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Portrait de Ketty COTREBIL, auto-entrepreneure dans le milieu de la Mode

Instagram @kamerishop

Lors d’un de mes passages en Martinique, j’ai fais la connaissance de Ketty, une jeune femme avec laquelle j’ai pris plaisir à échanger sur la Mode, son parcours professionnel, sa boutique en ligne Kameri Shop et ses ambitions futures.

 

Ketty, peux-tu te présenter en quelques lignes?

Hello, Je suis Ketty COTREBIL, j’ai 37 ans et je suis une passionnée de mode et d’art.
Après des études de droit, j’ai quitté ma Martinique natale pour intégrer une école de mode internationale à Paris : ESMOD.

Avant de revenir en Martinique pour fonder KAMERI, j’ai eu différentes expériences professionnelles principalement chez de jeunes créateurs de mode. J’ai voulu enrichir mon apprentissage à l’extérieur et ai donc travaillé en Italie durant 2 années pour un site de vente en ligne appelé Yoox, qui aujourd’hui s’est allié au site Net-à-porter. J’y ai travaillé en tant que visual merchandiser et attachée de presse.

Durant cette période, j’avais les yeux rivés sur la Caraïbe, je voyais et découvrais des créateurs plein de talents, qui participaient à des Fashion Week internationales, malheureusement, je me rendais compte qu’ils étaient très difficile à retrouver car ils n’avaient pas de site internet et encore moins de distributeurs, alors que la demande était là. Je me suis dit qu’il y avait quelque chose à faire d’où l’idée de les réunir en un seul lieu de manière à ce qu’ils soient le plus visibles que possible à travers une boutique en ligne. Il y a 5 ans, j’ai donc décidé de poser mes valises sur mon ile natale, la Martinique, pour me rapprocher des créateurs et lancer KAMERI.

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Peux-tu nous en dire plus sur le concept KAMERI?

KAMERI est un concept store en ligne qui depuis 3 ans maintenant et encore plus aujourd’hui, à travers les actions de mon équipe et moi même, met en avant les créateurs de Mode de la Caraïbe, leurs collections, leurs îles, ainsi que leurs cultures .

 

Quelles est la signification de KAMERI?

Le mot KAMERI en lui-même n’a pas de signification directe mais le nom de KAMERI, est un mix entre [Ca]raïbe et [Ameri]que. Il vient du lieu où le siège se trouve : la Martinique, qui comme toutes les îles de la Caraïbe, est influencée par l’Amérique du Nord et du Sud tout en gardant son identité caribéenne, avec une forte mixité tant culturelle, que de population. Ce nom me paraissait correspondre à l’idée que je voulais partager : « la mixité et les échanges de cultures font partie de notre quotidien, pourquoi pas dans notre garde-robe ? ».

 

Comment fonctionne KAMERI ?

Avant tout, nous sélectionnons nos créateurs de vêtements ou d’accessoires de mode. Nous favorisons une identité forte, un style unique, reconnaissable, authentique et contemporain. Une fois cette sélection faite, nous choisissons avec lui les pièces qui seront exclusivement vendues sur KAMERI et cela en série limitée.

Ensuite nous mettons les collections en ligne pour une durée limitée de 3 mois, car tous les 3 mois nous proposons une nouvelle sélection à travers un nouveau thème pour le plus grand bonheur de nos K-girls and boys.

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Quels sont les créateurs mis en avant?

Waibbi de la Martinique, elle a un style sportswear et urbain, elle pense beaucoup au confort et au « easy-to-wear » quand elle conçoit ses collections, tout en gardant son identité Caribéenne grâce aux différentes couleurs vives qu’elle utilise.

Jinaki est une créatrice New Yorkaise, qui utilise beaucoup les codes « rétro » et « créole » dans ses collections, de par les formes, les coupes et les couleurs.

The Cloth, marque Trinidadienne, qui a une identité très forte s’inspire beaucoup des codes du Voodoo pour créer ses collections. Le créateur Robert Young, attache une grande importance à la symbolique de ses pièces.

Meiling, créatrice Trinidadienne, est une référence de la Mode Caribéenne, elle opte pour une Mode épurée, elle a la particularité d’insister sur les finitions et les coupes de ses pièces qui sont d’une qualité irréprochable

Pour les saisons prochaines, nous aurons des créateurs d’origine haïtienne, jamaïcaine en plus de créateurs Trinidadiens avec qui nous avons déjà collaboré. Et pour la première fois sur la saison à venir nous lancerons la collection propre de KAMERI.

