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John Travolta

Vous souvenez-vous de « La Fièvre du Samedi Soir » ?

Non ? Vous n’étiez pas né(e), ou vous étiez trop jeune. Maintenant si vous avez la quarantaine bien sonnée ou dépassé le cap de la cinquantaine allégrement, vous avez forcément entendu parler de ce film qui, en son temps, défraya la chronique.

Rappelez-vous, c’était il y a 40 ans !

Un jeune brun gominé aux boots pointues et au costume blanc trois pièces dansait lascivement sur une chanson des Bee Gees. Peu de gens se doutaient alors que le film produit par Robert Stigwood et réalisé par John Badham, allait faire un tabac au box-office et faire de Travolta une star de dimension internationale. Un monstre sacré comparé à Fred Astaire et nommé d’office aux Oscars ! Allez, admettez-le, qui ne s’est pas non plus à un moment, reconnu dans cette histoire de « loser » qui va voir son destin radicalement basculé. Maintenant pour celles et ceux qui auraient remplacé depuis le disco depuis par les envolées lyriques de Montserra Caballé, un petit « reminder » s’impose.

Quatre décennies plus tard, de l’eau à couler sous les bottines de Mr Travolta. Cela ne l’empêche, malgré le poids des ans (et sur la balance), de continuer à avoir la fièvre ! Une fièvre incurable !

PRISE DE TEMPÉRATURE

Si ma mémoire est bonne, tout est parti d’un article publié dans « Rolling Stones ». Robert Stigwood, qui était un producteur visionnaire avait très pris compris que le disco était un courant musical qui allait cartonner dans les discothèques. Beaucoup de jeunes Américains, un peu désoeuvrés, allaient s’amuser dans les night-club après une journée à l’usine ou dans les bureaux. C’était un moyen pour eux de décompresser. L’article s’intitulait « Tribal Right of Saturday Night » et Robert va l’adapter pour en faire un film. Pendant cinq mois, je me suis sevré au disco ! Matin, midi et soir. En attendant, cinq mois, cela n’est rien pour un rôle aussi exigeant physiquement ! J’aurais très bien pu passer à côté. Mais j’avais la pêche, la volonté et une énergie qui suivaient le tempo du disco ! C’était l’époque où « Staying Alive » ou « More Than A Woman » des Bee Gees, passaient en boucle sur les radios ! On entendait que ça ! Il fallait vivre dans une grotte ou sur une autre planète pour y échapper !

LA FIEVRE ACHETEUSE !

Il faut tout de même rappeler que la BO de « La Fièvre Du Samedi Soir » contenait sept des grands succès des Bee Gees. Ce disque restera six mois semaines en tête du Billboard. On vendra presque quarante millions d’exemplaires. C’était de la folie ! Mais ce n’est pas tout. Du jour au lendemain, je me suis retrouvé en « cover » de tous les magazines. Même ceux que l’on attendait le moins ! Comme des revues pour sociologues ! Si je me souviens bien vingt-sept millions de posters avec ma tête dessus se vendront en un mois ! J’étais devenu un telle icône que je ne pouvais même plus descendre dans la rue ou me rendre dans un supermarché ! Le film est sorti en 1977 aux Etats Unis. Il rapporta dix fois plus d’argent que la mise de fond ! En 1978, le film sera proposé dans une version pour mineurs. Je ne vous raconte pas le malheur qu’on a fait ! Encore aujourd’hui, « La Fièvre du samedi soir » reste l’une des productions les plus rentables du cinéma ! Même au niveau de la mode, on a fait un tabac. Les bottines en cuir, les pantalons à path d’eph, bien évasés en bas et bien moulant en haut, ainsi que la chemise en soie tous les mecs voulaient s’habiller comme Tony !

CONTAGION PLANETAIRE

Quand j’y repense, même encore aujourd’hui, je n’arrive toujours pas y croire. J’étais loin de me douter que cela deviendrait un film culte pour toute une génération. Pendant des décennies, j’ai essayé de piger pourquoi ce film avait eu un tel impact. Etait-ce le personnage ? Les dialogues ? La chorégraphie ? Les ressorts dramatiques ? La « photographie » sociétale d’une génération ? Jusqu’au jour où je ne me suis plus pris la tête ! J’ai compris qu’il fallait que cesse d’analyser le pourquoi du comment ! Qu’il fallait voir cette production comme un

« guilty pleasure ». J’ai pigé surtout ce que l’hyper-starisation pouvait générer ! Très rapidement les fans m’ont associé à ce personnage. Ils s’imaginaient vraiment que lorsque je marchais dans la rue, je me déhanchais comme Tony, que dès que je me retrouvais devant un miroir, je me reluquais sous toutes les coutures.

