un bocal à poisson, avec du sable coloré ou non, des pierres, des billes et même du café pour une touche d’originalité fait un excellent pot à pinceaux.
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  • Avec des bocaux que vous achetez ou que vous conservez après avoir consommé le contenu (moutarde, mayonnaise, olives, cornichons…) vous pourrez faire de joli récipients à pinceaux.

  • Un lot de 3 verres fait l’affaire une fois de plus pour vos pinceaux, mascaras, crayons et autres…

 

  • Une bonbonnière, bonne astuce pour ranger et préserver vos pinceaux et vos éponges.

  • Un rangement à chaussures idéal pour vos rouges à lèvres, gloss, vernis, et autres…
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  • Un plateau avec des verres à pieds pour ranger nos pinceaux, mascaras, crayons, etc…So chic!

  • Des tasses pour nos pinceaux à maquillage, aussi original que pratique!

  • Le contenant en verre de nos bougies s’avère également d’une grande utilité pour vos pinceaux.

  • Une étagère avec des pots utilisée en principe pour disposer des plantes devient un excellent moyen de ranger vos pinceaux et autres objets beauté.

  • Auriez-vous pensé à conserver un distributeur de pailles pour vos pinceaux ? Pratique non?!
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  • Un plateau à gâteau est parfait pour disposer vos parfums,….et même vos vernis!
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  • Plus d’organisation pour vos palettes avec ce porte-documents/porte magazines.
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  • Ou ce range-couverts qui devient un organisateur beauté par excellence.
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Et vous, connaissez-vous d’autres astuces sympa ?

Je vous embrasse.

Sass????