Quelles difficultés as-tu rencontrées en créant KAMERI?

La première difficulté que j’ai rencontrée était au niveau de l’accompagnement pour le lancement. C’était très difficile de trouver un profil « Accompagnant ayant une expérience tant dans le numérique que dans la mode ». Ensuite ça a été au niveau des différents partenaires, tels que les transporteurs, la banque (pour le tpe en ligne), le studio photo, les photographes…Il m’a fallu plus de deux ans pour mettre en place les différents partenariats car j’étais la première entreprise à se lancer dans le numérique et en plus dans la Mode sur la Martinique et même dans la Caraïbe. L’autre difficulté a été pour l’acheminement des pièces des créateurs jusqu’à la Martinique. En effet, les créateurs ont des formalités administratives à remplir avant le départ des collections, c’était nouveau pour eux, j’ai donc dû mettre en place tout un process pour leur facilité la tâche.

Quelles sont les qualités nécessaires pour exercer ce métier?

Je ne sais pas si on peut l’appeler une qualité mais avant tout pour être chef d’entreprise (le métier ayant déjà toutes ses difficultés et encore plus dans les débuts), il faut être passionné par ce que l’on fait. La passion permet de passer les écueils de la meilleure manière possible. Ensuite il faut être patient, car on n’obtient pas ce que l’on souhaite tout de suite donc il faut prendre sur soi, avoir un bon mental et être bien entouré. Savoir relativiser est aussi très important même si personnellement je n’y arrive pas toujours.

Quelles sont tes ambitions pour la suite?

Dans les mois à venir nous comptons élargir notre panel de créateurs, proposer plus de services personnalisés (car nos clientes aiment la proximité et l’exclusivité que leur offre KAMERI), développer d’autres partenariats et bien d’autres surprises #stayconnected
Plusieurs de nos clientes souhaitent aussi pouvoir nous rencontrer physiquement et par la même occasion, pouvoir essayer les pièces directement, c’est pourquoi depuis cette année nous faisons plus de Pop-Up store (boutique éphémère), dont une prochaine prévue aux Etats-Unis.

Suivre KAMERI :

Événement à venir :

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J’espère que cette interview vous aura fait découvrir l’univers de Ketty, femme auto-entrepreneure, passionnée qui nous permet à travers sa boutique en ligne, de connaitre et porter des créations autant originales qu’uniques, et par la même occasion d’affirmer notre style tout en diversité.

Je vous embrasse.

Sass????

Tentez de gagner la box Creola

Hello les Créoladdict !

Cette semaine (du 29 janvier au 5 février 2018), Créola et ses partenaires offrent à l’une d’entre vous une BOX contenant du maquillage, des produits capillaires et des produits cosmétiques :

– 3 Aqua Cream et 3 Aqua Liner de chez MAKE UP FOR EVER,
– 2 Lipsticks et 1 trousse à maquillage de chez MAKE UP BOX,
– 1 boite de faux-cils, 1 palette de fards à paupière et 2 lipsticks de chez Pello pello,
– 1 soin intense et 1 Edge Taming Gel Mizani, 1 peigne en bamboo, et 1 brosse à cheveux offerts par Gossip Curl,
– 1 parfum (166), 1 spray corporel, 1 diffuseur de senteur, 1 savon éponge, 1 baume à lèvres, et 1 parfum pour armoire de chez Equivalenza Guadeloupe

Pour tenter de gagner votre BOX d’une valeur de plus de 300€, il vous suffit de :
– Liker la page créola
– Taguer 2 amies en commentaire (en mettant un @ suivi du nom de la personne)

NB : ce concours s’adresse exclusivement à toute personne majeure résidant en Guadeloupe et en Martinique (extrait du règlement : http://bit.ly/2EjRs0E)

Le nom de l’heureuse gagnante sera annoncé le 5 février à 16h.

Bonne chance à toutes !!

 

Rendez-vous sur notre page Facebook !

Hello les Créoladdict ! Cette semaine (du 29 janvier au 5 février 2018), Créola et ses partenaires offrent à l’une…

Publiée par créola sur Lundi 29 janvier 2018

 

LA MODE BERLINOISE

La semaine dernière, j’assistais à ma première fashion week. J’étais surexcitée. Comment ne pas l’être quand on sait que Berlin est une des villes les plus créatives de ces dernières années dans le milieu de la mode. Rencontre avec un état d’esprit plutôt qu’un style.