Avec « Grease », cela a été la même chose. Je suis devenu une sorte de produit de consommation courante aux yeux de milliards d’individus aux quatre coins du monde. Encore aujourd’hui, c’est à dire 40 ans après le succès de « La fièvre du samedi soir », dès que je rends dans un lieu public, vous avez toujours des gens qui me supplient pour que je leur apprenne quelques pas de disco ! Est-ce que je le déplore ? Non ! Aucunement ! Bien au contraire ! Je suis ravi que l’on est pas oublié Tony Manero !

DE BEAUX RESTES….

Aujourd’hui, je suis encore capable d’effectuer les mêmes génuflexions que dans « La Fièvre du Samedi Soir » ! Je ne sais pas encore combien d’années je serai en mesure de le faire mais pour l’heure pas de problème. Vous savez, les mouvements de danse, c’est comme le vélo, ça ne se perd pas ! Dès que j’entends le tempo des Bee Gees, j’ai toutes les cellules de mon corps qui se mettent en action ! Ce groupe de légende a marqué notre époque, notre culture, notre quotidien. Lorsque nous entendons leurs chansons à la radio, en quelques secondes, c’est toute notre jeunesse qui nous revient à l’esprit ! Pour m’entretenir, je joue au tennis cinq jours par semaine ! Je soulève ensuite des poids et haltères. Je surveille ce que j’absorbe enfin et je m’oblige à manger un yogourt à chaque repas.

TRIOMPHE MODESTE

Derrière la prouesse, il y avait des heures et des heures de boulot, de répétitions, de faux pas, de chutes parfois. Et puis, il y a des bons moments que je n’oublierai jamais. Comme en 1985, j’ai dansé avec Lady Diana à la Maison Blanche. C’était un moment fantastique car Diana était une personne fantastique ! C’était une femme aussi brillante que sympathique. Je me souviens très bien de cette danse car, à l’époque, ma carrière patinait. J’étais dans un creux. J’étais aussi très flatté car visiblement la seule chose qui intéressait Diana durant cette soirée, ce n’était pas Ronald Reagan, non c’était de danser avec moi ! (rires). Quand les photographes nous ont pris en photos, je ne m’imaginais pas que lendemain nous allions nous retrouver à la une des journaux et des magazines du monde entier ! Quelque part donc, Diana m’a remise en selle et m’a fait renaître aux yeux du public ! Diana dansait très bien car elle avait confiance en elle. Au départ, c’est elle qui voulait mener la danse. Je l’ai alors regardé droit dans les yeux et je lui ai dit qu’elle devait me laisser faire !

SHOW ME THE MONEY

Quand j’ai débuté dans ce métier, je pensais que grâce à la célébrité, je n’aurais plus à m’angoisser pour remplir mon frigo et payer mon loyer. J’ai eu tort. A Hollywood, il n’y a pas que des tapis rouges, il y a aussi des peaux de banane. Au début de ma carrière, j’ai glissé sur quelques une et la chute a été très douloureuse. C’est à ce moment-là qu’un de mes amis m’a donné ce conseil : « John ! Si tu veux faire de vieux os, vit sur les intérêts de tes placements et ne bouffe jamais le capital !

C’est que je m’évertue à faire depuis presque quarante ans …J’ai appris avec les années à être plus regardant à la dépense. Surtout pour les fringues. Je me souviens un jour avoir participer à un gala caritatif à la demande de ma copine Shirley MacLaine. J’avais acheté au cours d’une mise aux enchères un costume Banana Republic à 200 dollars. Une coupe superbe. Et là, je me suis dit : « Damned ! Et quand je pense que cela fait des années que je claque un fric fou dans des costumes de designers ! ». Ce jour-là, j’ai arrêté net. Conscient que je jetais l’argent par les fenêtres. Du coup, pendant cette même soirée, ma femme (Ndlr : l’actrice Kelly Preston) a déniché une robe à 20 dollars de chez Target (Ndlr : l’équivalent de Tati aux Etats Unis). J’ai dit ensuite : « Kelly met des escarpins et relève tes cheveux et tu vas scotcher tout le monde ! ». Vous savez quoi ? La presse magazine féminine l’a encensée pour son look. Elle portait une robe de 20 dollars et toutes les spécialistes de la mode la trouvaient géniale ! Moralité : à quoi bon se ruiner. Jamais Kelly n’avait reçu un tel enthousiasme de la part des « fashionistas »