Quand j’ai reçu ma carte de presse, j’étais sur un petit nuage. Moi, Thia, invitée en tant que blogueuse pro à une Fashion Week. Évidemment, une semaine avant le jour J, je passais au radar toute ma garde-robe. Dans ce genre d’évènements, tout le monde s’attend à ce que l’on soit stylé. Il ne peut pas en être autrement. Mais la différence se fera entre celle qui en fera trop et celle qui aura le ton juste. Comment trouver ce fameux ton ? Comment être IN? Voilà ce que je suis venue apprendre ici.

 

Berlin, tout le monde vous le dira, c’est oser, s’aventurer. Et la mode n’est pas épargnée. Le style berlinois n’est pas sexy. Les femmes ici n’ont pas besoin de ça pour s’affirmer. Ici, on cherche le confort, le style, ce côté un peu minimaliste. On ose les pièces excentriques, extravagantes, qui ramènent une âme à une tenue un peu terne. Tout est possible. La mode ici n’a pas de limite sinon celle de l’esprit.

J’aime ce côté décalé, qui ne cherche pas à plaire à tout prix. On s’habille ici avant tout pour soit. Et c’est fantastique. Quand la société vous oblige à scruter tout autour de vous et à porter un jugement, les Berlinoises prennent le contre-pied et assument pleinement cette envie d’être différentes des autres. C’est une mode qui se cherche encore, mais tellement prometteuse.

Je crois que j’ai enfin trouvé l’endroit où je peux être moi-même. Bienvenue à Berlin.

« Ma peau mérite toutes les douceurs du Monde »

C’était en 2011, en plein hiver, dans mon studio à Nanterre « 92 represent » : les blogs se multipliaient et j’en cherchais un auquel je pouvais m’identifier. J’avais besoin d’une dose de mon chez moi, du créole, de rire. Quelques clics ça et là sur Google m’ont rapidement amené sur celui de La Tchipie. Je me souviens lui avoir laissé un commentaire puis, je l’ai perdue de vue.

En octobre dernier, après avoir lancé ma rubrique sexo sur mon site, je l’ai retrouvée ! Alors cette fois, je n’ai pas commis la même erreur : je la suis PARTOUT !
Et vous savez quoi, j’ai bien fait : elle a sorti son livre « Ma peau mérite toutes les douceurs du Monde ».

Il s’agit d’un livre pour adulte.

Aye-Bon-Dieu-Seigneur-La-Vierge-Marie-Saints-Anges-du-Purgatoire !
Kissa ?!

Attendez, j’y viens ! Avant de lui poser quelques questions, en voilà le synopsis :

S’il n’y avait qu’une phrase à retenir de l’un de ces amants ce serait celle-ci : « mon meilleur coup, il faisait mon cœur descendre dans ma culotte ».
Elle qui ne se trouve ni charmante ni séduisante, se laissera séduire et entrainer dans une folle aventure érotique avec celui qu’elle classe dans la catégorie des grands prédateurs : ces hommes beaux, mystérieux et terriblement sûrs d’eux… inspirant les fantasmes les plus fous.
Sa peau retiendra de leur rencontre une émotion inoubliable qui marquera sa vie de femme au fer rouge.
Une autre femme fait la rencontre d’un homme qui semble idéal. Leur romance se déroule sans accroche, il sent qu’elle est la femme de sa vie. Et pourtant… rien de charnel ne se passe entre eux.
Pourquoi cet homme refuse-t-il d’aller plus loin ? Comment peut-elle le convaincre de faire, enfin, l’amour ?
Le corps de la belle s’impatiente jusqu’au jour où l’interdit s’offre à elle…
Osera-t-elle trahir celui qui n’ose pas la toucher et commettre l’impensable ?

Je vois que vous appréciez, alors on continue :

Un livre simple.
Avec des histoires simples.
Et des gens… simples.
Vraiment simples.
De ceux que l’on ne veut pas regarder.
De ceux à qui on ne prête pas d’histoires qui marquent la peau, électrisent les souvenirs.
Dans ces courtes histoires, il n’y aura ni hélicoptère, ni supra- richesse, ni muscles à en mourir, ni luxe à ne plus savoir où donner de la tête.
Juste des gens simples, qui se rencontrent, se séduisent, doutent d’eux-mêmes, y vont quand même, s’aiment, se rejettent, parfois font l’amour, mais pas que. Pendant que certains se tournent autour, d’autres nous plongent au plus profond de leurs ténèbres.
Des gens simples.
Des histoires sages.
Et quelques fois peu sages. Pour adultes.

 

Bon ! Place aux questions :

1- Quand as-tu commencé à écrire ?

Waouh… laisse-moi réfléchir…

J’ai le souvenir de me voir écrire vers l’âge de 7 ans. Une de mes tantes m’avait offert un carnet secret. Je me suis rendue compte que je pouvais confier des choses importantes à une feuille blanche, une feuille qui ne juge pas, une feuille qui peut accueillir mes colères, mes amours et mes haines. Une feuille qui me permet d’exprimer ce qu’il y a de plus fort dans ma vie, sans jugement moral. Je n’ai jamais arrêté depuis.

J’ai commencé à bloguer, il y a quelques années alors que je m’ennuyais et que j’avais envie de rigoler sur des sujets tels que le e-kimbwa ou « comment faire l’amour avec une perruque? » entre autre… le kimbwa électronique a toujours présenté un grand intérêt pour moi. D’ailleurs, je lance un crowdfunding pour l’émission « MasterKimboiseur » à l’image de « Masterchef », à la recherche du sorcier le plus performant de nos belles îles…

2 – Pourquoi un livre érotique ?

En 2015, avec trois amies, nous avons lancé le webzine en ligne laplisitol.com.

L’envie d’avoir un espace libre, réservé aux adultes, où le beau et le pas-beau peuvent se dire. De temps en temps, j’écrivais, et puis un jour, par amusement, j’ai eu envie d’aller plus loin, de réunir une partie de ce que j’y avais écrit, mélangé à d’autres histoires moins érotiques, et c’est ainsi qu’est né ce recueil de courtes histoires sages et moins sages pour adultes.

3 – Il y aura t-il un second volet ?

Houlala…! Commençons déjà par porter le 1er livre. C’est du travail, beaucoup de travail. Je continuerai d’écrire sur les différents blogs sur lesquels je suis active, et qui sait…

Merci La Tchipie.
Je veux bien aider à produire l’émission « MasterKimboiseur » XD

Et on l’achète où son bouquin alors ?!


« Ma peau mérite toutes les douceurs du Monde »

En ligne : Disponible sur + de 200 librairies en ligne dont : Amazon, Librinova, Google store, Apple store

En format papier : https://www.librinova.com/librairie/la-tchipie/ma-peau-merite-toutes-les-douceurs-du-monde

Vous voulez un aperçu de ce qu’elle écrit ? Voici la vidéo d’un de ses textes repris par Mike Fédée « Ma petite culotte ». Installez-vous confortablement… regardez, écoutez, savourez.

La Tchipie sur : Facebook – Blog – Instagram

CocoZabrico

Adopter un animal, loin du business

Le saviez-vous ? Depuis janvier 2016 -deux ans déjà, même si dans la pratique, on observe encore pas mal de dérives-, un particulier n’a plus le droit de vendre un chat ou un chien sans obéir à une réglementation stricte : se déclarer préalablement auprès de la chambre d’agriculture, obtenir sa capacité d’éleveur (un examen après deux jours de formation) et disposer de locaux conformes à l’élevage.

On entend par élevage de chiens ou de chats l’activité consistant à détenir au moins une femelle reproductrice dont au moins 1 chien ou 1 chat est cédé à titre onéreux. Un particulier est donc considéré comme éleveur dès la première portée vendue.

Vous pouvez en revanche donner des chats et des chiens à condition qu’ils soient âgés de plus de 8 semaines et qu’ils soient identifiés c’est-à-dire qu’ils soient munis d’une puce électronique.

 

Se soucier du devenir de l’animal

La modification de la réglementation a pour objectif de dissuader les particuliers de faire reproduire de manière irréfléchie des chiens et des chats et permet d’espérer un changement dans les pratiques, en obligeant à se soucier davantage du devenir de l’animal, et pas uniquement d’en faire une source de revenus.

Si auparavant cela pouvait rapporter gros, depuis le 1er janvier 2016, le montant de l’amende désormais encourue par celui qui s’aventure dans le commerce d’animaux sans obéir à la nouvelle réglementation est de 7 500 €, voire plus dans certains cas.

Nombre d’abandons se font après une vente mal négociée, mal réfléchie, ou inadaptée, réalisée de la main à la main sans autres formalités.