L’histoire du film

Tony Manero (John Travolta) mène une double vie. Pendant la semaine, il n’est qu’un modeste garçon de courses qui arrache quelques billets verts à un marchand de peintures new-yorkais. Mais, le samedi soir venu, il devient le king du « 2000 », la plus grande discothèque de Brooklyn. Danseur hors pair, il oublie sa vie lorsqu’il met le feu à la piste. Le cours de celle-ci va prendre une autre dimension le soir où il croise Stéphanie (Karen Lynn Gorney).

Glossaire Beauté

PETIT COURS D’ANGLAIS

Si comme moi vous faites celle qui a tout compris dès qu’elle entend des termes relatifs au maquillage (make-up), voici de quoi vraiment assurer à la lecture des notices ou tout simplement au nom du produit.

Et en prime un petit cours d’anglais au passage, #canefaitpasdemal. C’est peut-être pour ça que je ne comprends pas toujours ! Les lacunes ça se comble. Repeat after me… 

Addict : c’est ce que je suis, carrément compulsive quand il s’agit de succomber aux charmes des emballages (packaging), et surtout ceux des marques de make-up.

Blender : (il s’agit donc d’un verbe, de l’anglais to blend) : signifie mélanger ou estomper. Par exemple : aujourd’hui je « blende » mon ombre à paupière, autrement dit, je l’estompe. Et si j’en utilise deux je « blende » aussi puisque je mélange. Pas question ici de parler du « blender » de la cuisine. Faut pas tout mixer non plus !

Buffer :(autre verbe de l’anglais, ‘’to buff’’) : signifie adoucir ou rendre flou. Mon blush a besoin d’être « buffé » pour ne pas ressembler à un clown (c’est un exemple !)

Beauty Blender : je sais, et vous aussi, que c’est une éponge à maquillage qui uniformise le teint. Elle évite les pâtés (à faire sur et avec le sable, c’est mieux). Sa forme d’œuf est très pratique pour ne pas rater les toutes petites zones (ailes du nez). Elle s’utilise donc pour appliquer son fond de teint, son correcteur voire son anti cernes (mais là pour le coup, restez couchée et reposez-vous si vous devez masquer tout cela).

Bronzer : le bronzer est une poudre qui permet de sculpter, et de donner bonne miner au visage. Et même ici, on peut s’en servir. Parce qu’on prend soin de notre peau sous le soleil et qu’on évite des expositions sans protection. Donc en bon français on évite de cramer.

Contouring : on aime ou pas le côté redéfini quasi au couteau dans le plus pur style Kim Kardashian (avant). Le principe est donc de limiter des zones grâce à ombres brunes placées ça et là, et des lumières (light) appliquées sur les zones bombées et sous les yeux. Comme cela, elles ressortent super bien. Avec tout de même un côté grand art du cabaret.

Cut Crease : encore un terme anglais (crease : pli de la paupière supérieure), donc ici on pense qu’il est coupé (cut) ? Pas du tout, le creux ou pli est très marqué à l’aide d’un crayon. Faut que cela soit super bien maîtrisé sinon, effet pas terrible garanti.

Illuminator/luminizer : là c’est bon tout le monde aura compris. L’enlumineur rehausse l’éclat du teint de façon quasi naturelle. Peut se mélanger à son fond de teint.

Fluffy = de l’anglais et signifie duveteux. Est employé pour caractériser un pinceau souple et bien fourni en poils naturels.

Glow (terme anglais, éclat) : s’emploie pour un produit qui rend le teint un fini satiné.

Peeling : soin qui débarrasse la peau des cellules mortes. Et pas un bon maquillage sans une peau bien nettoyée et préparée. Idem pour le démaquillage, on y pense !

Sérum : C’est un concentré d’ingrédients actifs (ou hyper actifs, ou parfois on nous le laisse croire), pour lutter contre les taches, la déshydratation, les rides…

Swatch : vous swatchez lorsque vous appliquez sur votre main, le rouge – lèvres ou les fards à paupières, pour mieux vous rendre compte de leur couleur. Eh non ce n’est pas pour regarder l’heure !

Wash : c’est l’application d’une seule couleur de fard à paupière. Un peu comme une base de maquillage des yeux. Ensuite, vous complèterez mais ce sera avec d’autres termes.

Ce n’est pas fini ! Compléments d’informations

Concealer : anti cernes / correcteur

Fix make-up : fixateur de maquillage (ça c’est très efficace)

Foundation : fond de teint

Matte cream : base matifiante (oui avec deux t en aglais)

Moisturizing cream : crème hydratante

Primer : base (cela a l’air évident, mais pas pour tout le monde, je vous l’assure)

Skin freshner : lotion tonique

Vanishing cream : crème de jour

Raïssa (Sass)

Hellooooooooow,

Je suis Raïssa, aussi connue sous le pseudonyme de : Sass (Instagram : Sass FWI / Facebook : Sass FWI)

Je m’occupe du blog, de la partie digital (Instagram et Facebook) et évents de Créola.

Un zeste de positivité, un soupçon de mode, une pincée de maquillage, quelques gouttes de découverte et de créativité, une grosse dose d’amour et de partage : voilà ma recette de vie et j’espère vous transmettre tout cela dans mes écrits.

Pour toutes vos demandes liées à Créola (Partenariats, évents, blogging et autres), vous pouvez nous envoyer un mail à : creolamag@gmail.com

Bullet Journal

Début d’année, rime très souvent avec nouvelles résolutions.

L’une de mes résolutions cette année (et d’ailleurs la seule) et de mieux m’organiser pour être plus efficace (résolution de l’année dernière et de l’année précédente au passage : ma vie de femme surbookée…).

Cette année, je ne lâche rien : JE VAIS M’ORGANISER !!!!!!!

Pour cela, j’ai décidé de m’aider du nouvel outil à la mode : le Bullet journal.

Kesako ?

Le Bullet journal (ou Bujo pour les intimes) est un système d’organisation et de gestion des taches crée par Ryder Carroll, graphiste new yorkais. En gros, un mixte de mon agenda et de mon journal intime.

Pourquoi est-il si différent de mon vieil agenda ? Premièrement, il est 100 % DIY. Vous le créez de A à Z, selon vos envies et vos inspirations. Vous avez l’âme de Picasso dans le corps de Steeve Jobs, ce journal est fait pour vous !!!!

Il est anti-procrastination. Je sais, demain on aura le temps… Mais comme demain ne nous appartient pas, on note toutes nos taches dans notre bujo et on s’y tient !!!!


2
èmebon point…

Il est ludique. Vous êtes maman, vous travaillez, vous devez jongler avec les activités des petits, de Mr (je sais on pourrait regrouper les 2…) et les vôtres (quand vous avez le temps de penser a vous).

En gros, vous êtes Wonder woman !!!! Mais même Wonder woman à besoin d’organisation. Alors on répertorie tout à l’intérieur, perso et boulot. Je sais, il est génial !!! Alors ok, c’est un peu fastidieux a faire. Entre les index, les monthly log, les daily (oui, je suis bilingue…non, je plaisante. D’ailleurs à noter dans mon bujo que j’ai des cours d’anglais a prendre, on s’y perd un peu. Mais une fois qu’on a compris le principe, c’est juste un jeu d’enfant.

Tout vous est détaillé sur le site de son créateur : www.bulletjournal.com

De nombreuses idées également sur Youtube :

Bulledop : https://www.youtube.com/watch?v=IFgkus22CBk&index=1&list=PLpeDOiP6wVf-KzVfC9HnO9secy-wz_p7G&t=556s

Solange te parle : https://www.youtube.com/watch?v=NzkPCut_8cY&index=2&list=PLpeDOiP6wVf-KzVfC9HnO9secy-wz_p7G

Beautiful naturelle : https://www.youtube.com/watch?v=b-2UYaWySnk&index=3&list=PLpeDOiP6wVf-KzVfC9HnO9secy-wz_p7G

Ou sur pinterest :

https://www.pinterest.com/pin/553802085413605551/

https://www.pinterest.com/pin/105060603787728472/

Cette année, on ne lâche rien, nous serons ORGANISES !!!!!!!