Une cession dans les règles

Un gros ménage reste encore à faire sur les sites internet, où dans son annonce, le vendeur doit impérativement inscrire son numéro de référencement, l’âge de l’animal et son inscription ou non à un livre généalogique (chien ou chat de race), son numéro d’identification ou celui de sa mère, le nombre d’animaux de la portée. Au moment de la cession, le vendeur doit obligatoirement vous fournir une liste des documents : une attestation de cession, un document d’information sur les caractéristiques et les besoins de l’animal contenant également, si nécessaire, des conseils d’éducation, une carte d’identification fournie par le vétérinaire au moment du tatouage ou de l’implantation de la puce électronique sur l’animal — il est en effet illégal de vendre un animal non identifié — un certificat sanitaire de moins de 3 mois attestant de son état de santé. Les documents obligatoires en cas de vente d’un chien ou d’un chat.

Toute infraction peut être signalée à la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt *.

*Contacts des DAAF :

en Martinique : service SALIM protection animale, 0596 648 964

en Guadeloupe : http://daaf.guadeloupe.agriculture.gouv.fr/

en Guyane : 0594 29 63 05 ou 63 30 

 

Adoptez dans une association de protection animale

Vous bénéficierez d’un suivi à partir d’un contrat d’adoption. L’animal adopté a reçu sa primo vaccination et est identifié avec une puce électronique. L’animal est la plupart du temps stérilisé pour éviter tout risque de reproduction dans de mauvaises conditions. Et des conseils d’éducation sont proposés. Et si cela ne se passe pas bien l’association peut reprendre l’animal. Ce qui est une garantie autant pour l’adoptant que pour l’animal.

L’association Les Manicoubleus

Elle propose à l’adoption des chiens et des chats qui ont été abandonnés et/ou confiés à l’association pour qu’elle leur trouve un propriétaire qui saura prendre soin d’eux. Ils sont, en attendant leur adoption définitive, confiés à des familles d’accueil provisoires bénévoles. L’association connait donc le « profil » de chaque animal, ce qui facilite leur placement dans des familles qui leur correspondront au mieux, et inversement.

50% des abandons d’animaux de compagnie sont dus à un manque d’éducation.

Leur but est de responsabiliser les propriétaires en leur permettant d’accueillir au mieux un animal de compagnie chez soi et dans la société. Pour cela, l’association de protection animale les Manicoubleus propose aux adoptants les conseils d’une comportementaliste.

L’association organise régulièrement des portes ouvertes où les animaux sont présentés, jardinerie VillaVerde à Bellevue, Fort-de-France.

Plus d’infos sur : leur page Facebook : Les Manicoubleus

le site : www.lesmanicoubleus.com

Contact : lesmanicoubleus@hotmail.com et 0696 30 43 53

Satané utérus !

photo credit : https://www.womensmd.org/

J’ai cru qu’arrêter la pilule et me faire poser un stérilet au cuivre était la meilleure chose qui puisse m’arriver… En fait si, finalement je me sens bien ainsi. Nullipare, j’ai tout de même décidé de franchir le pas : adieu hormones et retour au cycle menstruel classique. J’avais envie d’être plus proche de mon état naturel, sans pour autant laisser pousser mes poils de menton.

Quoi ?! J’y vais petit à petit !

Après 6 mois de militantisme « moi, je mise sur le cuivre », dame nature m’a gentiment montré une autre réalité : le syndrome prémenstruel.

Mais alors, comment on fait pour contrôler ça ?! Je n’en peux plus de moi même ! J’ai l’impression de faire une mini dépression mensuelle !

Les crampes, diarrhées, nausées et autres petits délices de cette période ne m’étaient pas inconnus… mais les chagrins mêlés de pétages de plomb : ça, je ne connaissais pas.

Il m’en faut du courage pour vous dire, sans donner raison aux machistes qui associent volontiers les sautes d’humeurs aux règles, que nous sommes nombreuses à vivre ces changements tous les mois.

Quand je m’en suis rendu compte, ma première réaction a été de chercher d’autres femmes à qui demander : « Mais alors, comment on fait pour contrôler ça ?! Je n’en peux plus de moi même ! J’ai l’impression de faire une mini dépression mensuelle ! »

Réponse :

J’ai donc développé mes propres mécanismes une semaine avant la bolognaise (bon appétit !) :

  • J’ai créé le « frigo de l’amour »

Mon frigo est plein de petits mots d’amours donnés par des amis. Normalement, ils sont bien rangés : sortez-les ! Dans les moments de blues, ils sont les bienvenus.

  • Je me chouchoute encore plus !

Ça, on sait faire : manucure, gommage, soins… Mais il y a aussi la lecture, par exemple, pour chouchouter l’intérieur : en ce moment je lis Trois amis en quête de sagesse. Commencer une cure, pour aider le système immunitaire par exemple, peut aussi apporter un certain réconfort.

  • Je me fais une « soirée cochonne »

Les 3 B : Bonne bouffe, Bon programme TV ou Bonne musique et Bon Câlin (avec un duvet ça fonctionne très bien)

  • Je ne m’impose rien

Rien qui ne puisse être repoussé en tout cas. J’évite ainsi le risque de surmenage et donc de tensions.

  • Je bois de l’eau !

1,5L par jour. On ne le dit jamais assez… c’est primordial !

  • Je suis mes envies dès que possible et sans culpabiliser.

Une pizza tous les soirs pendant 7 jours 

 

Vous savez tout !

Et si on échangeait un peu nos méthodes, que faites vous ?

Tiens, pendant que j’y pense : on peut en rire… Rappelez-vous de cet article ! C’est cadeau 😉

Photo credit : https://9gag.com/gag/5865048/hi-i-am-an-uterus

JANVIER ET DÉJÀ BESOIN D’UNE PAUSE

Janvier ou le mois des résolutions. Personnellement, je ne suis absolument pas une adepte de ça. Penser qu’il suffit d’une phrase prononcée en début d’année pour que l’année soit différente de la précédente. En plus, quand on sait que ces résolutions ne durent généralement qu’un mois voir qu’une semaine.

Même si je ne fais jamais de résolutions en janvier, j’avoue que j’essaie de repartir du bon pied. Après pratiquement un mois à manger et boire tout et n’importe quoi, je fais une cure détox (la grande mode) pour que mon corps souffle un peu. Je me remets également au sport pour être prête cet été (la grosse blague).

Du moins, c’est ce qui était prévu le 30 décembre. Nous sommes deux semaines après et toujours rien. Je suis au point mort. Mon corps ne veut plus coopérer. Et mon cerveau s’en fou royalement. C’est comme si tout mon être voulait me faire un message : STOP ! PAUSE !

L’année a à peine commencé que je n’en peux déjà plus. Parce que finalement, une nouvelle année a peut-être débuté sur le papier, mais pour nous ce n’est qu’une suite de jours depuis des mois. La routine a-t-elle cessée ? A-t-il eu un grand changement dans notre vie depuis ce fameux 1er janvier ? A-t-on fait une véritable pause ?

Je crois que l’on veut tellement bien faire que l’on oublie trop souvent que nous ne sommes pas des machines. Que nous aussi avons des envies, des rêves, ce besoin de penser uniquement à nous. Donc je crois que cette année, je vais faire comme tout le monde. Voici mon unique et seule résolution pour cette nouvelle année :

JE VAIS PENSER A MOI POUR CETTE ANNÉE 2018

C’est égoïste ? Oui ! Et ? Nous avons tous ce besoin de nous recentrer sur ce dont nous avons véritablement besoin. Pour moi, ce sera une pause. Juste un moment rien qu’à moi. Ou il ne sera question que de moi et de mes envies. Et une fois que je me sentirais à nouveau en phase, je reviendrais combler de bonheur, la vie de ceux qui m’entourent.

Sur ce, je m’en vais vivre !

Thia

It’s Carnaval!!!!

Le Carnaval, moment d’amusement, de défoulement. Période durant laquelle on ose le plus!

Oui aux strass et aux paillettes! Oui aux couleurs vives!

Il est loin le temps du maquillage qui ne faisait pas trop d’effet, maintenant on veut que ça soit beau, que ça se voit, que ça pétille! On veut de l’art!!

Aujourd’hui, je partage avec vous des réalisations de maquilleuses de Guadeloupe!

Karine Gatibelza (Institut Makeup Box) – Son Instagram ici

@karinegatibelza

Vous pouvez même acheter des kits de strass à MakeUp Box (Jarry) et vous prêter à l’exercice du « Carnival Makeup On Fleek! »

@karinegatibelza

 

Leylah E. (Le Maquill’Heure) – Son Instagram ici

@lemaquillheure

 

Emilie Lapuly – Son Instagram ici

@emilielapuly

 

Andies (Ofra Cosmetics) – Son Instagram ici / Le tuto de son maquillage ici

@andiesmakeup

 

By Leila – Son Instagram ici

@byleila

Plus de strass et paillettes, avec les idées de maquillage ci-après.