 

Beauté cachée

Il y a des hommes et puis il y a Will Smith…. (soupir….très long soupir).

Williard Christopher Smith que l’on a découvert casquette à l’envers, boutons d’acnés et style improbable dans le Prince de Bel Air a depuis énormément changé.

C’est l’un des acteurs les mieux payés au monde (en plus d’être beau, il est super riche…. Pénible!!!!!).

De Men In Black à Ennemi d’’Etat en passant par Mohamed Ali, I Robot, Hitch ou encore A la recherche du bonheur, Will Smith nous a montré son immense palette de jeux d’acteurs.

Il nous revient en ce début d’année avec très certainement l’un de ses plus beaux rôles au cinéma depuis, A la recherche du bonheur ,dans le film de David Frankel (tous les espoirs sont permis / incroyable talent…) : Beauté cachée.

A l’affiche de ce film dramatique, Will smith, Kate Winslet, Keira Knightley, Edward Norton entre autres…

Ce film traite de la dépression suite à une tragédie. Comment faire face à la réalité ? Comment ne pas sombrer dans l’irréalité ? Quand la réalité et l’irréalité ne font qu’un…

Un film bouleversant… A voir.

Céline

Un peu rêveuse et trop utopiste j’ai souvent la tête dans les nuages… Mais quand il faut ramener les pieds sur terre, soyez sûr qu’ils seront plus davantage dans l’eau… Quoi de plus doux que de vivre sur une île 😉

Amoureuse de ce petit coin de paradis qu’est la Caraïbe Je suis adepte du #CaribbeanMood: coucher de soleil, resto atypique, architecture créole…

Je prends la vie du bon coté, et fais mon possible pour toujours garder le sourire

Souris plus souvent, Ris plus fort, vis plus longtemps voici une devise que j’aime beaucoup

Instagram : vitaminsea.wi

Fée Pipelette

La pétillante Fée Pipelette aime blablater beauté, makeup, cheveux, mode… tout ce qu’on aime! Depuis plus d’un an dans la blogosphère, cette fouineuse du web, toujours en quête d’astuces et de nouveautés, ne manquera pas de vous faire partager ses découvertes et ses coups de cœur. Pleine de fraîcheur, elle nous offre un véritable blog « caverne d’Ali Baba » consacré à nos penchants esthétiques, parsemés de billets humoristiques. #LFP aime également mettre en lumière des créateurs et entrepreneurs antillo-guyanais. Testeuse avérée, elle vous livrera ses impressions sur un produit de manière fine et en toute sincérité. La fée pipelette, une potion explosive pratiquée dans le bon goût et la bonne humeur.

Son petit plus : les nouveautés beautés incongrues et farfelues

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Petit Bout de Soleil

Un petit bout de soleil de Martinique vivant à Paris… vous voyez de qui l’on parle

Sandrine, que l’on ne présente plus, alias Petit Bout de Soleil, Blogueuse vlogueuse, Youtubeuse, et BEAUTYADDICT mais pas que !

Elle est aujourd’hui une incontournable de la toile. Elle a su crée une vraie communauté sur ses réseaux comptant pas moins de 60 000 personnes pour certains supports.

Du partage, le tout dans la joie et la bonne humeur, le tout enrobé d’une gentillesse incroyable, voila ce que l’on peut dire de cette jeune femme dynamique et entraînante.

Vous pourrez la suivre sur :

Chaîne principale : http://youtube.com/petitboutdesoleil

2ème chaîne : http://youtube.com/petitboutderien

Instagram : http://bit.ly/21tDSNb

Facebook : http://on.fb.me/1oJETTN

Snapchat : Ptitboudesoleil

Twitter : http://bit.ly/1QHbKV9

Thia

« Quand j’ai dit que j’étais « normale », j’ai peut-être exagéré un peu »…

Ça c’est moi!!!! Thia pour les intimes. Si nous ne le sommes pas encore ça ne saurait tarder!!!!! Trentenaire, épicurienne et un brin délurée, je croque la vie à pleines dents (tant qu’il m’en reste, j’en profite, hein…).

Vegan depuis peu, j’aime la bonne bouffe, le bon vin, le sport et la musique.

Mon leitmotiv : demain ne nous appartient pas…

Instagram : thiabrownsugar