@pinterest

Et encore plus d’inspirations dans le prochain numéro de votre Magazine CREOLA (date de sortie : 2 février)  😀 …Stay connected!

 

Si vous ne défilez pas dans un groupe, ou vous n’avez pas prévu de vous déguiser pour aller regarder le Carnaval, mais que vous auriez aimé vous faire un petit kiff le temps d’une soirée, les trois événements suivants sont pour vous!

  • Le 26 janvier 2018 – French Kiss « On di Road » au Kama Club – Plus d’infos ici.
@frenchkiss
  • Le 09 février 2018 – Urban Fridays « Ramène ta plume » – Plus d’infos ici.
@urbanfridays
  • Le 10 février 2018 – Plim Plim Day – Plus d’infos ici.
@plimplimday

En plus, ils organisent des ateliers pour vous aidez à confectionner vos costumes de A à  Z! Entre la coque du soutien, les plumes, les strass vous pourrez tout shopper lors de ces rendez-vous et faire de votre costume une pièce unique! N’est-ce pas magnifique ?!

@plimplimday

Mes chers carnavaliers et carnavalières, je vous souhaite un bon Carnaval tout en couleurs et folies!!

Je vous embrasse.

Sass

C’est décidé, je veux ma vie en mieux!

Première lecture de l’année, je m’oriente vers une oeuvre dont le titre fait écho dans mon for intérieur: « C’est décidé, je veux ma vie en mieux! »

  • L’ auteure

Milène PAUL, véritable couteau-suisse, auteure – coach – conférencière – youtubeuse – blogueuse (attendez je reprends mon souffle), accompagne un public principalement féminin (mais pas que) sur les questions d’estime de soi et de confiance en soi, avec l’expérience, l’authenticité, l’humilité et la philanthropie dont elle fait preuve. La Guadeloupéenne, partage, via sa chaîne Youtube Milly D,  ses conseils avec des milliers de jeunes femmes pour les aider à dévoiler leur beauté de l’intérieur vers l’extérieur. Elle impulse en parallèle « Oui Dream Up », source d’Empowerement, qui fédère une communauté de Dreameuses et Oui-neuses qui désirent Rêver en grand. Une plateforme sur laquelle elle propose des rencontres virtuelles ou physiques caractérisées par des vidéos, guides en ligne, ateliers, podcasts ou interventions au sein d’événements.

  • Le livre

Issue d’un cheminement personnel résultant de ses expériences, l’oeuvre fait ressortir 5 étapes clés fondamentales, grâce à un fil conducteur bien construit, dans le but d’améliorer et tirer le meilleur parti de nos vies dans tous ses aspects, avec des conseils simples et pragmatiques, qui sont à la portée de tous.

Afin d’appuyer et renforcer ses précieux conseils, la coach fait référence à des méthodes, principes, concepts percutants pensés par des auteurs et experts, faciles à mettre en application dans la réalisation de nos objectifs. Avec la force d’esprit que l’on reconnaît à la jeune femme, la part spirituelle est également présentée sous des références bibliques éloquentes.

De manière perspicace, elle remet en question quelques idées reçues comme le fameux quand on veut on peut, sait nous convaincre que la peur est utile, nous incite à changer notre vision.

Attention, pas de formules magiques! Les pages que vous êtes sur le point de feuilleter délivrent des outils nécessaires à notre accomplissement personnel, à notre mieux-être, qui nous motivent à croire en notre processus, afin d’atteindre notre succès car nous avons tous une saveur unique. En ce sens, Milène PAUL relaie ses anecdotes, venant consolider et illustrer l’ouvrage, fruit lui-même des solutions prodiguées dans ce dernier, qu’elle définit comme étant sa Victoire.

  • De la théorie à la pratique

Plus qu’un livre de développement personnel, un guide-pratique, composé à chaque chapitre, d’exercices introspectifs simples et efficaces, qui nous mettent déjà le pied à l’étrier dans l’organisation et la réalisation de nos projections. La fin de chaque étapes voit décliner un top 5 récapitulatif visant à extirper l’essentiel des lignes précédemment énoncées.

  • Un investissement à long terme

« C’est décidé, je veux ma vie en mieux! » est un compagnon de route universel à relire autant de fois que nous serons empreints en doute et aux questionnements sur chacun des plans de notre réalisation personnelle. C’est une boîte à outils dans laquelle nous pourrons venir piocher des passages spécifiques pour nous encourager, motiver, réconforter, guider dans le but de vivre pleinement.

Il s’agit d’un livre fédérateur qui pousse à devenir meilleur pour soi mais également pour les autres et pour citer l’auteure:

 » Ma voie n’est pas la tienne, mais je sais qu’ensemble, en étant ouverts les uns avec les autres, nous pouvons nous aider à être meilleures. « 

  • Ce que j’ai aimé:

-« C’est décidé, je veux ma vie en mieux » se veut universel

– Il se laisse lire, lisible facilement en une fois

– L’utilisation du « tu » est percutant, donnant une impression de dialogue avec une personne que l’on connaît

– Bien documenté et référencé

– Pratique et théorique

– Le lecteur s’identifie à un moment ou à un autre à ce que dit l’auteur

– Fil conducteur bien construit

  • Pour se procurer « C’est décidé, je veux ma vie en mieux! » c’est ici
  • Pour la suivre :

Sa chaîne Youtube Milly D

Sa chaîne Youtube Oui Dream Up

Sa page Facebook Milidees

Son Instagram: @milidees

 

Ces robots culinaires si inspirants !

Ils font tout. Il suffit de suivre la recette en mode connectée ou le nez dans le bouquin. Et ils s’activent pour vous. Le meilleur de leur fonction ne réside peut-être pas que dans cela. 😉 

Ca va croustiller!

Ils pèsent, au gramme près, ils mixent, réduisent, cuisent (pour les sauces, soupes), et quand la sonnerie finale retentit vous pouvez déguster ou enfourner. Le rêve! Cela faisait un moment que ces robots faisaient de l’œil aux nombreux ustensiles de ma cuisine. Oui, carrément, de l’œil. Et pas qu’un peu et pas qu’à mes outils de cuisinière pas toujours avertie. Au cours de mes déambulations sur la toile ou dans les rayons, je regardais pour ne pas dire lorgnais sur ces engins d’un monde nouveau. Celui du « c’est réussi parce que normalement inratable » et du « c’est moi qui l’ai fait sans me fouler et sans passer cinq heures dans la cuisine ».

Ils simplifient aussi (et grandement) tout ce qui est de l’ordre du nettoyage. Fini la corvée de vaisselle parce que bien évidemment tout ne passait pas au lave-vaisselle. Vous, je ne sais pas, mais moi quand je m’y mets j’ai besoin de nombreux récipients.

Et là vous dites, merci aux inventeurs! Merci à ceux qui réfléchissent et qui conçoivent de pareils joujous. C’est un peu comme si vous cessiez de laver votre linge à la main et que vous découvriez la machine à laver. Je n’exagère pas, ou si peu. Et que dire de la multitude de recettes à envisager et à réaliser ? Ca se bouscule, embarras du choix, diversité des plats, saveurs qui explosent, que des bonus.

Mais pourquoi ne pas avoir cédé plus tôt aux chants de son moteur ? Parce que ce n’est pas donné. Faut être claire et précise. Cela coûte cher. Et même si l’on rentre dans des calculs ratio temps gagné pour pouvoir se consacrer à autre chose (quoi ? Faudra argumenter alors, chercher de très bonnes excuses), économie (au gramme près donc pas de gâchis, un argument qui en vaut un autre)… cela reste chérot. Bon, il reste la solution du paiement en plusieurs fois, mais la somme à débourser reste la même.

Si vraiment vous y tenez, votre meilleur allié sera votre compagnon. Je vous l’assure. Parce que, et même si cela paraît impensable (sauf s’il aime déjà passer du temps dans la cuisine ou qu’il a au minimum une spécialité culinaire maîtrisée), il se pourrait bien qu’il s’y mette. Spontanément il appuiera sur les boutons, versera en suivant les consignes affichées. Et c’est tellement ludique (n’ayons pas peur des mots) que même les enfants peuvent s’initier rapidement. C’est magique ! En fait, le meilleur de leur utilité réside (principalement ?) dans le fait que l’homme s’y colle. Un regroupement familial autour d’un robot (culinaire cette fois), ça c’est de l’argumentaire imparable !